Marronnier d’Inde (Aesculus hippocastanum)

Marronnier d’Inde

(Aesculus hippocastanum)

Marronnier d'Inde (Aesculus hippocastanum)

Originaire des Balkans, le marronnier d’Inde fut introduit en France dans les années 1600. C’est un certain Bachelier qui rapporta quelques graines de Constantinople et les planta dans les jardins de Paris. Bachelier ne pouvait pas nous faire un plus beau cadeau ! Le marronnier est aujourd’hui cultivé comme arbre d’ornement dans toute la France.

Il nous offre de beaux fruits luisants qui, même s’ils sont impropres à la consommation, ont de grandes vertus médicinales. J’y rends hommage dans cette fiche complète et détaillée.

Voir ici ➜ ma vidéo pour la fabrication de la teinture.


Nom commun : Marronnier d’Inde, faux châtaignier, châtaignier de cheval, châtaignier de mer

Nom latinAesculus hippocastanum

Famille : Hippocastanaceae

Constituants :

  • Saponosides triterpénoïdiques (de 3 à 6%): aescine en particulier (groupement de plus de 30 hétérosides).
  • Tanins : en particulier proanthocyanidols, dans le tégument de la graine.
  • Coumarines : aesculine, etc.
  • Flavonoïdes : quercétine, rutine, etc.
  • Lectines
  • Phytostérols
  • Polysaccharides
  • Lipides

Goût :

  • Acre
  • Amer
  • Astringent (asséchant en bouche)

Energétique :

  • Réchauffant (fait circuler lorsque congestion)
  • Asséchant (lorsque accumulation et rétention de liquide)

Marronnier d'Inde (Aesculus hippocastanum)


Propriétés du marronnier d’inde

Problèmes de retour veineux

Le marronnier d’Inde est l’un des meilleurs vénotoniques que nous ayons dans notre pharmacopée. Vénotonique signifie tonique veineux.

En d’autres termes, si vos veines ont perdu leur élasticité, si elles se déforment avec un aspect visible (ce qu’on appelle les varices) ou qu’elles se dégradent en profondeur (insuffisance veineuse profonde), le marron d’Inde vous sera d’une grande aide.

Voici les propriétés qui nous intéressent (ref : Mills & Bone) :

  • Un effet anti-œdémateux : s’il y a oedème ou rétention d’eau à cause des problèmes de retour veineux, pensez à cette plante. Le marron va réduire la perméabilité des veines, il va empêcher aux liquides en circulation de se retrouver dans les tissus d’une manière anormale. Il réduit l’effet de « veine passoire » ;
  • Un effet anti-inflammatoire : l’inflammation constante des structures veineuse entraine leur destruction ;
  • Un effet direct sur la tonicité du tissu veineux : les veines sont plus élastiques et moins flasques ;
  • Une diminution de la viscosité sanguine : le sang circule mieux.

Dans des termes plus simples :

  • Les membres inférieurs sont moins gonflés ;
  • Les veines sont moins enflammées ;
  • Les veines sont moins déformées ;
  • Le sang circule mieux au travers des veines.

Qui dit mieux ?

Le marron d’Inde peut donc être utilisé dans les cas suivants :

  • L’insuffisance veineuse chronique ;
  • Les varices ;
  • Les ulcères variqueux ;
  • Les rétentions d’eau et oedèmes des membres inférieurs ;
  • En prévention des thromboses veineuses profondes ;
  • En application locale lorsqu’il y a fragilité des capillaires et une peau qui marque facilement.

Oedèmes

Mills & Bone expliquent que grâce à son action veinotonique, le marron d’Inde peut être utilisé lorsqu’il y a oedème dans les situations spécifiques suivantes :

  • Syndrome du tunnel carpien ;
  • Paralysie de Bell ;
  • Dysménorrhée (règles douloureuses) congestive (avec congestion exagérée au niveau de l’utérus) ;
  • Névralgie du trijumeau ;
  • Lésions des disques intervertébraux ;
  • Névralgies de compression.

Et notez ici que nous ne sommes pas en train de dire que le marron d’Inde peut soulager une névralgie du trijumeau, par exemple. Il peut par contre aider à résorber un oedème lié à cette névralgie.

Marronnier d'Inde (Aesculus hippocastanum)

Hémorroïdes

N’oublions pas que les hémorroïdes sont une déformation de veines bien particulières – celles qui se trouvent autour et à l’intérieur de l’anus et du rectum. Il est donc tout à fait logique et bénéfique d’utiliser le marronnier d’Inde dès que vous commencez à ressentir les premiers signes.

Dans ce contexte, une prise en interne et une application externe accélèrera la résolution du problème.

Le docteur W.T. Fernie note la teinture de marron d’Inde prise avant les repas et avant d’aller au lit soigne quasiment tous les cas d’hémorroïdes sans complications en l’espace d’une semaine (ref : Wood).

