Ce livre n’est plus disponible et a été remplacé par mon nouveau livre ici.
L’idée d’écrire ce livre m’est venue un samedi ensoleillé de septembre. La garrigue était encore humide après la pluie de la veille et les plantes étaient magnifiques. Je guidais un petit groupe inscrit à l’un de mes stages sur la reconnaissance des plantes locales.
Je me délecte toujours de ces sorties qui montrent à quel point l’intérêt pour la cueillette des plantes médicinales est grandissant. La nature nous donne tout ce dont nous avons besoin, là, juste au détour du chemin ou au jardin.
Après un brin de marche, nous faisons une pause près de la verveine officinale et une personne me dit : « je la connais de nom, j’en prends en teinture mère pour ma ménopause, mais je n’avais jamais vu la plante ! » Quel étonnement de voir la plante à ses pieds et d’apprendre qu’elle peut elle-même fabriquer sa propre teinture mère. Plus loin, une jeune maman découvre le sureau qui expose encore quelques fruits noirs et juteux. Je lui explique que l’on peut en faire un sirop délicieux pour accompagner les enfants pendant un gros froid ou une grippe. D’ailleurs, elle achète ce même sirop dans sa boutique bio, mais elle ne savait pas que l’on pouvait le faire chez soi.
Après plusieurs expériences de ce genre, je réalise la chose suivante : la plupart des gens ne voient pas le lien entre la plante à l’état brut et le produit fini. Il faut alors combler ce gouffre et fournir le chaînon manquant : la confection !
Depuis mes balbutiements dans le monde des plantes, j’ai toujours ramassé et transformé feuilles, fleurs, écorce et racines. Ce retour au vrai, cette proximité avec le matériau brut non-trafiqué fournit non seulement une grande satisfaction, mais aussi un savoir qui ne peut pas s’obtenir des livres. L’objectif est simple : fabriquer un produit qui a l’odeur de la plante, le goût de la plante et bien évidemment qui fournit les propriétés de la plante à l’état brut.
J’ai accumulé plusieurs années d’expérience aux États-Unis et en Europe à la recherche des bons ingrédients et des bonnes méthodes, fouillant dans les vieux livres et essayant de nombreuses recettes par moi-même. Mon expérience en tant que thérapeute m’a permis de valider l’efficacité d’un produit fabriqué avec soin, à partir d’une plante pleine de vitalité. Mon expérience en tant que jardinier m’a permis de cultiver des médicinales venant du monde entier et de les transformer à l’état frais.
Dans cet ouvrage, je vous livre toutes mes recettes favorites, car je suis persuadé que vous en ferez bon usage. Personnellement, elles m’ont rendu service d’innombrables fois alors pourquoi pas à vous ? Lancez-vous, n’ayez pas peur. Au tout début, vous raterez certaines préparations. C’est normal, et alors? Amusez-vous, patouillez dans les marcs et les teintures mères, tachez votre tablier avec les huiles. Et surtout, apprenez à reprendre en main ce qui vous est le plus cher : votre santé !
Vous trouverez le livre dans vos libraire préféré (faisons-les travailler !), ainsi que sur Amazon et sur la FNAC.
Revues du livre
Je remercie les personnes suivantes pour avoir fait une revue de mon livre sur leur site :
- Venezia du blog “Princesse au petit pois”, experte en création de produits naturels :
Les recettes secrètes de mon herbaliste: un livre pour (bien) s’initier à la phytothérapie - Gilles Donguy du blog “Naturopathie en Clair”
Une interview de Christophe Bernard par Gilles Donguy - Michel Cros du blog “Journalistes Écrivains pour la Nature et l’Ecologie”
Les recettes secrètes de mon herbaliste
Erreurs et autres coquilles
- Page 77, la phrase suivante est erronée : “En d’autres termes, lorsque vous absorbez 1 ml de teinture, ceci équivaut à consommer 2 grammes de la plante”. C’est en fait l’inverse : “En d’autres termes, lorsque vous absorbez 2 ml de teinture, ceci équivaut à consommer 1 gramme de la plante”.
