Lierre terrestre (Glechoma hederacea)


Le lierre terrestre cela vous dit quelque chose ?

Non, rien à voir avec le lierre grimpant (hedera helix), que l’on peut confondre de nom.

Rien à voir non plus avec le Gotu-kola (Centella asiatica) dont je vous ai parlé dans une vidéo et que l’on peut confondre d’aspect.

Non, non, n’insistez pas. Il a sa personnalité bien à part ce petit lierre terrestre, et je vous le présente dans cet article.


Nom latin : Glechoma hederacea

Noms communs : Lierre terrestre, Rondelette, Rondote, Rondette, Courroie de saint Jean, Herbe de saint Jean , Gléchôme

Famille : Lamiacées

Parties utilisées : parties aériennes

Constituants :

  • Alcaloïdes (hédéracines A et B) ;
  • Acides phénols (acide rosmarinique) ;
  • Flavonoïdes (hétérosides d’apigénol, de lutéolol et de chrysoériol) ;
  • Lignanes ;
  • Sesquiterpènes (glechomafurane ou glechomanolide) ;
  • Triterpènes dérivés de l’acide ursolique ;
  • Huile essentielle à cétone monoterpénique ;
  • Lectines.

Goût : aromatique, légèrement amer

Energétique : asséchant

Lierre terrestre (Glechoma hederacea)


Description de la plante

Le lierre terrestre est répandu dans toute l’Europe jusqu’en Asie, même au Japon.

Considéré comme un cousin éloignée de la menthe (d’où les confusions de nom « glechome » avec la menthe pouillot), il fait partie de la grande famille des lamiacées. On y retrouve d’ailleurs les composantes caractéristiques de la famille : tige carrée et feuilles opposées sur la tige.

Ses tiges rampantes peuvent se dresser jusqu’à 30 cm de hauteur. Les fleurs sont bleu-lavande saupoudrées de pourpre, à corolle bilabiée, poussant par 2 ou 3 aux aisselles des feuilles et toutes tournées du même côté.

Les feuilles sont un peu poilues, cordiformes et crénelées, de forme arrondie ou en forme de coeur.

D’allure assez discrète, le lierre terrestre nous fait vite oublier, grâce à son sympathique parfum vanillé camphré et son potentiel mellifère, son côté envahissant.

N’oubliez pas la vitalité de ses stolons si vous désirez l’installer dans votre jardin. Mieux vaut lui donner une place bien définie car les « liens d’amour » qu’il tisse peuvent vite devenir étouffants… aussi bien pour les autres plantes que pour le jardinier !

Le côté amusant de l’histoire, c’est le clin d’œil que nous propose Dame Nature, en dotant notre lierre terrestre du pouvoir de guérir et soulager les problèmes liés au système respiratoire. Etouffant d’apparence, il est en fait là pour nous donner une bouffée d’air pur.

Lierre terrestre (Glechoma hederacea)


Clé d’utilisation du Lierre terrestre

Le lierre terrestre a quelques subtilités qu’il faut bien comprendre.

Commençons par le système respiratoire. On va vous dire qu’il est utile pour les bronchites. C’est vrai, mais ça veut dire quoi exactement ? N’est ce pas un peu vague comme description ?

Il faut aller plus loin. Il faut comprendre dans quelle direction il va faire évoluer le problème.

Voici la clé. Le lierre terrestre assèche les muqueuses ORL lorsqu’elles sont congestionnées ou engorgées, lorsqu’il y a une forte production de mucus qui dépasse un peu notre capacité à éliminer ce mucus.

Le lierre terrestre va calmer cette surproduction et va au passage permettre une meilleure élimination.

Comment utiliser cela en pratique ?

Lierre terrestre (Glechoma hederacea)


Cas pratiques : problèmes ORL

Premier cas, très bien décrit par Matthew Wood aux États-Unis (ref : Wood).