Congestion du foie

L’action du marron d’Inde sur les problèmes de retour veineux est probablement en partie due à son action décongestionnante du foie. Le foie est un organe très vascularisé. Il filtre le sang provenant de la circulation générale et de la veine porte, cette dernière apportant un sang très riche en nutriment.

Le foie est aussi un organe très sollicité aujourd’hui, épuisé chez certains à cause d’un excès de polluants et/ou de nourriture. Tout ceci peut amener à un état de congestion, c’est-à-dire qu’il y a trop de trafic autour du foie. Un embouteillage en quelque sorte. Ceci va entraver un bon retour veineux : le sang qui remonte des jambe et de la région pelvienne aura du mal à circuler au travers ce bouchon.

Le marronnier d’Inde va soulager cette situation de congestion et d’engorgement (ref : Felter).

Congestion de la prostate

Valnet étend le concept de congestion au petit bassin et à la prostate. La congestion de la prostate est fréquente aujourd’hui chez l’homme inactif : la position assise crée une stase veineuse. Chez l’homme ayant une vie sédentaire et souffrant d’adénome, le marron d’Inde peut donc décongestionner la zone.

Leclerc confirme : « Le marron d’Inde m’a fourni d’excellents résultats chez des malades présentant de la congestion et de l’hypertrophie de la prostate« .

Divers

  • En cas de couperose, lotionner le visage et disposer de compresses à garder 10 minutes tièdes sur les parties atteintes (Mulot) ;
  • Excellent remède contre le mal aux reins, que nous nommons communément lumbago (Mulot) ;
  • En médecine animale, Wood nous rappelle que la plante était jadis utilisée pour fabriquer des liniments pour soulager les spasmes musculaires chez les chevaux (Wood) ;
  • Sous Napoléon Ier, à l’époque du blocus continental, les médecins militaires se servaient de l’écorce de marronnier afin de lutter contre les fièvres en remplacement du quinquina (Mulot).
Marronnier d'Inde (Aesculus hippocastanum)
Teinture de marron d’Inde maison

Contrindications et précautions

  • Ne pas appliquer sur une plaie ouverte ;
  • La plante peut provoquer une irritation digestive chez la personne sensible ;
  • Ne pas utiliser si ulcère gastrique ou duodénal ;
  • Comme la plupart des plantes, ne pas utiliser pendant la grossesse et l’allaitement ;
  • La plante pourrait interagir avec les médicaments anticoagulants.

Toxicité

Mills & Bone expliquent que malgré son inclusion dans les livres sur les plantes toxiques, le risque de toxicité associée à une prise interne et aux doses courantes est très faible. Les études sur animal démontrent que la toxicité est beaucoup plus élevée en injection intraveineuse (présence de saponosides). Je ne vais pas faire le résumé ici du travail de ces deux auteurs, voir leur ouvrage mentionné dans la section Références ci-dessous.


Préparation du marronnier d’Inde

Parties utilisées

Aujourd’hui on utilise principalement les graines. Vous trouverez facilement les graines concassées ou en poudre dans les herboristeries. Mais encore mieux, apprenez à les reconnaître lorsque vous vous baladez dans les parcs et jardins publics. Attention aux déchets et excréments d’animaux qui peuvent polluer la graine.

Ramassez la graine et concassez-la comme montré dans la vidéo. Vous pouvez ensuite la faire sécher (utilisez le four à basse température si nécessaire) puis transformez-la en teinture. Surtout gardez l’écorce (tégument) de la graine. La graine a un goût douceâtre à premier abord mais devient vite amère et âcre, plutôt désagréable.

Attention, ne conservez pas les marrons entiers pendant l’hiver car il est probable qu’ils moisissent, le séchage étant compliqué sous forme entière. Concassez-les le plus rapidement possible.

L’écorce des branches était aussi utilisée jadis. Mulot nous rappelle que c’est l’écorce des branches de plus de 3 ans qui doit être utilisée pour une meilleure efficacité. L’écorce est séchée puis transformée en teinture (si vous pouvez la réduire en poudre avant, cela permettra une meilleure extraction). Mais franchement, pas la peine de s’embêter avec l’écorce si vous avez accès aux fruits.

Marronnier d'Inde (Aesculus hippocastanum)

Formes utilisées

Les formes à favoriser est la teinture ou l’extrait fluide. Ce sont les formes les plus efficaces.

Voir ici ➜ ma vidéo pour la fabrication de la teinture.