- Page 80, de même, la phrase suivante est erronée : “En d’autres termes, lorsque vous absorbez 1 ml de teinture, ceci équivaut à consommer 5 g de la plante sèche”. C’est en fait l’inverse : “En d’autres termes, lorsque vous absorbez 5 ml de teinture, ceci équivaut à consommer 1 g de la plante sèche”.
Table des matières
(220 pages, broché)
Introduction
Les bases du savoir
Où trouver la plante
- Ramasse dans le sauvage
- Jardinage
- Les herboristeries
Cueillette, nettoyage, séchage et conservation
- Cueillette
- Nettoyage
- Séchage
- Conservation
Extraction des principes actifs
- L’eau
- L’alcool
- Le vinaigre
- La glycérine végétale
- Les vins
- L’huile
Les constituants des plantes
- Les alcaloïdes
- Les glycosides
- Les huiles essentielles
- Les mucilages
- Les polysaccharides
- Les résines
- Les saponines
- Les tannins
Les préparations
Les infusions et décoctions
- L’infusion chaude
- L’infusion à froid
- La décoction
- Infusion + Décoction
La teinture mère
- Teinture mère de plante fraîche
- Teinture mère de plante quasi-fraîche
- Teinture mère de plante sèche : la macération
- Teinture mère de plante sèche : la percolation
- Informations complémentaires
- Correspondance plante sèche – alcool
- Applications externes des teintures
- Exemples d’application externe
Le macérât glycériné
- Quelle type de glycérine
- Taux de glycérine pour une bonne conservation
- Macérât glycériné de plantes fraîches
- Exemples de Macérâts Glycérinés
Le macérât huileux
- Les types d’huiles végétales
- Commencez par la plante sèche
- Digestion à la chaleur
- Macération classique
- Macération à température contrôlée
- Macération par intermédiaire alcoolique
- Informations complémentaires
- Peut-on faire un macérât de plante fraîche ?
- Suggestions de macérât huileux
L’onguent
- La cire d’abeille
- Les pots
- Conservation
- Suggestions d’onguents
La crème
- La base aqueuse
- Conservation
- Suggestions de crèmes
La Lotion
- La base aqueuse
- Suggestions de lotions
Le bain
- Suggestions de bains
Le cataplasme
- Cataplasme de plante fraîche
- Suggestions de cataplasmes de plante fraîche
- Cataplasme de plante sèche
- Cataplasme à base de teintures
- Suggestions de cataplasmes aux teintures
Le sirop
- La substance sucrante
- Stabilité du sirop
- Le sirop traditionnel
- Le sirop simple ou aromatisé
Le vinaigre
- Conservation
- Dosage
- Suggestion de vinaigres aux plantes
Les pastilles
- Conservation
- Exemples de pastilles aux plantes
La gélatine
- Exemples de gélatine aux plantes
Les bonbons
- Exemples de bonbons aux plantes
Propriétés des plantes
- Adaptogène
- Amère
- Analgésique
- Antiinflammatoires
- Antiseptique
- Antispasmodique
- Astringent
- Dépurative
- Cardiotonique
- Carminative
- Cholérétique et cholagogue
- Circulatoire
- Démulcente
- Diaphorétique ou sudorifique
- Diurétique
- Emmenagogue
- Expectorant
- Hémostatique
- Hypertensive
- Hypoglycémiante
- Hypotensive
- Laxative
- Lutéotrope
- Oestrogénique
- Sédative, calmante, hypnotique
- Stimulante
- Vermifuge
- Vulnéraire
96 réponses
Bonjour,
Certains commentaires indiquent le livre introuvable. Aujourd’hui, il est bien présent à la Fnac : 82€ en neuf et 160€ en occasion (en laissant tomber les poussières!). est-ce une blague? Perplexe je suis…
Bonne fin d’année à tous.
bonjour Marie
ce livre n’est plus édité , il a été remplacé par celui là https://www.altheaprovence.com/grand-manuel-pour-fabriquer-ses-remedes-naturels/
donc ceux qui vendent l’ancien à des prix exorbitants sont des arnaqueurs 🙁
Merci, Sabine! Je me disais bien qu’il y avait un loup… Bonnes fêtes à vous.
