La salicaire : je pense que vous avez déjà vu cette belle plante lorsque vous vous êtes baladé près d’un cours d’eau, peut-être au bord d’un canal ou d’une petite rivière.
Elle fait de magnifiques fleurs violettes, vous ne pouvez pas la rater.
Un peu de botanique
La salicaire (Lythrum salicaria) est une plante vivace de la famille des Lythraceae. Cette famille n'est pas très connue dans le monde des plantes médicinales, je vous l’accorde.
Elle pousse quasiment toujours à proximité de l’eau, vous allez rarement la trouver ailleurs. Elle peut atteindre 1 mètre de haut. Sa tige est de forme carrée assez solide, velue et de couleur rougeâtre.
Les feuilles sont de forme lancéolée, opposées sur la tige. Les sommités fleuries sont magnifiques, de couleur rose pourpre, composées de petites fleurs qui ont 6 pétales chacune. La fleur sécrète un nectar très apprécié par les abeilles.
Si vous regardez sa répartition sur le territoire, vous allez la trouver dans quasiment toutes les régions de France, et elle est présente dans de nombreux pays. C’est donc une plante relativement facile à trouver.
Constituants de la salicaire
La salicaire est appréciée principalement pour ses propriétés astringentes. Cela veut dire qu’elle est riche en tanins, et c’est cette richesse qui va déterminer ses utilisations principales.
Je vous rappelle au passage que je vous ai fait une vidéo sur les tanins ici pour vous aider à comprendre à quoi sert cette famille de constituant des plantes.
Notez que la plante n’est pas unidimensionnelle, elle ne contient pas que des tanins. Elle contient des anthocyanosides, qui sont des pigments qui donnent la belle couleur aux fleurs. Ce sont des antioxydants puissants qui semblent jouer un rôle bénéfique dans la santé cardiovasculaire, en particulier pour protéger les structures veineuses et artérielles.
Elle contient un peu de mucilages aussi, des mucilages qui vont lui fournir un petit côté adoucissant et apaisant des muqueuses enflammées.
La salicaire est anti-diarrhéique
La salicaire calme les inflammations intestinales accompagnées de diarrhées. C’est une antidiarrhéique bien connue qui va ralentir le flux des diarrhées sans pour autant bloquer complètement le transit.
Dans les études d’ailleurs, on voit que la salicaire diminue les contractions intestinales, elle permet au colon de réabsorber plus de fluides, mais par rapport aux médicaments antidiarrhéiques, elle ne bloque pas complètement l’échange des fluides (1).
Elle ne provoquera donc pas de problèmes de constipation si on en prend trop.
On retrouve cette utilisation dans les vieux écrits, en particulier à partir des années 1700. La salicaire était très utilisée contre la dysenterie, même épidémique nous dit Fournier. Donc indiquée pour accompagner toutes ces maladies causées soit par des bactéries, soit par des amibes, et qui provoquent des diarrhées très aiguës avec de fortes crampes.
Dans les années 1900, le grand docteur Leclerc, à qui on doit beaucoup sur l’utilisation des plantes médicinales en France, explique qu’il l’a utilisé la salicaire pendant la Première Guerre mondiale. Il était médecin militaire, et pendant la bataille de la Marne, il dit avoir pu soulager des diarrhées qui résistaient aux médicaments de l’époque, ceci grâce à la salicaire.
J’aime bien parler de ces épisodes de l’histoire des plantes car parfois, lorsqu'on parle des plantes médicinales aujourd’hui, certains vous diront les plantes ont une action très lente, tellement subtile qu'il est parfois presque impossible de voir si elles agissent ou pas.
Elles sont subtiles certes, mais elles peuvent agir d’une manière rapide et efficace. Lorsqu’on parle de soins militaires sur les zones de combat, je peux vous dire qu’il faut que ce soit sacrément efficace pour qu’un médecin soit prêt à l’inclure dans sa trousse médicale.
Salicaire et dysbioses intestinales
Revenons à un contexte un peu plus moderne des diarrhées. La salicaire a une activité anti-bactériene, anti-fongique (2), en particulier anti-candidose intestinale.