  • Fruits en poudre
    • Pulvérisé au moulin à café, en gélule (mieux) ou mélangé à une compote, yaourt, etc. Le goût n’est pas agréable.
  • Décoction
    • De l’écorce des branches de plus de 3 ans. Bouillir 15 minutes (Valnet).
    • Des fruits secs concassés. Laissez bouillir 5 minutes. Retirez du feu et laissez infuser 10 minutes (Mullot).
    • Ces préparations aqueuses peuvent aussi être appliquées en compresses sur les jambes ou hémorroïdes.
  • Teinture
    • Des fruits secs – 1:5 alcool à 60° (faute d’alcool à 60°, un alcool à 45° fait aussi l’affaire).
    • Une teinture diluée peut être appliquée en externe (1 volume teinture pour 4 d’eau).
  • Extrait Fluide
    • Des fruits secs.
  • Macérat huileux
    • Des fruits secs, par intermédiaire alcoolique (qui donnera un bien meilleur résultat). Appliquer sur les jambes ou hémorroïdes.
  • Extrait standardisé
    • Extrait 5:1 standardisé à 40 à 50 mg d’escine (Mills & Bone)

Doses

  • Fruits en poudre
    • 1 à 2 g par jour (Mills & Bone).
  • Décoction
    • Une poignée des copeaux d’écorce pour 1 litre d’eau, boire en 2 jours (Valnet)
    • 40 g de marrons concassés pour un litre d’eau, 1 ou 2 tasses entre les repas pendant 21 jours.
  • Teinture
    • 5 à 15 gouttes par jour (Moore)
    • 10 gouttes avant chaque repas de 15 à 20 jours par mois (Leclerc)
    • 20 à 40 gouttes par jour, avant les repas, par période de 10 à 15 jours par mois (Valnet)
    • 5 à 15 ml par jour (Mills & Bone)
  • Extrait Fluide
    • 5 à 20 gouttes par prise (Grieve)
  • Extrait standardisé
    • 200 mg de 2 à 3 fois par jour (Mills & Bone)

Note sur les dosages : comme vous pouvez le constater, les dosages varient en fonction des auteurs. Moore et Leclerc estiment que de faibles doses de teinture sont suffisantes. Mills & Bone vont jusqu’à 15 ml par jour. Bienvenue au monde merveilleux de la phytothérapie, monde dans lequel il n’y a pas vraiment de consensus pour les formes et dosages ! Frustrant n’est-ce pas ?

Je vous donne mon évaluation : la plante fonctionne très bien à faibles doses. Les doses de Moore, disons 10 à 15 gouttes 3 fois par jour, sont suffisantes dans la plupart des cas.

La plante agit rapidement, dans l’heure après la prise. S’il n’y a aucun soulagement pour vos problèmes de retour veineux ou hémorroïdes au bout de 2 à 3 jours, à ce moment là, vous pouvez augmenter progressivement les doses.

Voici une très bonne association : avec le fragon (Ruscus aculeatus).

Marronnier d'Inde (Aesculus hippocastanum)


Références

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171 réponses

  1. Bonjour,
    Je ne vois pas la différence entre teinture mère, extrait fluide et extrait standardisé. Sur internet, « extrait fluide » correspond à la teinture mère ou au macérat glycériné ou juste à une décoction en ampoule, je m’y perds. Et quelle est la préparation qui contient le plus de principes actifs ? Merci d’avance !

    1. Bonjour Lucie
      Effectivement, toujours compliqué de se repérer dans ces dénominations, surtout que souvent les termes ne sont pas toujours employés avec une définition simple approuvée par tout le monde, néanmoins voici quelques définitions
      alcoolature ou teintures: https://www.altheaprovence.com/blog/faire-une-teinture-mere-maceration/
      teinture mère: le terme est théoriquement réservé aux préparations homéopathiques, c’est la teinture de base pour faire les dilutions homéopathiques
      Extrait fluide = lixivation ou le résultat est 1:1 https://www.altheaprovence.com/blog/extrait-fluide/
      macérat glycériné : utilisé pour les bourgeons : eau /alcool/ glycérine
      décoction en ampoule : ce sont des préparations faites en laboratoire où ils font une décoction « à froid » ce qui préservent les constituants de la plante lui permettant d’avoir une stabilité des constituants , mais il est difficile de vérifier ce qu’il y a réellement dedans ..
      pour le marronnier en interne et en respectant la posologie la teinture est une bonne option (surtout si vous pouvez le faire vous même )

  2. bonjour sujet qui me gene :: marron d inde toxique ?parait t il que l on enleve la toxicite du produit je ne trouve aucune mention //comment enlever cette toxine ou eventuellement l annuler merci de votre reponse

    1. Bonjour Jean Pierre
      je vous remets ce que Christophe dit à ce sujet dans l’article :
      « Mills & Bone expliquent que malgré son inclusion dans les livres sur les plantes toxiques, le risque de toxicité associée à une prise interne et aux doses courantes est très faible. Les études sur animal démontrent que la toxicité est beaucoup plus élevée en injection intraveineuse (présence de saponosides). »
      et Christophe rajoute dans un autre article :  » Le marron, lui, n’est pas comestible, il a même une certaine toxicité. Alors toxique en tant qu’aliment oui, mais médicinal lorsqu’on le prend de la bonne manière et aux bonnes doses.