Bonjour, on peut faire un macérat glycériné avec plantes sèches ? Si non, comment fait-on si la plante que l’on a est obligatoirement sèche ?
bonjour Dany
non , il n’y a pas de valeurs ajoutée voire aucune valeur si plante sèche
Quel est le taux pour le macerat glyceriné ? 1:2 ?
oui , pour un macérat glycériné simple et seulement avec plante fraiche (là on ne parle pas de macérats glycérinés de bourgeons)
Peut on faire un macerat glycériné avec plante seche ?
le macérat glycériné de plante fraiche est largement souhaitable à celui de plante sèche, la glycérine ayant un fort pouvoir déshydratant va extraire l’eau (et ses constituants ) de la plante, ce qui sera beaucoup plus compliqué vis à vis d’une plante sèche
Bonjour, Je viens d’emprunter votre livre à la bibliothèque de Montréal. J’aime son aspect concis. Merci Céline.
Bonjour, et merci pour tous vos partages de connaissances de manière si claire et abordable!!! Savez vous s’il y a une réédition de prévue pour votre livre, c’est tellement dommage de ne pas pouvoir se le procurer 🙁 …
Delphine
Bonjour Delphine
oui un livre arrive (en mieux) Christophe n’a pas encore les dates mais le manuscrit est parti 🙂
Génial!!! Je supposes qu’on sera prévenu ici sur le site…. Y a plus qu’à patienter ! Merci pour votre réponse super rapide ;-).
Sabine, je suis confuse, à Delphine le 3 mai vous dites qu’un livre va bientôt sortir et à moi le 12 avril vous me dites qu’en fait il n’est plus disponible, j’ai cru un moment qu’il l’était mais non (si c’est du livre dont vous parlez ).
Du coup si je comprends bien, il n’est plus disponible en papier et je trouve cela bien dommage.
Si vous avez les documents originaux qui ont permis de l’imprimer, je peux vous aider à créer un format epub qui je suis sure intéressera beaucoup de personne.
Bien Cordialement
Bonjour Céline
le livre sous l’ancienne formule n’est plus disponible , par contre Christophe en a fait un autre, plus élaboré qui devrait sortir bientôt, mais là ça ne dépend plus de Christophe mais de son éditeur , donc il nous faut patienter 🙂
Bonjour à tous,
Je serai aussi intéressée pour acheter le livre De Christophe , quelqu’un aurait-il plus d’informations à sur la sortie de son nouveau livre?. Merci Corinne
Bonjour Corinne
le nouveau livre de Christophe sur la fabrication de produits à base de plantes sortira en Novembre
Bonjour Sabine et Merci pour cette information. Et en dehors des sites internet y aurait-il un moyen de le commander via le site altheaprovence ?Ou ce n’est que sur internet ?Je suis actuellement la formation en ligne De Christophe sur la fabrication des plantes qui est vraiment Super ! Et ce livre viendrait compléter cette formation. Merci d’avance pour votre réponse.
Bonjour Corinne
je pense (mais à confirmer) que le nouveau livre de Christophe sera en vente aussi sur le site althéaprovence
Bonjour Christophe,
Étant donné qu’il n’est plus possible d’avoir accès à la version papier de votre livre, avez vous envisager d’en faire une version numérique -ebook- ?
Merci beaucoup pour votre travail et son partage !
Bonjour Marie
le livre est de nouveau disponible
Bonjour je souhaiterai offrir votre livre, mais je ne le trouve pas sur le web ou en point de vente. Pourriez vous m’indiquez un site ou l’acheter. Merci d’avance
Effectivement, je ne le trouve pas non plus.
Bonjour, Ou l’avez vous trouver? Merci
Bonsoir Enile
en fait il n’est plus disponible, j’ai cru un moment qu’il l’était mais non (si c’est du livre dont vous parlez )
Bonjour Christophe,
Livre commandé hier et arrivé aujourd’hui!
Je suis vraiment très contente d’avoir tout ce savoir, ton expérience, tes conseils concentrés dans un livre. Il a un côté très très pratique et va m’être bien utile .
Merci
Bonjour,
J’aimerai énormément me faire offrir votre livre pour Noël, mais après avoir fait un tour en magasin et sur internet, j’ai beaucoup de mal à le trouver disponible. Pourriez-vous me dire si je peux le trouver facilement quelque part (j’ai déjà regardé Cultura, FNAC et Amazon sans grand succes).