On peut utiliser le lierre terrestre lorsqu’il y a inflammation et congestion de l’oreille moyenne, une situation qui peut être provoquée par une infection respiratoire qui bloque l’évacuation au niveau des trompes d’Eustache.

Nous sommes donc ici en pleine ➜ otite séreuse. Il se combine bien avec le plantain qui lui aussi est asséchant des muqueuses. Idem avec la fleur de sureau, le tout pour aider à décongestionner l’oreille moyenne.

On peut utiliser le lierre terrestre lorsqu’il y a sinusite, et pensez à cette forte congestion des sinus avec accumulation de mucus et incapacité à évacuer.

Soyons clair, pour les sinusites infectieuses, ce n’est pas une plante miracle qui va faire disparaître la sinusite en claquant des doigts.

Mais pour une ➜ sinusite allergique avec écoulement constant d’un mucus qui est plutôt clair, plutôt liquide, c’est une bonne plante d’accompagnement. Bonne combinaison avec le plantain là encore et l’euphraise, Euphrasia officinalis.

Lierre terrestre (Glechoma hederacea)

On descend un peu plus bas dans les poumons. Simplement dire « pour les bronchites » n’est pas suffisant.

Pour avoir plus de précisions, remontons dans le temps et replongeons nous dans les années 1850, une époque où le docteur Cazin, un médecin qui nous a laissé une bible sur les plantes, était en train d’arpenter les campagnes pour aider ceux qui ne pouvaient pas se permettre la médecine des villes.

Cazin nous dit à qu’il a guéri des catarrhes pulmonaires chroniques. Un vieux terme utilisé pour dire que les bronches sont prises d’une manière chronique. La toux est grasse, il y a expectoration, mais la personne n’arrive pas à se débarrasser du problème.

Donc on est plutôt dans la ➜ bronchite chronique ici, avec une condition « humide » que le lierre terrestre va assécher.

Cazin l’utilise aussi pour ➜ l’asthme humide, c’est-à-dire un asthme pour lequel il y a hypersécrétion des bronches, les bronches sont constamment prises, la personne a du mal à expectorer.

D’une manière générale, il nous donne la règle suivante, et là je vais simplifier un peu ses propos : « Je l’administre toujours avec confiance dans toutes les affections de poitrine où une expectoration se manifeste avec une certaine abondance ».

Donc quelques mots clés à garder en tête : expectoration abondante, condition humide, condition chronique.

Je vous fais un résumé des indications :

  • Otite séreuse, pour décongestionner ;
  • Sinusite, surtout de nature allergique, combinée avec d’autres comme le plantain, l’euphraise, etc ;
  • Asthme allergique, asthme « humide » ;
  • Tout problème de type bronchite qui traine, qui rentre dans la chronicité. On peut voir cela chez le fumeur, chez la personne allergique, dans les régions où le climat est très humide, dans les régions polluées.
    • Bonnes associations avec les plantes comme l’aunée et l’hysope pour essayer de mettre fin à cette chronicité.

Vous comprenez maintenant pourquoi on arrive souvent à la conclusion suivante : les plantes ne fonctionnent pas. Parce que ce qu’on nous dit, ce qu’on apprend sur internet, est souvent trop générique. Il faut être plus fin que ça !

Lierre terrestre (Glechoma hederacea)
Lierre terrestre et liseron

Digestion et pertes blanches

Je vais passer assez rapidement sur ses propriétés digestives. En effet, comme de nombreuses lamiacées aromatiques, elle va ➜ soulager les ballonnements, les crampes, les inflammations intestinales.

Chez la femme, elle peut agir sur les pertes vaginales, ce qu’on appelle les ➜ leucorrhées. Là encore, elle est asséchante – vous voyez le fil conducteur.


Acouphènes et métaux lourds

Je vais maintenant vous parler de deux utilisations que je trouve vraiment très intéressantes.