  3. Bonjour j’ai une question, je prend de l’écorce de marron d’inde pour des problèmes d’hémorroïde qui saigne, c’est très efficace, mais dès que j’arrête mon traitement de 3 gélules par jour les saignements réapparaisse au bout de 3 à 4 jours, prendre 3 gélules en permanence est t’il contrindiqué ou dangereux ?

  4. bonsoir,
    Je viens de réduire en poudre mes marrons, cette poudre a une texture un peu grasse. Je me demande si je ne devrais pas la conserver au congélateur. Je crains qu’elle ne moisisse. Combien de temps peut-on la conserver. Vaut-il mieux la moudre pour une semaine par exemple? J’étais trop contente de remplir mes petits sacs et soudain…doute…
    Merci pour vos bons conseils

    1. Bonjour Martine
      Que souhaitez vous faire avec ces marrons réduits en poudre? de toute façon oui risque de moisissures, au congélateur peut être une option ;
      attention à la quantité si c’est pour ingérer , entre 1 et 2g maximum, et ne pas consommer sur du long terme , faire des pauses

  5. Bonjour
    Je regarde assidûment vos vidéos toujours très intéressantes. Et je me lance dans la teinture mère.

    J’ai pu me procurer de l’alcool à fruit à 96 degrés en Espagne. Ce qui n’est pas possible en France.
    Je voudrais faire de la teinture mère de marron d’Inde.
    J’ai trouvé des marrons d’Inde. Quelle est la quantité d’alcool que je dois mettre pour par exemple 200 grammes de marron avec de l’alcool à 96 %. Dois-je les faire un peu sécher ou bien les utiliser dès que je les ai concassés?
    Merci pour votre réponse
    Cordialement
    VANILLE

  6. Bonjour,
    Je n’ai certainement pas posé ma question au bon endroit car je ne la retrouve pas. Elle était la suivante : les marronniers roses ou rouges ont-ils les mêmes propriétés que le blanc? J’ai ramassé des fruits mais je n’avais pas vu l’arbre en fleurs, donc … blanc ou autre, je ne sais pas. Je les ai préparés et comme ils étaient encore frais, après les avoir coupés en quatre au couteau, j’ai passé le tout au mixer et séché… Je consomme? je jette vite?
    Merci pour votre réponse et bonne journée!

    1. Bonjour Martine
      je ne sais pas trop quoi vous dire, car le marronnier rouge ou rose serait un croisement entre le marronnier d’inde et le marronnier écarlate ( Aesculus pavia)
      or nous dit Fournier sur ce dernier, c’est que son écorce serait fébrifuge mais que ses semences seraient un vrai poison (qui tuerait les poissons) elles renfermeraient un poison analogue à la strychnine !
      donc quid de l’hybride marronnier rouge (Aescalus carnea ) ? je n’ai pas v d’infos fiables sur le sujet

  7. Bonsoir Sabine, Bonsoir Christophe,
    Il y a peu de temps, nous parlions de casse de blender… et comme les marrons sont vraiment très durs et que si l’on veut en faire une teinture par percolation, ou les mettre en gélules, il est nécessaire de pulvériser les morceaux au plus fin possible….
    L’objet de ce commentaire est de signaler, aux personnes intéressées, qu’à partir de ce Jeudi 27 septembre, Liddl met en rayons dans leurs magasins des blender de marque allemande Silver Crest à un prix de 24,99€, avec les caractéristiques suivantes : 5 vitesses, une fonction « pulse » qui permet de casser des cubes de glace (donc qui plus est des racines d’orties ou de consoude mais également des marrons déjà éclatés…), le bol mélangeur, d’une capacité de 1,75L, est en verre épais et gradué…La puissance est de 600W … Je tiens à préciser que je n’ai aucun intérêt commercial, ni commission, ni actions chez Liddl dont je ne suis qu’un client occasionnel…. mais voilà déjà 5 ans que je possède ce type de blender et que j’ai réussi à le bloquer quelques fois déjà en le bourrant de trop avec des matières fibreuses qui se sont entourées autour de l’hélice ou comme tout récemment en y mettant des morceaux de marrons dont le calibre trop gros ont également bloqué l’hélice… Les blender étant garantit 3 ans, j’écris à chaque fois à l’adresse indiquée avec copie du ticket de caisse du jour de l’achat et Liddl vous envoie, par retour, une étiquette de prise en charge du retour du bloc moteur abimé (sans le bol en verre) et vous retourne un ensemble complet, tout neuf, environ une semaine après… J’ai effectué ces échanges à 5 reprises en 3 ans et celui que possède ne me cause vraiment plus aucun problème depuis 4 ans environ…. Les blocages avec les marrons ont été occasionnés sur les engrenages entre les bols et le moteur et seuls ces engrenages font désormais roue libre, (mais je les répare très facilement avec une résine synthétique..)… Ce message était destiné aux intéressées et intéressés, à toutes fins utiles… vu l’urgence de la date du 27 septembre, car habituellement, j’ai constaté une razzia sur ces produits qui disparaissent en deux ou trois jours maxi… à bon entendeur……………. 🙂