Merci d’avance,
Elodie
Bonjour Elodie
Malheureusement , pas de réédition en vue , il y a eu problèmes avec l’éditeur …donc pour l’instant en suspend
Merci beaucoup pour votre réponse !
Bonjour, je m’apprête à acheter votre livre,
selon vous quel livre serait complémentaire au vôtre ?
Je pensais à ces deux si :
– La phytothérapie : Se soigner par les plantes et
– Petit Larousse des plantes qui guérissent.
Ne font t’il pas double ou triple emploi?
J’espère que ma question n’est pas déplacée, sinon j’irais évidemment la poser ailleurs.
Merci d’avance 🙂
bonjour Félix
je vous invite à aller faire un petit tour ici 🙂 https://www.altheaprovence.com/blog/la-phytotherapie-de-jean-valnet/
et là : https://www.altheaprovence.com/blog/se-soigner-plantes-de-gilles-corjon/
Merci, j’ai justement regardé vos deux vidéos mais après avoir cliqué sur envoyer (oups).
Je vais essayer d’en consulter plusieurs à la bibliotheque avant achat, par contre je commande le vôtre à l’instant.
.
J’ai hate que vous fasiez des vidéos du genre pour toute votre biblio 😉
Bonjour Christophe,
concernant la préparation des bonbons, à la page 185 de ton livre les recette secrètes de mon herbaliste, le mélange est prêt une fois la température de 145° atteinte(puis verser tout de suite après)? ou faut il encore cuire la mélasse?
Super ce livre;)
Cordialement.
Stéphane
Bonjour Stéphane,
Une fois cette température atteinte, c’est à ce moment qu’il faut verser sur la plaque. Et là commence une longue attente où l’on s’empègue les doigts comme on dit chez moi 🙂 Pour les rouler, si c’est trop mou, impossible de les travailler. Si trop dur, c’est trop tard. Donc une fois la bonne consistance atteinte, il faut « envoyer du bonbon » – ça peut être une petite activité en famille…
Salut, je suis du Québec et j’aimerais savoir s’il est possible de me servir de votre livre au Québec.
Aussi, j’ai cueillit des bourgeons de peuplier baumier aujourd’hui et j’aimerais en faire une teinture. J’ai lu votre article, mais je ne serais pas dans quel alcool les faire macérer.
De plus, des personnes font de des baumes avec ces bourgeons je me demandais si vous aviez un article pour m’aider à en faire.
Merci à l’avance
Bonjour Jessie,
Oui je pense que mon livre est disponible au Canada, il suffit de donner l’ISBN :
ISBN-10: 2889380033
ISBN-13: 978-2889380039
Pour les bourgeons de peuplier, on fait un excellent macérat huileux avec, cela donne une excellente huile de massage.
Sinon, vu la forte teneur en résines, il faut un alcool fort si vous voulez faire une teinture. Il y a différents styles et proportions d’alcool. Ceux qui suivent les courants de gemmothérapie utilisent en général un taux de 1:20, c’est à dire 2000 ml d’alcool pour 100 g de bourgeons avec 1/3 alcool pur 1/3 eau 1/3 glycérine végétale pour le solvant. Mais on peut aussi faire une préparation beaucoup plus simple, on recouvre tout simplement les bourgeons frais d’alcool pur et on laisse macérer pendant 2 semaines.
Bonjour Christophe,
Je vis au Québec et je compte récolter des baies d’aubépine pour faire une teinture mère. Pour l’instant, les baies sont encore très fermes et pas entièrement rouges et je me demande à quel stade elles sont les plus efficaces.
De plus, je me demande s’il est nécessaire de les faire sécher avant de faire la préparation et si non, si un alcool à au 90% est nécessaire pour ces baies à la pulpe sèche et farineuse.
Faut-il les broyer très finement pour la préparation?
Voilà… J’ai acheté et lu votre livre » Les recettes secrètes… », mais je tenais à avoir ces précision pour obtenir une teinture optimale.
