Principes et Pratique
De Physiologie Constitutionnelle
Pour les Herbalistes
Par Michael Moore
Michael Moore, défunt herbaliste Américain de renom, souvent appelé le “Yoda des plantes médicinales”, m’a énormément inspiré dans ma carrière d’herbaliste. Il a capturé d’une manière succinte dans ce document sa philosophie de travail, philosophie utilisée pour évaluer les problèmes physiologiques de ses clients et les adresser au travers des plantes médicinales.
A ma connaissance, aucun ouvrage similaire n’existe en Français. J’ai donc décidé de le traduire dans son intégralité, avec l’aimable permission de Donna Chesner, épouse de Michael et directrice de la Southwest School of Botanical Medicine. C’est pour moi un honneur que de faire traverser cet ouvrage de l’autre côté de l’Atlantique.
Le modèle exposé dans cet ouvrage peut paraître un peu compliqué. Mais il est en fait relativement simple lorsque l’on commence à rentrer dans chaque système d’organes (foie, reins, etc). De plus, il devient vraiment compréhensible lorsque l’herbaliste, amateur ou professionnel, commence sa pratique. Avant, le modèle reste théorie et un peu flou. On arrive à comprendre le modèle de base, mais on se sait pas trop par où commencer.
Certaines plantes mentionnées ici sont typiquement américaines. Mais ne vous axez pas trop sur les plantes, c’est le modèle physiologique qui est important.
Lorsque la première personne est employée ci-dessous, c’est Moore qui parle. La mention NDT signifie “note du traducteur”, qui me permet de m’immiscer dans les explications de Michael et d’ajouter des détails importants pour la compréhension du texte.
J’ai bien sûr pris quelques libertés, car pour moi il n’était pas judicieux de m’en tenir de trop près au texte – le risque étant une traduction lourde et difficile à lire. Ces libertés sont d’ordre stylistique, n’affectant jamais la précision à laquelle Moore aimait parler de physiologie et des plantes.
Et même moi qui suis familier avec les enseignements de Moore ai parfois du mal à comprendre exactement ce qu’il veut dire dans certaines phrases. Lorsque cela vous arrive, continuez à explorer le livre et concentrez-vous sur l’image d’ensemble.
La longue “préface” explique le cheminement de Moore pour en arriver à son modèle. Il ne décrit pas le modèle lui-même. La substantifique moelle n’arrive que dans les sections suivantes.
Le PDF intégral est disponible pour téléchargement ici. Un grand merci à Marielle qui a capturé toutes ces pages dans un document et m’a aidé à corriger quelques erreurs de français… OK beaucoup d’erreurs ! 🙂
SECTION 1 : Système d’Energétique Organique
1. Système Gastro-Intestinal Supérieur
2. Système Gastro-Intestinal Inférieur
3. Foie
4. Reins
5. Système Reproducteur
6. Système Respiratoire
7. Système Cardiovasculaire
8. Système Immunitaire et Lymphatique
9. Peau et Muqueuses
10. Muscles et Système Squelettique
11. Les mots de la fin sur l’évaluation constitutionnelle
1. Le stress adrénergique
2. Le stress anabolique
3. Le stress thyroïdien
SECTION 3 : Energétique du Transport des Fluides
Plantes Principales Utilisées Pour l’Approche Constitutionnelle
36 réponses
Bonjour, merci pour la decouverte de ce document extraordinaire, votre traduction m’a permis de comprendre l’ensemble et le personnage pour m’attaquer aux autres trésors encore en anglais qu’il nous a laissé. Aborder des documents techniques en anglais n’est pas à la portée de tout le monde’ d’autant que Moore a un langage « fleuri ».
Merci mille fois merci pour cette porte ouverte.
Bonjour Christophe,
Tout d’abord un tout tout grand merci pour ce travail de titan.
Waaaouh qu’elle richesse et quelle générosité de partager cela: merci
Je ne sais pas si c’est le meilleur endroit pour poser cette question mais je saute sur l’occasion d’une « question-réponse » sur le SN para et orthosympathique pour poser ma question.