    1. bonjour Hervé
      merci pour le partage 🙂
      on peut aussi commencer une macération de marrons concassés pendant une semaine, puis passer le tout au blender et laisser macérer encore une semaine

      1. bonjour Sabine,
        …effectivement, tout à fait d’accord avec vous…. comme toujours d’ailleurs !…. mais, j’ai un gros problème : depuis que je me suis « perfectionné » et devenu « expert » en percolation, grâce aux demos de Christophe, [https://www.altheaprovence.com/blog/faire-une-teinture-mere-percolation/], je suis devenu « accro » à ce processus, que je trouve absolument génial… et que je maitrise très bien, tant pour les calculs que pour la méthode….J’ai bien souvent effectué les deux solutions : macération et percolation sur les plantes identiques récoltées en même temps, au même endroit, séchées aux mêmes conditions….. et il n’y a pas photo ou plutôt si, j’ai fait des photos des deux teintures obtenues en les conditionnant dans des flacons de verres blancs, le temps des photos, et à contre jour pour bien voir les couleurs… Il est indéniable que la percolation faite en 2h de temps (hormis la période d’imprégnation de 24h), soutire bien mieux les composants des végétaux que la macération pendant 30 voire 45jours…. Quant au goût, il est également bien plus prononcé…. Je suis formel là-dessus !… je persiste et signe et reresigne…..
        Pour le concassage et affinage des morceaux de marrons, j’ai trouvé la meilleure solution avec la fonction « glace pilée » … Effectivement , il suffit de considérer que les morceaux de marrons (ou de racines de consoude…et autres racines sèches…) sont des cubes de glace et tourner le bouton vers la fonction prévue à cet effet, pour qu’un broyage grossier s’effectue dans un premier temps et permette un séchage plus accru, puisque les particules sont moins grosses…Après séchage définitif, le re-passage au blender permet la réduction en poudre…en triturant l’appareil et l’inclinant comme nous l’a appris Christophe, et l’on peut encore affiner la poudre obtenue après un tamisage comme l’explique très bien Christophe dans : https://www.altheaprovence.com/?s=pulv%C3%A9risation+des+plantes
        que je vous invite à aller relire pour une remise à niveau de vos connaissances 🙂

  8. Bonjour, s’agit il du marronnier à fleurs blanches ou à fleurs roses ? Deuxième question, vous dites que l’effet se fait sentir très rapidement, vous parlez de qq heures à qq jours. Qu’en est-il pour la tonicité des veines ? Je n’ai pas de douleur mais des varices et un mauvais retour veineux. À moins de faire refaire les examens, y a t’il un moyen de savoir si il y a progrès ou non et si je dois augmenter la dose ? Merci pour votre réponse…et tout vos bons conseils .

    1. Bonjour Martine,
      Pour la couleur des fleurs, c’est très subjectif, donc on parle plutôt d’espèces pour être plus précis, Aesculus hippocastanum chez nous, A. glabra dans d’autres pays, ou A. californica. Les autres types sont probablement médicinaux aussi mais toute la tradition chez nous s’est plutôt développée autour de A. hippocastanum.
      Au sujet du retour veineux c’est dur à dire, en général il y a soulagement rapide des sensations type jambes lourdes, mais là si aucune sensation, je ferais tout de même des cures régulières, l’efficacité du marron d’inde n’est plus à démontrer aujourd’hui, on peut dire que c’est une valeur sûre. Le marron ne va pas vraiment améliorer l’aspect externe des varices, entre parenthèse.

  9. Christophe dit : « Attention, ne conservez pas les marrons entiers pendant l’hiver car il est probable qu’ils moisissent, le séchage étant compliqué sous forme entière. Concassez-les le plus rapidement possible… »
    Moi je rajoute : … et même concassés n’attendez pas pour les faire sécher…. J’en parle en connaissance de cause : J’ai passé un temps fou à concasser au moins 5 kgs de marrons et j’en ai mis environ 1 kg à sécher au four (à basse T°C..)… Opération réussie !… les 4kgs restants je les ai mis dans un sac…. plastifié !… Grrrr….. et j’ai attendu 3 jours avant de remettre la main à la pâte et reprendre le sac de marrons concassés….Horreurrrrrr !…. Les morceaux étaient tous noirs, entourés de moisissures blanches et verdâtres… collés les uns aux autres… le tas de compost les a accueillis !…snif..snif… et je mes suis remis au turbin avec mon casse noisettes/noix…
    Donc AVIS à tous ceux qui veulent se concocter une macération ou une percolation de marrons : n’attendez pas, ne remettez pas au lendemain ce que vous pouvez réaliser le jour même… vos marrons entiers se conservent avec leurs peau protectrice, mais les morceaux de chair mis à nus, se dégradent très vite !….