Merci! 🙂
Sophie
Bonjour,
Les baies sont d’abord séchées, puis mises à macérer dans un alcool à 50°, 500 ml d’alcool pour 100 g de baies sèches. Une fois les baies bien imbibées d’alcool (au bout d’une semaine), vous passez le mélange au blender pour le réduire en bouillie et vous laissez encore macérer pendant une semaine.
Je viens d acheter votre nouveau livre :vins médicinaux et élixirs ☺mais vous êtes u drôle de cachottier. .car c est en regardant sur Amazon que je l ai découvert ☺
Bonjour Sylvie,
Merci – oui j’ai été un peu débordé en ce moment ! 🙂
C’est un livre avec une approche un peu plus ludique des plantes, j’espère qu’il vous permettra d’expérimenter avec quelques liqueurs sympathiques. J’ai eu une approche un peu différente des autres livres, en me concentrant sur une seule plante par préparation afin d’apprendre à mieux la connaitre, plutôt que les mélanges classiques.
bonjour,
j’ai acheté votre livre que je trouve très intéressant et clair… Merci a vous!
Mais j’avais une question.
On sait qu’il ne faut pas ramasser les plantes près des routes au risque qu’elles soient intoxiqués/pollués…
y a t il des plantes qui se polluent beaucoup plus facilement?
A partir de quelle distance des routes on peut considérer qu’il n’y a plus de risques…?
Merci
Bonjour Paul,
J’ai peur de ne pas avoir de réponse quantitative à vous donner.
Tout d’abord, effectivement, il y a une classe de plantes qui a tendance à pomper tout ce qui a dans le sol, les plantes comme l’ortie ou la prêle par exemple. Mais la pollution du sol ne vient pas forcément de la pollution des routes, les napes phréatiques peuvent être polluées dues à une culture non-bio environnante, alors qu’on est dans un cadre idyllique.
Ensuite, il y a la pollution de l’air, des voitures par exemple, qui va se déposer sur la plante (et même sur toutes les plantes). Donc pour ce type de pollution, effectivement ne pas ramasser je dirais à moins de 50 m d’une route (un chiffre un peu tiré de mon chapeau, pourquoi pas plus, pourquoi pas moins). Mais je l’avoue, il m’est arrivé de tomber sur un champs de millepertuis par exemple pas très loin d’une petite route départementale et d’avoir ramassé là.
Dans l’ensemble, à part faire des études détaillées (il n’y en a pas à ma connaissance), on continue à évoluer un peu à tâtons, comme pour beaucoup de choses dans notre société, en pesant le pour et le contre de chacune de nos actions – dois-je aller faire mon sport alors que le taux de pollution est élevé ce mois-ci ? Les bénéfices sont ils plus importants que les risques ? Dois-je ramasser mon millepertuis près de cette route sachant que je ne connais pas d’autres endroits ? Etc.
Merci pour la réponse,
sinon, j’ai déjà commencer le 951 de curcuma, en faisant mes gélules a la main, j’ai décidé d’acheter un gelulier sur le site kapselwelt pour aller plus vite dans la conception… mais je me suis rendu compte qu’il existait toutes sortes de gélules différentes…gelules gelat transp, gelulles d’aqua, gelules naturelles… bref laquelle choisir pour etre le plus sain possible…?
Les végétales (faites à base de cellulose) font très bien l’affaire.
¡Formidable!
Je suis totalement ravi avec votre libre.Je suis prête pour le prochaine, et vous?
J’en ai une dizaine de livres sur les plantes, mais bien sure que le vôtre a une place particulière dans ma petite bibliothèque.
Je recommande à tous mes amis interesez au monde des plantes votre libre parce que c’est vraiment formidable. Il est un travail didactique et claire et rigoureuse. Merci.
Elena
Elena : merci ! J’ai un deuxième livre qui sort à la fin du mois… j’en parlerai bientôt.
Bonjour Monsieur Bernard,
J’habite Robion et je souhaiterais savoir si éventuellement vous vendriez votre dernier livre sur Robion. Cela m’intéresserait vivement.