Donc si vous souffrez de diarrhées régulières, dans le contexte d’une colopathie fonctionnelle peut-être (syndrome de l’intestin irritable), ou peut-être votre transit a été perturbé après une prise d’antibiotiques, cette situation est probablement due en partie à un déséquilibre de la flore intestinale. La présence de certaines souches bactériennes ou fongiques est problématique.
Dans ce cas, vous pouvez utiliser la salicaire, d’une manière assez régulière si nécessaire, pour soulager cette situation. Et dans ce contexte de diarrhées, on ne l’utilise pas seule, on va la combiner avec des plantes qui vont adoucir la muqueuse intestinale, comme la camomille matricaire, comme la fleur de mauve.
Freine les saignements
La salicaire a des propriétés hémostatiques, c’est-à-dire qui freine les saignements. Là encore, ceci est typique des plantes riches en tanins.
Ces saignements peuvent être dus à un ulcère gastroduodénal, à d’autres types d’ulcération plus bas dans le tube digestif du type maladies inflammatoires chroniques intestinales, rectocolite hémorragique par exemple.
Là encore, combinez-la avec des plantes adoucissantes et mucilagineuses, elle sera beaucoup mieux tolérée, en particulier dans ces situations où la muqueuse intestinale est très enflammée, très réactive.
On peut utiliser la salicaire pour des ulcérations plus haut dans le tube digestif aussi, en commençant par la bouche. On peut faire des bains de bouche pour les problèmes de gingivite chronique par exemple. On peut faire des gargarismes pendant une angine, très bien aussi.
Elle a été traditionnellement utilisée pour tout saignement chez la femme, saignements trop abondants pendant les règles, ou saignements entre les règles.
Salicaire et retour veineux
Sa richesse en différents types de tanins la rend intéressante pour les problèmes de retour veineux, insuffisances veineuses, hémorroïdes.
Pour l’insuffisance veineuse plutôt en prise interne, forme infusion en cure, pour les hémorroïdes prise interne et application locale aussi, en bain de siège en utilisant une infusion concentrée par exemple.
Applications externes
Vu sa richesse en tanins et flavonoïdes, nous avons une multitude de situations dans lesquelles on peut faire une application externe.
Petite pause tout d’abord, si je vous mentionne cette association tanins et flavonoïdes, c’est qu’il y a une raison. Les tanins resserrent les tissus enflammés, ils agissent sur une situation aiguë, et les flavonoïdes eux vont plutôt avoir une action protectrice, ils vont renforcer les tissus sur le long terme.
On n’agit donc pas simplement sur le coup terme, au passage on apporte un petit plus aux tissus abîmés, on les renforce.
On peut appliquer la plante localement sur une blessure, sous forme d’infusion concentrée ou de teinture diluée. On peut l’appliquer sur les ulcères de jambe, les ulcères variqueux, ici excellente combinaison avec la fleur de souci (Calendula officinalis).
La salicaire peut être utile pour les écoulements vaginaux qu’on appelle leucorrhées, sous forme d’irrigation vaginale ou de bain de siège, pour les candidoses vaginales aussi.
Formes et quantités
☀︎ Infusion des sommités fleuries sèches. Fournier recommande entre 30 et 60 g par litre d’eau, boire un tiers à un demi litre pendant la journée. 60 g me parait beaucoup pour une prise interne, donc personnellement je m’en tiens à 30 g par litre et c’est déjà très bien.
Pour l’utilisation externe en revanche, Fournier recommande 50 g/L, on va donc doser plus fortement, ce qui est normal. En effet, dès que vous faites une application externe des plantes, vous allez concentrer votre préparation. Valnet recommande de faire une décoction pour l’application externe.
☀︎ Teinture pour application externe, sur une plaie en particulier, une forme pratique. Voir mon article ici pour le processus de fabrication. Un alcool à 40 à 45° est suffisant. Pour l’application, on va toujours diluer la teinture, disons 1 volume teinture pour 2 à 3 volumes d’eau.
Précautions pour la salicaire
Aucune connue ou répertoriée, bien que je vous donne ci-dessous les précautions classiques pour les plantes riches en tanins :
- À prendre loin de toute prise de médicaments car les tanins vont bloquer l’absorption au niveau de la muqueuse digestive.