  10. encore moi !… Cher Christophe, ne croyez surtout pas que je veuille critiquer ce que vous mettez dans vos vidéos car elles sont trop et tellement instructives… mais là !… ce week end je me suis mis au concassage de mes marrons d’Inde .. et, en regardant Christophe dans sa vidéo je l’ai imité avec une multiprise… mais bien vite la force de mon poignet droit à crié sa fatigue et menacé de ne plus obéir….J’ai donc pris un gros marteau et mis une vingtaine de marron dans un sac…hé oui !……. de plastique (moi qui fait la chasse au plastique !… la honte …) et j’ai écrabouillé le mieux possible à l’aveuglette les marrons emprisonnés… mais la résistance des sacs est très limité les débris de marrons sont sortis pas toutes les déchirures… j’ai repris mon marteau et, un par un j’ai cogné en visant au plus juste car il faut tenir le marron entre le pouce et l’index qui sont en danger permanent… et subitement !… tel Géo Trouvetout du journal de Mickey, ou tel Archimède dans sa baignoire… (on peut choisir: le premier qui a une petite ampoule qui éclaire ses méninges tandis que le second aurait crié  » Eurêka ! » en prenant son bain avec des plantes relaxantes… ?… le deuxième est quand même plus noble !…) …j’ai donc, pensé utiliser un vieux casse noisette (presque aussi vieux que celui de Tchaïkovski !…) réversible en casse noix, et là, avec un peu d’efforts quand même, mais pas exagérément, les marrons sont facilement éclatés et le travail avance rapidement… Le seul travail fastidieux, c’est de reprendre les marrons et de les réduire en plus petits morceaux sinon, il y a un risque si on veut les pulvériser ultérieurement car, des morceaux trop gros risquent de se mettre entre les lames du blender et de bloquer l’entrainement…. Je parle en connaissance de cause et j’ai planté ainsi les platines d’entrainement des bols de verre…. j’ai bricolé en attendant que Lidl remette des blenders Silver Crest en vente (je me suis renseigné : c’est pour le 27 septembre) et habituellement c’est de l’ordre de 30€ et très solide pour nos activités de pulvérisations de plantes…. Ceci, constituent de simples infos pratiques et aucunement une tentative de subordination envers votre pince Monseigneur !…

    1. haha cher Hervé je suis éclatée de rire, pour ma part j’avais choisi des vieux tissus pour scratcher mes marrons, et j’ai déjà ma collection de blenders (j’en ai déjà mis quelques un hors service ) donc l’idée du casse noix me parait tout à fait intéressant et grand merci pour vos partages

  11. Bonjour Christophe et Sabine,
    je voudrais arrêter de vous seriner avec tous mes commentaires sur le marron d’inde mais çà doit être un autre type de syndrome …d’attirance permanente vers votre blog certainement !… Ce matin de bonne heure et de bonne humeur, je m’en fus, dès matines, à la cueillette de marrons…. C’était sous un immense marronnier, dans un tout petit jardin, de l’Est parisien, un petit jardin qui sentait bon le bassin parisien, (si vous voulez les vrais paroles voir la chanson de Jacques Dutronc)… mais ces lignes sont quand mêmes les miennes et sont réelles… Donc, un petit jardin public, sans caca de chien, avec un grand tilleul et un immense marronnier… Voilà le décor est jeté : en deux heures de temps j’ai récolté quelques 35 kgs de marrons… de beaux marrons, bien marrons, à la carapace bien luisantes… mais voilà mon problème : les marrons étant à terre, je me suis penché et relevé et tourné vers mon sac à roulette… des centaines et encore plus , de fois, et je me suis fait une sorte de lumbago, avec maux de reins et douleurs de dos… et si j’ai le remède dans mon sac, car j’ai bien lu les prescriptions de Christophe que je colle ci-après : « Excellent remède contre le mal aux reins, que nous nommons communément lumbago (Mulot) ; »… il va falloir que j’attende de pouvoir les briser en plusieurs morceaux pour les faire sécher… puis les pulvériser pour en faire une teinture par percolation…avant de pouvoir les utiliser comme remède, à moins qu’il s’agisse de massage ou cataplasmes avec des solutions aqueuses ?… aie…aie…aie…mes maux de reins ne vont pas attendre et en urgence, je vais devoir palier avec du baume de ma fabrication : gingembre+piment+ clous de girofle macérés dans de l’huile d’olive et incorporés après introduction d’huile essentielle de gaulthérie dans du beurre de karité… Mais après je vais me régaler avec mes composition de marrons…. pour mes jambes lourdes, mes maux de reins, ma prostate et puis …? je trouverais bien autres choses pour liquider mon stock !… 🙂