Pour la première utilisation, je vais rendre hommage à une herbaliste Finlandaise, vous ne la connaissez probablement pas, mais je peux vous dire que dans nos cercles on la connait bien. Elle s’appelle Henriette Kress, et elle utilise les plantes avec beaucoup de finesse. C

’est d’elle que j’ai appris que le lierre terrestre peut être très utile pour les ➜ problèmes d’acouphènes. Alors oui, je sais, je vous ai fait un article/vidéo sur les acouphènes et je ne vous ai pas parlé de lierre terrestre, car j’ai insisté sur 2 plantes en particulier qui me paraissaient un petit peu plus intéressantes.

Et bien vous pouvez maintenant en rajouter une troisième !

C’est une vieille indication qui remonte aux années 1600, mais qui a été confirmée par de nombreux praticiens dans les pays anglophones ces dernières années.

Kress nous dit que tout le lierre terrestre qu’elle ramasse, toute sa réserve, est distribué à ceux qui souffrent d’acouphènes et qui en sont très satisfait.

Elle nous rappelle aussi, et là notez bien car c’est un point clé : la plante doit être utilisée pendant des mois, 2 à 3 tasses d’infusions par jour. Il faut s’y tenir.

Lierre terrestre (Glechoma hederacea)

Autre utilisation très intéressante : c’est une plante qui, dans le passé, a été utilisée pour ce qu’on appelait la colique de plomb. En gros, une ➜ intoxication au plomb, une condition qu’on appelle aujourd’hui saturnisme.

On retrouve cette indication dans les vieux écrits des années 1800, aux États-Unis en particulier (voir King’s American Dispensatory, 1898).

Le lierre terrestre était utilisé en prévention contre une intoxication éventuelle, par les peintres en particulier, et en curatif aussi s’il y avait intoxication.

Certains pensent que la plante pourrait aussi agir sur une intoxication au mercure ou à d’autres métaux, ce qui est un peu spéculatif mais bon, c’est à garder en tête si vous êtes à la recherche de solutions.


Préparations et dosages

A savoir, la plante perd vite ses propriétés au séchage, l’idéal serait donc de l’utiliser fraiche :

  • Infusion des parties aériennes fraiches ;
  • Teinture des parties aériennes fraîches.

Je vous explique comment préparer tout cela facilement, de chez vous, dans ma formation sur la fabrication de produits à base de plante, le lien est ici (téléchargez votre PDF cadeau pour avoir plus d’informations sur la formation).

Si vous n’avez accès qu’à la plante sèche, assurez-vous qu’elle soit encore aromatique. Basé sur mon expérience du marché, c’est hélas plutôt compliqué d’avoir cette qualité. Si elle est trop vieille, il n’y aura quasiment aucun résultat.

Pour les dosages :

  • 15 à 30 g de plante sèche pour un litre d’eau, 3 à 4 tasses par jour entre les repas (ref : Corjon).
  • Pour la forme fraiche, une bonne pincée par tasse, le tout est de se faire une infusion bien aromatique.
  • Pour la teinture, 1 cuillère à café 2 fois par jour (ref : Valnet)

Précautions

  • Nous avons les précautions classiques : pas chez la femme enceinte ou allaitante par manque de données.
  • La plante est déconseillée chez la personne qui est sous anticoagulants.

Références

Valnet, Jean, “La phytothérapie : Se soigner par les plantes”, 2001

Wood, Matthew, “The Earthwise Herbal: A Complete Guide to Old World Medicinal Plants“, 2008

Corjon, Gilles, « Se soigner par les plantes« , 2015
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116 réponses

  1. bonjour,
    mon propos n’a pas de rapport avec le sujet développé aujourd’hui j’ai su que l’ail fluidifiait le sang, mon mari vient de subir l’ablation du colon ascendant il y a 10jours, peut on remplacer l’injection de LOVENOX 4000UI pendant 20 jours par une consommation importante d’ail 5sous quelle forme et quelle quantité?
    aussi quelle huile favoriserait la cicatrisation d’une jolie couture de 20cm parfaitement répartie horizontalemet de part et d’autre du nombril !
    merci merci pour vos articles
    j’attend toujours avec impatience vos vidéos.
    Françoise Sauvage