- Même chose pour les nutriments de la nourriture, donc on prend les plantes astringentes loin des repas, loin de la prise de compléments alimentaires (vitamines, minéraux).
Références
(1) Brun Y, Wang XP, Willemot J, Sevenet T, Demenge P. Experimental study of antidiarrheal activity of Salicairine. Fundam Clin Pharmacol. 1998;12(1):30-6.
(2) Jussi-Pekka Rauha, Susanna Remes, Marina Heinonen, Anu Hopia, Marja Kähkönen, Tytti Kujala, Kalevi Pihlaja, Heikki Vuorela, Pia Vuorela. Antimicrobial effects of Finnish plant extracts containing flavonoids and other phenolic compounds. International Journal of Food Microbiology, Volume 56, Issue 1, 25 May 2000, Pages 3-12.
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Isabelle dit
Bonjour Christophe,
Est ce que la salicaire peut être utilisée pour des amibes gingivales en bains de bouche ou y a t-il une plante plus ou aussi efficace?
sabine dit
bonjour Isabelle
vous pouvez la coupler avec la sauge (préparer une infusion sauge/salicaire, dans laquelle vous rajouter quelques gouttes de tea tree et/ou de propolis et vous faites des bains de bouches 3 à 4 fois par jour (en fait après les repas ou les grignotages )
Nadia dit
Bonjour Christophe. Je trouve vos vidéos intéressants, Merci beaucoup pour tout le travail que vous faites pour nous apporter les informations nécessaire à une bonne santé.
J'attendrai une vidéo sur l’arthrose du genou. Cordialement.
Dominique dit
Je suis heureuse de découvrir une grande utilité à la salicaire, une plante envahissante au Québec qui met en danger les plantes indigènes et réduit la biodiversité. Il est conseillé de la détruire car chaque année elle prend de plus en plus de terrain. Ainsi, si nous récoltons les sommités fleuries, au moins elle ne se reproduira pas par ses graines abondantes. Il restera les rhizomes qui eux aussi lui permette de s'étendre. J'en ai de plus en plus dans les milieux humides autour de chez moi évinçant ainsi les plantes originaires d'ici. Alors je vais publiciser les vertus médicinales de cette plante ce qui permettra de réduire son impact dans la nature. Je suis émerveillée par l'ampleur de votre œuvre de transmission et je pense bien m'inscrire un jour à vos cours lorsque je pourrai me permettre ce cadeau.
Hervé GOURIOU dit
Bonjour Sabine, 🙂 bonjour Christophe 🙁
Une fois n'est pas coutume mais je suis fâche avec Christophe !... Voilà plusieurs années que je vois ces masse de fleurs roses de chaque coté du chemin de halage sur les bords de Marne à coté de chez moi...(bien que breton ...) et Christophe nous sort une belle vidéo, comme dab, ce Vendredi dernier presque à la mi aout ...çà fait miaou ?...c'est parce que je vais sortir mes griffes parceque la collecte des fleurs de salicaire sont trop tardives... La saison a commencé en Juin... et de plus, les salicaires ici atteignent 2m et tombent sous le poids des épis fleuris et les agents publics de l'entretien des bords de Marne sont venus et ont pratiquement tout ratiboisé et les seules fleurs que j'ai trouvé sont disposées au bout des épis, le reste étant déjà pratiquement en graines.... J'en ai quand même récupéré un sac mais, maintenant que je connais la valeur qu'elles ont, je serais aux premières lueurs de l'aube en juin 2020.... J'ai pu récupéré quelques pieds avec racines que je vais planter au bord de mon petit bassin... comme çà j'aurai un peu de ressources à portée de main ... l'année prochaine 🙁 PS : pour la Lavande Christophe était dans les temps du calendrier 🙂
sabine dit
Bonjour Hervé
ha parfois l'horloge de saison nous joue des tours, par contre chez moi elle n'est pas fanée ,ces charmantes redressent fièrement leurs jolies hampes colorées, et apportent leur touche de poésie sur le bord des fossés et sont encore toutes guillerettes (bon leur floraison se situe entre juin et septembre selon les régions) donc bonne pioche pour moi 🙂
Hervé GOURIOU dit
🙁
sabine dit
mais peut-être il y en a qui se sont réfugiées ailleurs dans des coins non visités 🙂
Hervé GOURIOU dit
mais bien sûr Sabine... c'est bien mon intention de partir à la découverte de territoires sauvages et encore vierges 🙂 pour trouver de nouveaux filons de salicaires, qui me rendront les jambes légères (retour veineux...).