    1. Bonjour Hervé
      surtout n’arrêtez pas, ce serait nous priver et de vos enrichissantes expérience et de votre poésie … 🙂
      quand même 35kg de marrons !! vous ne faites pas dans le détail 🙂

      1. bonjour Sabine !… mais , je ne pense pas que 35 kgs soit exagéré si vous y réfléchissez bien : les teintures pour la prostate 365j/365j… pour aider à la décongestion du foie…pour les jambes lourdes et les mauvaises circulations des membres inférieurs, douleurs dans les mollets, les maux de reins…bref, pour toutes les prescriptions suggérées dans la fiche de Christophe…. car, quand la saison est terminée… il vous reste des marrons en décomposition sous les marronniers ou…. les herboristeries !.. J’en ai fait l’expérience l’an passé, quand la date de parution de la fiche de Christophe, (17 décembre 2017) ne permettait plus de trouver des marrons… j’en aurait pleurer de rage !… Cette année, je prévois.. car prévoir c’est aussi…. guérir !… OK ?… non mais….

  12. Alors là… çà y est !…. les marrons ont pris leur couleur bien marron…et beaucoup de leurs gousses se sont déjà ouvertes …. ce serait dommage de ne pas faire un petit tour dans la campagne, le long des chemins ruraux, des avenues ou des places et dans les jardins et parcs publics…. bref, là où on trouve des marronniers… et il y en a un peu partout… afin de faire de bonnes cueillettes et réaliser un concassage pour les faire sécher et les réduire en poudre …. car si la saison démarre, les jardiniers des villes et les écoliers ou les automobiles vont soit les écraser, soit les mettre à la décharge ou s’en servir comme projectiles, sans parler des excréments canins, et …. dans quelques semaines il sera trop tard et nos jambes lourdes le resteront …jusqu’à l’automne 2019 !…. Alors : Réveillez-vous … la chasse (ho ! ..pardon la cueillette…) des marrons d’Inde est ouverte….

  13. Bonjour à tous,
    Marron d’Inde et anti coagulant = pas copains…?
    En fait, mon comprimé de 20mg de Previscan quotidien me ferme les portes à pas mal de possibilités en phyto…
    Faut-il prendre cette contre indication vraiment au pied de la lettre ?
    Pas d’alternative pour mes jambes lourdes et qui chauffent car du marron d’Inde j’en ai autour de chez moi, autant en profiter !
    Alors le mieux pour prendre du marron d’Inde c’est quoi finalement ?
    Help !
    Dinosaurus

    1. Bonjour Dinosaurus
      le marronnier d’inde risque d’augmenter l’action de votre médicament et créer des risques hémorragiques donc éviter ;
      par contre vous pouvez l’utiliser en local avec des bains de pieds ou comme nous le signalait notre internaute Hervé Gouriou , mettre de jeunes marrons dans votre poche, et les laisser (je n’ai pas testé mais pourquoi ne pas essayer 🙂 )

  14. Jamais je n’aurai pensé que mes commentaires de ce jour concernant de possibles actions des marrons d’Inde par « rayonnements » au niveau du bassin en les mettant simplement dans les poches de pantalon, auraient de tels antécédents réels sur ce sujet, car, effectivement, en fouinant à travers d’innombrables documents découverts par une recherche sur Google, il apparait que des milliers d’articles et d’auteurs, dont certains ayant doit de citer dans le domaine de la phytothérapie, comme le Docteur Jean Valnet qui, aurait dit que les « essences » du marron étaient susceptibles de diffuser leurs bienfaits au travers des poches (cf Le Figaro/TV mag) ou encore, Marie-Antoinette Mulot, (cf « secrets d’une herboriste » https://www.altheaprovence.com/?s=marie+antoinette+mulot) qui conseillait, en cas de rhumatismes, de douleurs articulaires, de conserver dans une poche un ou deux marrons d’Inde ou également l’article de Isabelle Fontaine de juin 2018 dans la célèbre revue « Plantes et Santé » qui préconise d’essayer la solution traditionnelle  consistant à porter un marron d’Inde dans votre poche en permanence  afin de soulager les problèmes de circulation sanguine tout en protégeant contre les rhumatismes et les maux de reins… https://www.plantes-et-sante.fr/remedes/le-marron-d-inde-la-solution-jambes-legeres … On peut également trouver des théses en doctorat de pharmacie et plusieurs milliers de documents sérieux qui citent cette pratique ancestrale…. Bon, personnellement je vais continuer mes tests et voir les évolutions au niveau de mon bassin en renouvelant les marrons dès qu’ils seront secs, comme stipulé par tous les auteurs … mais, surtout dès que les marrons seront bien marrons, je les percolerais en teintures…