    1. Bonjour Françoise
      – Non, nous ne pouvons pas vous conseiller de remplacer le traitement qu’a prescrit votre médecin suite à l’opération de votre époux
      – pour une huile cicatrisante, je pense qu’un onguent à la consoude / calendula et/ou gotu kola (Centella asiatica) pourra être une aide précieuse pour la cicatrisation

  2. Bonjour,
    Je suis à la recherche de solutions pour mes acouphènes qui deviennent de plus en plus gênants.
    où acheter du lierre terrestre par intérnet.
    J’ai loupé votre lettre sur les acouphènes . Pouvez-vous me renvoyer le lien.
    Merci pour vos lettres et vos explications toujours claires.
    Rosalia

  3. Bonjour Christophe,

    Merci pour votre travail et votre humour que j’apprécie particulièrement!!!!
    Je prend un vrai plaisir à vous lire même si votre mail est long ils me font souvent rire!!!

    Quand J’aurais plus de temps (car j’ai un enfant) j’aimerais faire votre formation.
    Bonne continuation
    Virginie

  4. Bonjour Christophe,tout d’abord merci pour votre travail.
    Vous parler dans votre qu’a l’abonnement vous nous offert un livre PDF sur comment préparer les je suit abonné mais je ne l’est jamais reçus ,vous serai t’il possible de me le faire parvenir Svp
    Je vous en remercie par avance .
    Rémy Charlette

  5. Ha oui j’ai oublié de préciser bravo pour la qualité de vos photos ! c’est très important pour mémoriser et déterminer une plante, une photo vaut mieux qu’un long discours même si l’un n’empêche pas l’autre. pascal

  6. Bonjour Christophe
    magnifique description du lierre terrestre, on vous lirait sans interruptions, vos explications sont précises et fraîches comme les plantes, pas de langue de bois, j’apprécie vraiment. cordialement pascal

  7. Merci Christophe de parler de cette plante que j’aime beaucoup. En fait, je l’utilise régulièrement quand j’ai une toux grasse avec beaucoup de mucus et j’en fais chaque année un sirop de plantes fraiches avec le miel restant.
    Au plaisir de te lire.

  8. Bonjour, j’ai un problème : quand j’ai lu votre article j’ai dit chouette il y en a dans mon jardin, de plus j’avais depuis longtemps repéré la bonne odeur de cette « mauvaise herbe » et ça m’a semblé logique. Mais les fleurs ne sont pas bleues mais mauves (je n’ai pas réussi à mettre l’image). Est-ce bien la même plante ou pas ? merci beaucoup.

    1. Bonjour Catherine,
      Le lierre terrestre peut avoir des fleurs mauves aussi.
      Mais cela n’est pas suffisant pour une identification sans équivoque bien sûr.
      Donc là, je ne peux pas vous dire. Mais le fait que les fleurs soient mauves ne veut pas dire que ce n’est pas du lierre terrestre.

  9. J’ai déjà goûté l’infusion au lierre terrestre, d’un goût exquis. Malheureusement, de nombreux chats plus ou moins errants se plaisent à visiter mon jardin et cette plante étant au ras du sol, et assez couvrante dans certains coins, je crains de l’utiliser pour de délicieuses tisanes pour mon mari qui souffre d’acouphènes et d’asthme allergique. Peut-on considérer que l’infusion tue les éventuels parasites que les chats ont pu amener par leurs déjections ?
    Merci pour ces infos et l’humour avec lequel elles sont si merveilleusement distillées. Je n’ai pas encore osé me lancer dans les manipulations concrètes, bien que j’en sois de plus en plus tentée. J’ai acheté à lidl un déshydrateur et un extracteur de jus quand l’occasion s’en est présentée récemment. Mais j’hésite encore à me lancer. Compte tenu du problème « chats » principalement, je pense que j’opterai d’abord par acheter les plantes aux adresses que vous donnez.
    Merci infiniment pour votre blog, une véritable promenade à lui tout seul.