Je pense effectivement rechausser mes groles et mon sac à dos d'ici 2 à 3 jours...
Mais, dites moi, Christophe, j'espère qu'il n'est pas contrarié, car moi, je disais çà pour de rire.... Je n'ai jamais été fâché avec lui.... d'ailleurs, comment pourrait-ton se fâcher avec un tel homme, aussi intègre, bosseur, généreux, humaniste, gentil, plaisant à voir et à écouter et encore plus.... c'est vrai, je le pense très sérieusement.... et puis avec toutes les théories et discours de fin du monde dans les deux ou trois prochaines décennies (même Edouard, notre Premier Ministre, a déclaré très officiellement devant les caméras de TV en être persuadé....), il vaut mieux se serrer les coudes et pour ceux qui ne l'ont pas encore fait, se lancer dans la permaculture, car pour ce qui est des plantes médicinales on est déjà et depuis longtemps dans le coup et cela grâce à qui ?...à Christophe (non pas Castaner), notre Christophe B. Donc passez lui le message que je n'ai JAMAIS été fâché avec lui ... (...et même... je rigole doucement pour me moquer de lui, quand il part dans la baille en oubliant qu'il a son smartphone in the pocket !!!... Ha..ha..ha....
sabine dit
🙂
christine dit
Bonjour Christophe et merci! Cette fois encore vous mouillez la chemise et même plus..!
Que pensez-vous du sirop que je trouve est pourtant fort pratique et facile à faire avaler aux jeunes enfants?
A bientôt sur cette page
Christine
sabine dit
bonjour Christine
bonne option pour le sirop 🙂
Sabine GUINOT dit
Bonjour Christophe
Merci pour cet article très intéressant ; habitant la même région que la vôtre je fais des randonnées et il m'arrive de voir ces belles fleurs sans connaître leur nom ; dorénavant je les regarderai avec un peu plus de "respect"!!!!
Merci
Jimmy dit
Bonjour, plusieurs petites verrues plates sur les jambes de la cheville aux genoux il est plus facile de les apercevoir à contre-jour .j'ai essayé le vinaigre de cidre avec des oignons macérés et l'huile d'origan vert visiblement aucun changement???
sabine dit
Bonjour Jimmy
peut-être trouverez vous des pistes dans cet article https://www.altheaprovence.com/blog/soigner-les-verrues-plantaires/
Dominique dit
Toujours beaucoup d'humour dans vos lettres préliminaires, pour nous les "ensuqués" provençaux...et pour tous les autres qui nous découvrent, ainsi que notre art de vivre, grâce à vous !!!
Les vidéos sur toutes ces plantes sont un enrichissement permanent : bravo du fond du cœur, un vrai plaisir de vous lire et vous écouter tous les vendredi. MERCI
Françoise Bonvarlet dit
Merci beaucoup pour toutes ces informations très intéressantes à savoir !Notre terre nourricière pourvoit à tout !Et vous,vous êtes un vrai passionné !
Kemelharen dit
Bonjour Christophe
Je suis Veronique (parmi tant d autres) je veux vous partager cette belle synchronicite qu est le monde des plantes. Actuellement en vacances dans le marais poitevin j ai loué une petite maison au bord de l eau et je m interrogeais sur cette jolie fleur fushia au bord de l eau ..ta tam vous m avez donné la reponse par la vidéo de cette semaine et comme la nature fait bien les choses elle est à côté de son amie la mauve...merci encore christophe
Je me delecte deja de participer a ma 4eme
Formation sur le systeme immunitaire.
Bravo pour tout ce que vous nous donnez
Bien à vous Véronique
Johanna dit
Très interessant Christophe, merci beaucoup.