Pour les bonnes herboristeries il y en a une aussi dans le nord, d’où je suis originaire, elle est située près de Lille et Roubaix à proximité de la frontière belge à Wattrelos 59150. C’est l’herboristerie Cousin- Wiaeme, une petite entreprise familiale dirigée à l’origine par le papa, reprise ensuite par ses 2 filles, les sœurs Cousin, connues ainsi dans la région, et je viens de voir en consultant leur site que depuis 2013, la gérance a été confiée à une personne qui officiait depuis 16 ans comme employée dans cette petite entreprise. Voilà je tenais à vous signaler cette enseigne, monsieur Bernard, car sincèrement ce genre de petite entreprise mérite attention et peut intéresser pas mal de personnes.
Moi même j’ai été heureuse de lire, suivant votre liste, qu’il y a encore de très bonnes adresses un peu partout pour des plantes de qualité qui nous permettent de nous soigner naturellement. Merci bien.
Cordialement,
Brigitte Strobbe.
Madame Strobbe,
Merci pour cette suggestion d’herboristerie familiale, je l’ai rajouté à ma liste. Je suis d’accord avec vous, il faut faire travailler ces petites entreprises familiales, car il en reste peu.
Pour le livre, je n’ai pas encore de stock pour vendre en direct, mais j’ai fait la demande à mon éditeur. Je vous tiendrai informée.
Bonjour Christophe,
Je viens de lire votre livre, je tenais à vous dire qu’il tiendra une place de choix dans les ouvrages que je consultes régulièrement!
Qu’il est agréable de lire un ouvrage précis et pratique, écrit par une personne qui travaille avec les mains dans le camboui!
Belle journée!
Nico
Nico, merci, votre message me fait chaud au coeur. Si vous l’avez acheté en-ligne, et si cela n’est pas trop demander, un petit commentaire positif à l’endroit où vous l’avez acheté aide beaucoup pour l’évaluation du livre.
Bonjour j’ai lu votre livre vous écrivez que pendant la cuisson de bonbons les plantes perdent leurs vertus, sont il aussi efficace qu’un sirop ou simplement pour le plaisir
Bonjour,
Vu la quantité d’infusion de plante qui se retrouve dans un bonbon (vous verrez, il faut très peu de liquide pour une quantité massive de sucre), plus la chaleur infligée, je ne considère pas qu’il y ait un effet thérapeutique restant dans le bonbon, sauf peut être pour les amères qui se maintiennent bien à la chaleur, et pour lesquelles une toute petite quantité de plante suffit pour impartir un goût prononcé. Dans ce dernier cas, un petit bonbon amer avant le repas, pourquoi pas. Dans les autres cas – simplement pour le plaisir d’offrir.
Le sirop, lui, est une « vraie » préparation thérapeutique.
Bonjour,
J’ai commandé votre livre et, franchement, je ne suis pas déçue, il est très instructif, clair et très bien écrit, j’en recommande la lecture à tout personne intéressée par le « naturel » ; un grand merci.
Une petite question : je m’apprête à faire une teinture mère de romarin par percolation ; vous conseillez dans votre livre d’utiliser un alcool à 55° ; j’ai la chance de disposer d’alcool à 95° (achetée en Italie) ; j’ai bien compris que 55° était un titrage minimum recommandé mais je me demandais si la teinture serait meilleure si j’utilisais mon alcool à 95°, ou bien est-ce que ce serait trop fort ?
Merci pour vos conseils.
Bonjour Catherine,
Tout d’abord, merci pour votre commentaire, c’est très apprécié.
Le romarin contient une résine, c’est pour cela que l’on monte le taux d’alcool au delà des traditionnels 45° ou 50°. Par contre, un alcool pur sera beaucoup trop fort, et de plus ne pourra pas faire le travail d’extraction des composants hydrosolubles du romarin (il y en a). Le titrage de 55° n’est donc pas un titrage minimum mais bel et bien un titrage recommandé.
Il faudra donc soit baisser la concentration de votre alcool pur à l’aide d’eau distillée ou filtrée, soit garder cet alcool pur et acheter un rhum à 55° en supermarché.
Bonne Percolation !
Merci Christophe pour votre réponse, c’est très clair pour moi maintenant ; donc toujours appliquer le titrage d’alcool que vous recommandez.
Encore merci.
Bonsoir Christophe , je viens de passer ma première commande sur amazone pour votre livre. J’ai bien hate de vous lire.
Merci Michelle 🙂