J’ai lu des explications qui me semblent contradictoires pour justifier les difficultés digestives en cas de stress
1) En cas de stress, le système ortho met en veille le système para sympathique (d’où inhibition/ralentissement de la sécrétion des sucs digestifs car l’ortho inhibe la contraction des muscles lisses du système digestif)
2) En cas de stress chronique, le système ortho produit une contraction constante de la vésicule biliaire. Ainsi lors de la digestion, il n’y a plus suffisamment de sucs biliaires afin d’assurer une correcte digestion (surtout des graisses)
Du coup… l’orthosympathique active ou inhibe la contraction des muscles lisses des organes digestifs?
D’avance un tout tout grand merci
Marie
Bonjour Marie
le système orthosympathique a aussi cette action d’assécher, le stress assèche les sécrétions glandulaires (par exemple les muqueuses) la vésicule biliaire n’échappe pas à la règle , la seule exception concerne les glandes sudoripares
Grand merci pour tout ce savoir transmis. Certes je ne prétends pas être en possibilité de tout comprendre en profondeur, lol.
Quoique chez moi ce serait fort intéressant. Il me semble être un condensé de contradictions physiologiques entre le trop et le pas assez….Ce qui semble logique tout de même. Ma balance énergétique étant déréglée…
Bref je stock votre savoir comme mon corps ses graisses. Sauf que je sais que votre savoir est bénéfique et que j’arrive nettement mieux à en tirer profit.
Jamais je ne saurais vous dire assez merci.
Je retourne à mes stockages de plantes. Des Soucis. Plantes des pauvres. Du thym que mes poumons affectionnent. J’y ajouterai bien de la mauve et du plantain.
Qu’en est’il des mucilages ? : freinent-ils l’assimilation des principes actifs des autres plantes? Question naïve…..Mais interrogation réelle.
Bonjour Tortue
non ce n’est pas une question naïve 🙂 Les mucilages (comme ceux de la guimauve par exemple) peuvent interférer avec l’absorption de médicaments et/ou d’autres substances, parce qu’ils peuvent intercepter, capturer certaines molécules donc toujours préférable de les prendre à part (même si paradoxalement on peut en mettre dans des infusions ou des teintures) tout est question d’équilibre et de dosage
Bonjour Christophe
Merci pour tout vos partages de A à Z
est il envisageable de télécharger en PDF pour imprimer
Principes et Pratique De Physiologie Constitutionnelle Pour les Herbalistes
Par Michael Moore
(je fais parti de ces personnes qui ont encore besoin du support papier 😀 )
du coeur
Richard
Bonjour Richard,
C’est moi qui est assuré la traduction, et je n’ai pas de version PDF, j’ai traduit directement sur mon site.
Bonjour, merci de mettre à notre portée les clefs de la phytotherapie. Je trouve certains termes un peu techniques, y a t-il un autre ouvrage à lire en pré requis afin de se familiariser avec le corps humain, les propriétés des plantes ? Merci
Bonjour Sophie
Je ne connais pas d’ouvrages qui regroupe à la fois une approche de la physiologie et une approche phyto , mais si j’ai des informations je reviendrai vers vous
Bonjour,
merci Christophe pour cette traduction. Je viens de passer un agréable moment avec le truculent et Rabelaisien, à la sauce Ketchup, Moore:).
Quel savoir!!!!on ne peut « qu’envier » une telle maitrise de la « cartographie » humaine. L’avez vous personnellement connu?
Perso je vais lire et relire ce fascicule pour essayer de synthétiser au mieux sa méthode philosophique de l’ouest:)))….ben oui il a raison pas besoin de la « mode » exotique pour devenir un bon thérapeute!!!! et notre passé glorieux de médecine hermétique, avec ces quatre éléments ,sa science des humeurs et tempéraments, sa spagyrie et n’ayons pas peur des mots ces préparations Alchimiques. Et notre médecine des campagnes basé sur la loi des correspondances et des analogies…ect. Je n’épiloguerais pas sur la presque honte, qui c’est immiscé dans les esprits, de ce passé merveilleux d’homme blanc occidental bien de chez nous!