Je voudrais juste savoir sous quelle forme prendre la salicaire par voie interne contre la diarrhée si on n'est pas fan de tisanes. Est-ce la forme teinture ou même evt macérât est efficace par voie interne? Merci de votre réponse.
sabine dit
Bonjour Johanna
Fournier propose
en poudre (séchée et broyée)
en sirop https://www.altheaprovence.com/blog/confection-sirop/
la teinture est aussi une bonne option
pascal27 dit
Bonjour Christophe, gratitude pour ces informations "salicaire" toujours aussi précises et intéressantes. J'ai récolté de la salicaire; mais la hampe florale est entre fleurs naissantes en haut d'épi et fleurs fécondées en partie basse de l'épi floral ne laissant que le calice ou bractées sans la fleur. Épi fleurit et épi défleurit sont ils la partie active qu'il faut récolter et est-ce le bon stade ? Les feuilles ont-elles les mêmes propriétés ? Cordialement et merci à vous pour votre retour, pascal
sabine dit
Bonjour Pascal27
méthode optimale quand les fleurs sont en boutons en bas et qu'elles commencent à s'ouvrir en haut mais dans la réalité , on prend les sommités fleuries (fleurs, feuilles, bractées) même quand certaines en bas sont fanées
Marie dit
Pensez-vous que la salicaire soit active sur des "diarrhées motrices"? (prise d'imodium régulière depuis des années: plus qu'un ou deux par jour avec seroplex 10mg)
sabine dit
Bonjour Marie
je pense que la Salicaire peut atténuer mais ne réglera pas le problème à elle seule de la diarrhée motrice
Xavier M dit
[Question pro restrictions d’usage.]
Bonjour Christophe et Sabine, merci pour votre boulot !
Dans la liste des plantes autorisées à la vente hors pharmacie, Lythrum salicaria a une restriction dans les tableaux Légifrance et DGCCRF. Mais pas dans celui de l’ANSM "plantes médicinales utilisées traditionnellement".
Je n’arrive à trouver ces restrictions sur les parties de la plante, nulle part. Autrement dit, est-ce qu’on peut la trouver légalement hors pharmacie dans les tisanes ?
merci !
sabine dit
Bonjour Xavier
voici la réponse de Christophe
"Toute la partie juridique n'est hélas pas mon fort. Je ne sais pas. On la trouve définitivement en herboristerie. "
François dit
Bonjour Christophe. J'ai découvert depuis peu votre site et vos vidéos que je trouve absolument génial, très instructif. Vos conseils sont simples, détaillés et précis. Bonne continuation et votre chemise vous va à ravir. Cordialement. François
sabine dit
bonjour François
merci pour Christophe 🙂
Marie-Hélène dit
Mais oui bien sûr, à côté de Pierrelongue et son église magnifique en haut d’un piton rocheux, coin magnifique de France. Merci beaucoup pour cette vidéo comme toujours très instructive. Les feuilles et les racines ont-elles un intérêt également ou juste la sommité fleurie. À bientôt.
philippe dit
Mais pas du tout Christophe. Cette chemise est splendide. Ça change des chemises dans les jaunes sur des fonds dans les bruns. Le vert en arrière plan n'eat pas un vert uni et artificiel mais est le vert de la nature, un vert composé d'un infini de tons comme seule la nature peut créer. Et tout va avec la symphonie des verts de la nature, en particulier cette belle chemise bleue!
Caroline dit
Je suis entièrement d'accord avec vous : belle chemise, beau décor, informations au top car très claires, merci !!!
Jacqueline dit
Merci beaucoup pour tout le travail que vous faites pour nous apporter les informations nécessaire à une bonne santé. Vous êtes une personne que je suis depuis un certain temps du Canada et je continue et continuerai même si vous avez une chemise bleue sur fond vert! Ça va bien avec votre regard charismatique.
didier Bernard dit
Toujours aussi instructif , merci Christophe pour tous ces conseils
Salvia dit
Superbes photos! Le dieu des smartphones existe donc 🙂
Et l'article est riche en informations très intéressantes.
Merci Christophe 🙂