    1. Bonjour Anne Marie
      Si vous doutez , passez rapidement les feuilles de lierre terrestre dans de l’eau légèrement vinaigrée, et ensuite l’eau à 80-85° normalement fera le reste , par exemple le Toxoplasma gondii parasite que l’on peut trouver dans les déjections des chats qui peuvent transmettre la toxoplasmose, est détruit par une cuisson au dessus de 65°, l’échinococcose du renard est détruite avec une cuisson au dessus de 60°

  10. Formidable je connais bien cette jolie plante dans mon jardin mais je n’en connaissais pas les propriétés. Merci pour cette découverte. Et merci pour vos généreux partages.

  11. Bonjour Christophe,
    Je me demandais ce qu’était le lierre terrestre. Maintenant, grâce à vous, je sais ce que c’est.
    J’en profite pour vous remercier pour toutes les vidéos que vous nous transmettez, toujours très compréhensibles.
    Cordialement. Renée.

  12. Bonjour,
    Encore un article passionnant! Votre travail est admirable.

    Un question, peut-être déplacée. Le lierre terrestre est une aromatique; le randonneur et le jardinier peuvent-ils simplement mâcher la feuille fraîche ou ciselée, assaisonnée de quelques gouttes d’huile et de vinaigre?

    Bien à vous.

    1. Bonjour Serge
      oui tout à fait, je l’introduis régulièrement dans mes salades sauvages , et j’en mâchouille de temps en temps

  13. Bonjour,
    Merci pour ce rappel
    Lorsque j’étais enfant, à titre préventif, tous les soirs d’hiver nous buvions une infusion de lierre terrestre. Cette tisane nous était servie avec un peu de miel et un nuage de lait. Elle se transformait en un breuvage exquis.
    L’hiver prochain je reprendrais ce rituel.

  14. C’est un vrai bonheur de vous lire, j’adore votre humour et je suis ravie de trouver sur votre site tant d’informations détaillées et si facilement accessibles. Bravo et merci !
    PS : je n’ai pas reçu votre PDF cadeau lorsque je me suis abonnée à votre lettre d’information, vous serait-il possible de me le faire parvenir maintenant ?
    D’avance merci beaucoup.

      1. Bonjour Sabine,
        Hélas le lien ne fonctionne pas. lorsque je l’ouvre le message suivant s’affiche : page introuvable erreur 404.

  15. merci pour le lierre terrestre ,j’en ai mon plein jardin et vais réaliser une teinture dans mon pressoir à café
    je ne vous ai pas entendu à propos de la carotte sauvage et de ses graines en « nids »

    tellement de plaisir à vous lire !!!!

    1. Bonjour Corinne
      oui on peut l’utiliser en externe , par exemple en inhalation, vous préparez votre infusion, placez une serviette au dessus de la casserole et vous restez au dessus jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de vapeur (vous renouvelez autant de fois que vous pouvez )

  16. Bonjour,
    Merci pour toutes ces newsletters que vous m’envoyez, à chaque fois c’est une mine d’or d’informations. Bien détaillée, bien explicite, j’aime beaucoup.
    Dans la dernière newsletters vous parlez du bouillon blanc en disant que l’on trouve très peu d’infos à son sujet concernant les indications spécifiques, que ce n’est pas assez détaillé. Que l’on nous dit que c’est pour la toux et point final! C’est vrai!! Je confirme!
    Pourriez vous me donner le nom de livres et auteurs en phyto svp qui détaillent bien les spécificités des plantes et qui seraient bien fait dans l’ensemble? Merci d’avance.

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