Que conseillez vous Christophe comme lecture pour approfondir la pensée de Moore sur le sujet traité;physiologie,pathologie,diagnostic médical???
Bonjour Pani,
Il avait un style qui était bien à lui et je ne sais vraiment pas comment approfondir ses vues. Il a beaucoup tiré des ouvrages des médecins éclectiques américains des années 1800 à début 1900 (Ellingwood, Felter, King, Scudder, etc). Ces articles sont sur le site d’Henriette Kress :
http://www.henriettes-herb.com/eclectic/index.html
Dans ces anciens textes, de nombreuses infos sur justement tous les sujets que vous mentionnez.
Bonjour
En pleine lecture.
Merci pour la traduction, vous mettez ainsi a la portée des non anglophones de petits trésors. Merci meci
Je n’ai pas beaucoup de lecteurs pour cette partie plus « obscure » du site 🙂 et pourtant, tant d’années d’expérience sont capturées ici. Content que cela vous plaise.
Magnifique écrit et traduction ! Gratitude pour ce partage
Presque tout lu mais je mets cette adresse dans mes favoris pour y revenir à loisir.
Agnès
Bonjour Agnès, content que quelques aventureux entreprennent la lecture de ce fascicule 🙂
je suis en train de lire que le Thym est une plante (entre autre) vagolythique et peut être prescrite lorsque le parasympathique est excessif !
et là je n’arrive pas à comprendre : parasympathique et excessif
devrais je comprendre que le parasympathique excessif , c’est qu’il ne rétablit pas l’équilibre ? du style je roule avec mon frein à main ?
Il faut décortiquer tout cela.
Le système parasympathique contrôle les phases dites de « repos et réparation », y compris les phases de digestion. Il active donc la production de suc et la contraction des muscles lisses. Parasympathique et sympathique mènent une danse complexe, se complètent, et parfois s’opposent. On connait bien le fait que le stress (réaction sympathique) bloque le processus de digestion (parasympathique).
Bref, comme toute partie du système nerveux, le parasympathique est parfois excessif. Il provoque une relâche trop forte de sucs, une contraction exagérée des muscles lisses. Aujourd’hui, dans le contexte de la vie moderne, c’est plutôt l’inverse qui s’opère, excès de sympathique. Mais parfois, le parasympathique fait des siennes. Ceci peut se traduit par des crampes par exemple.
Le thym est vagolytique, en d’autre termes calme l’activité du nerf vague, qui orchestre le parasympathique. Il va donc « soulever le pied de l’accélérateur » du parasympathique, calmer l’activité digestive pour faire plus simple. Si crampes, si sur-sécrétions, le thym va pouvoir calmer tout cela. Donc on ne roule pas avec le frein à main, on lève le pied de l’accélérateur du parasympathique.
merci Christophe
même si cela reste encore « vague » je vais faire en sorte que ce mécanisme me devienne sympathique!
en fait j’avais intégré dans mon logis-ciel intérieur orthosympathique = je réagis à un stress et
le para = je modère/freine l’action de l’ortho et pour une raison bizarre j’avais du mal à faire le lien entre excessif et la notion de modération ! mais ça commence à faire son chemin!
mais je n’ai pas encore étudié le Système Nerveux dans son ensemble et en profondeur
et encore grand merci
fan éthiquement reste-je !
C’est une vue partielle.
1. Ortho et Para s’équilibrent l’un et l’autre (ortho – stress adrénergique, para – relaxation)
2. Ortho et Para ont des fonctions bien spécifiques (ortho – vasoconstriction, dilatation des pupilles, etc. para – digestion, etc)
3. Ortho et Para se complètent l’un l’autre pour pouvoir réaliser une fonction (exemple pour ortho – erection et ejaculation chez l’homme)
Para a donc une fonction a part entière, et peut être soit deficient, soit excessif. Mais il existe aussi en relation avec ortho. Donc s’il est déficient, c’est souvent que Ortho est excessif, et vice-versa.