  15. dans l’attente de commentaires éventuels à ma précédenta et toute récente interrogation sur le fait d’avoir mis des marrons dans mes poches, j’ai eu l’idée, en quittant notre Blog, de questionner Google en tapant « marrons d’inde dans les poches » et 418000 réponses s’offrent à moi…. je n’en ai ouvert aucune mais il est intéressant de voir que dès la première page tous les titres y font références pour les hémorroïdes, les douleurs articulaires, les jambes lourdes etc…. Je sens que je vais encore passer beaucoup de temps à feuilleter
    et lire, certainement de nombreuses balivernes, mais peut-être aussi quelques vérités, en rapport à ce que je vous ai décrit et qui continue à se vérifier… Incrédules s’abstenir ….. 🙂

    1. bonjour Hervé
      j’adore vos expérimentactions ….toujours enthousiasmantes et inspirantes
      en tout cas je vais aller visiter les marronniers du village voisin et j’ai un cobaye sous la main que je vais m’empresser de solliciter, je viendrai vous donner des nouvelles 🙂

  16. NOUS Y SOMMES !… la période pour récolter des marrons d’inde est pratiquement arrivée… encore quelques jours voire une semaine ou deux et ce sera bon !…. personnellement, je surveille attentivement cette maturation et j’ai repéré plusieurs grands marronniers bien fournis à cet effet.. Ce week end dernier, je suis allé au repérage et j’ai décroché une première bogue et, malgré qu’elle soit encore bien verte et dure et dardée de ses pics hérissés (telle une mine flottante que l’on voit dans les films de guerre…), j’ai eu raison de cette première défense et je l’ai ouverte pour trouver de gros fruits encore blancs mais avec une large langue bien marron et luisante… je l’ai mise dans une de mes poches de pantalon et j’ai continué mes investigations vers des sites un peu plus éloignés et j’ai recommencé mon opération de « décoction », mais avec les mêmes constatations : les marrons ne pas encore bien marrons…. mais, surprises, en reprenant la totalité de mes marrons mis en poche (4 ou 5 ) je constate que la peau blanche devient bien marron….un peu plus fine que l’écorce définitive mais toutefois, un film protecteur bien marron recouvre les fruits…Je décide donc de rentrer au bercail mes marrons toujours en poche…. où je les ai oublié pendant 48h !… Mais, j’ai constaté un effet inexplicable qui ne vient pas de mon imagination ou d’un quelconque effet placebo, (n’en déplaise à la Ministre de la Santé qui aime beaucoup utiliser ce terme pour nous qualifier de gagas ou gogos…)… Je suis actuellement en pause pour tous traitements de l’adénome de la prostate et ceux qui en sont atteint comprendront les difficultés douloureuses pour uriner quelques gouttes que cette hypertrophie nous coûtent… et bien, figurez-vous que la nuit qui a suivi ma collecte de marrons et leur stockage oublié dans mes poches, mon flot urinaire a été plus qu’abondant, sans aucune difficulté, mais je n’ai prêté qu’une attention superficielle, une simple constatation…. Le lendemain, j’ai revêtu mes habits de randonnées, avec mes marrons toujours en poche, et c’est ce matin et cette nuit que j’ai été forcé de constater avec force de l’amélioration incroyable de mon système urinaire… Je le répète, ce n’est pas un effet placebo, c’est une réalité que je mets sur le fait d’avoir placé des marrons (qui ont mûris !… ) dans mes poches de pantalon… Avez-vous déjà eu connaissance de réflexions ou commentaires à ce sujet ?….SVP, m’en faire part…je suis preneur !!!….
    En tout cas, je vais commencer ma collecte de marrons dans les prochains jours pour les mettre à sécher, les pulvériser et réaliser deux teintures, l’une par percolation et l’autre par macération dans du rhum blanc à 55°…… à suivre donc !…

  17. bonjour je souhaiterais savoir si le mélange marronnier d’inde et fragon est le plus adapté pour un problème de de rétention d’eau (jambes très gonflées )sans douleurs; et si la teinture mère est la plus adapté.
    EN VOUS REMERCIANT

    1. bonjour Laetitia
      – Marron en teinture, vous pouvez prendre en interne 5 à 10gouttes 2 à 3 fois par jour, parallèlement diluer la teinture (1mesure de teinture de marron pour 4 d’eau) faites des massages réguliers en démarrant par le bas
      vous pouvez aussi l’associer au fragon
      et un article à ce sujet https://www.altheaprovence.com/blog/insuffisance-veineuse/
      les bains de pieds (avec du gros sel ) dans de l’eau tiède en vous massant de bas en haut, apporte un certain soulagement

        1. la piloselle est une bonne diurétique et spécialisée pour éliminer le trop plein de sel de l’organisme qui peut être à responsable de certaines rétention d’eau, il faudrait savoir l’origine de votre problème

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