merci Christophe
Et puis quand on a la chance d’avoir des ami(e)s qui donnent leur corps à ma science …..! que du bonheur, en espérant toutefois de ne pas devenir une spécialiste du hors piste ….quoique c’est peut être comme ça que Léonard devint si doué…..!
bonjour Christophe
lorsque je lis au sujet d’une plante dans ses principes actifs : ==> tanins et mucilages (astringente et émolliente ) je n’arrive pas à intégrer le comment « elle fait » pour choisir !
d’un côté mon mental bug de l’autre mon intuition me dit laisse faire , elle sait ! mais ça fait trop « schizophrénétique »
j’aimerais bien trouver le lien logique, l’évidence qui me ferait intégrer ces 2 apparentes contradictions
Bonjour Sabine,
Elle ne choisit pas, elle fait les deux, et l’action se déroule en fonction du besoin du corps.
– Elle resserre les tissus enflammés et boursoufflés lorsqu’il y a une partie suintante à l’inflammation, et que le tissus sont épuisés et boursouflés, et ont perdu leur tonus car épuisés. Au travers des acides tanniques, la plante va s’assurer que les jonctions sont étanches, du moins pendant un temps, afin de freiner l’exsudat.
– Elle adoucit en déposant une fine couche de mucilages, cette couche protégeant la muqueuse contre le passage des aliments (muqueuse digestive) ou autres aggressions. Elle active aussi les macrophages, ce qui peut être utile lorsque l’inflammation chronique est due à une infection.
Les deux actions s’attaquent donc au problème d’une manière différente et complémentaire. L’astringence est utile lorsqu’il y a une dimension suintante au problème. La partie mucilage est utile plutôt lorsqu’il y a une composante sèche et enflammée. Exemple, gorge enflammée et sèche – guimauve + réglisse. Gorge boursouflée et suintante (angine) – sauge, chêne, etc.
Et dans le doute, si une plante fait les deux, on peut l’utiliser dans de nombreuses conditions, sachant qu’elle n’excelle sûrement pas dans l’une ou l’autre. Le plantain par exemple. Le plantain n’est pas extrêmement mucilagineux comparé à la guimauve (P. major plus), et le plantain n’est pas extrêmement astringent comparé au chêne ou à l’hamamelis (P. lanceolata plus).
Ca vous parle ?
merci Christophe
oui ça me parle…….et me permet de progresser!
donc si on veut par exemple un effet astringent on va plutôt choisir une plante plus spécialisée comme le chêne , tandis que si on choisit du plantain, on aura un résultat mais moins marqué .mais par contre il pourra aller adoucir un autre endroit si il y a besoin..est ce correct ?
et si je veux un effet appuyé ==> astringent et émollient alors il serait préférable que je prenne 2 plantes spécifiques plutôt qu’une ayant les 2 spécificités ?
C’est bien cela dans les grandes lignes. Vous avez un exemple en tête, une étude de cas qui pourrait éclaircir les choses ?
en ce moment je suis en train d’étudier les plantes du système respiratoire , et je vois des plantes avec tanins et mucilages (entre autre bien sûr) comme par exemple Acorus calamus, ou rose trémière, cinnmomun verum etc.
comme cas d’étude ==> j’ai une amie qui a une espèce de toux chronique , elle tousse tout le temps , et elle pense que ce sont des rhumes qui ont du mal à partir, mais après l’avoir questionnée il s’avère que ses intestins (qu’elle a plus longs que la moyenne) sont très souvent en état d’inflammation
et d’après ce que j’ai pu comprendre dans ce que j’apprends, les intestins et les poumons sont en interaction et je lui ai conseillé (du haut de mon « chatvoir » tout frais émoulu) de prendre en tisane des plantes émollientes (style racine de guimauve, mauve, bouillon blanc bref les plantes que j’ai récoltées et qui ont du mucilage ) en traitement de fond et sur une longue période , avec prise de probiotiques et de temps à autre une cure de charbon sur une semaine par mois environ, car je pense que son état de toux chronique est lié …..à ses intestins ,
et je lui ai conseillé de diminuer le thé (elle en est grande consommatrice)
j’ai fait en sorte qu’il n’y ait pas de tanins (vu le thé qu’elle boit)
mais peut être me fourvoie-je ?
Il n’y a pas de fourvoiement, que des pistes, des hypothèses, et des méthodes à essayer pour valider ces hypothèses 🙂
bonjour Christophe
Je fus bien silencieuse ces derniers temps, mais très studieuse, en plus les questions des internautes et vos réponses sont vraiment instructives et passionnantes!
Je viens de terminer de lire « Principes et Pratique de Physiologie Constitutionnelle pour les Herbalistes » de Michael Moore
il y a bien sûr des points de détails que je ne comprends pas et je vous poserai certainement des questions ultérieurement , mais je commence à mieux percevoir cet d’état d’esprit , par exemple lorsque Michael Moore ouvre sa parenthèse philosophique sur le foie , j’ai mis un certain temps à vraiment visualiser concrètement ce qu’il voulait exprimer, le sens je le comprends mais dès que j’essaie de l’expliquer ça reste encore très « cafouilleux » dans ma petite tête , par contre j’arrive à avoir une vision plus globale de mon propre fonctionnement et repérer les failles, ce qui me donne des pistes plus qu’intéressantes , je suis mon cobaye consentant
en tout cas encore un grand merci
toujours aussi fan
Content de vous revoir ! La métaphore du foie est importante. Il explique que l’organe macro se retrouve en micro à l’intérieur de la cellule, en particulier le réticulum endoplasmique qui se comporte comme un « mini foie » au sein de la cellule – détoxification et transformation des protéines. Il utilise aussi la dualité de cette fonction – anabolique (production de protéines, construction) ou catabolique (production de glucose, destruction) afin de régler certains déséquilibres. Une personne ayant des problèmes à fabriquer un tissu conjonctif de qualité par exemple (peau et/ou muqueuses), accompagné d’un tempérament stressé, plutôt fin et frêle (petit tour de poignet), qui ne prend jamais de poids, bénéficiera du Mahonia aquifolium, version américaine du Berberis vulgaris (pas exactement pareil, mais assez rapproché pour cette discussion), le Mahonia poussant le foie mais aussi la fonction cellulaire à passer en mode anabolique, donnant à la personne, au long terme, une meilleure fondation physiologique pour se rebâtir.
pour rester sur l’exemple que vous citez
Est ce que le déséquilibre que vous décrivez viendrait du fait que le foie et /ou le réticulum des cellules seraient plus en mode destruction que construction ?
Est ce que ce déséquilibre serait plutôt dû à une état déficient de du foie ?
Lorsque le foie est déficient, la fonction foie cellulaire l’est aussi. Et l’origine – le stress de type adrénaline/cortisol, qui nous fait basculer en mode catabolique (car il faut relâcher du sucre en circulation sanguine sous l’influence du cortisol, lorsque plus de glycogène on tape dans les acides aminés, etc). Le stress, toujours le stress…
oh que oui je l’ai lu, 1 fois, 2 fois….Et je vais le relire jusqu’à en absorber toute son essence…
bonjour Christophe
je n’avais pas vu cet article , alors que je passe beaucoup de temps à hanter les couloirs de votre site …donc je m’installe avec une bonne tisane et je connecte mes neurones
encore merci
Bonjour Sabine,
C’est une première passe de traduction, c’est pour cela que je ne l’ai pas encore bien mis en évidence. Les écrits de Moore sont parfois cryptiques, et je dois faire une 2ème passe, car vous allez voir, c’est parfois ardu ! Mais vous étudiez les plantes, vous avez donc les outils pour cerner les points principaux…
Vous êtes incroyablement généreux Christophe….
Vous nous offrez votre savoir….votre travail… votre temps…. sans jamais compter…
Mille merci à vous !!!
Les travaux de ce monsieur Michael Moore sont absolument passionnant. La synthèse physio des fonctions est vraiment extra. Ce document estd’une richesse incroyable…
Encore merci Christophe pour la traduc et le partage
Content de voir que vous avez pris le temps de lire. Il a effectivement mis un modèle de travail en place qui m’a beaucoup servi.