Racines d’asperge sauvage : un diurétique irritant : (abonnez-vous au podcast ici)
Bonjour,
On va parler d’une plante médicinale qu’on a complètement oubliée. Et pourtant, c’est un très vieux remède que l’on le retrouve dans les écrits de Théophraste, de Pline l’Ancien, de Dioscoride. Donc on parle de plusieurs siècles avant J-C.
Vous connaissez bien l’aliment associé à cette plante, mais vous ne connaissez peut-être pas la partie médicinale. On parle de l’asperge, la sauvage en particulier bien que la cultivée ait probablement des propriétés similaires.
Pour bien comprendre comment elle fonctionne, on va se plonger dans quelques vieux ouvrages, et vous allez voir la finesse de compréhension des anciens, ils vont nous donner quelques clés d’utilisation pour ne pas qu’on fasse n’importe quoi si un jour on veut l’utiliser à nouveau.
Asperge sauvage : un peu de botanique
On commence par un peu de botanique. L’asperge cultivée, c’est Asparagus officinalis subsp. officinalis. Elle s’échappe parfois dans le sauvage et elle aime beaucoup les endroits sablonneux. A l’endroit où je vis, sur une des parcelles, on cultivait les asperges dans le passé. Ce qui en dit long sur l’état du sol : très pauvre, sableux, qui draine beaucoup.
L’asperge sauvage, c’est Asparagus acutifolius.
Il y a d’autres types d’asperges. Fournier cite Asparagus tenuifolius comme comestible et qui est un peu plus forestière. Il cite Asparagus maritimus et Asparagus albus comme médicinales. Personnellement, je ne connais que la cultivée et la sauvage, donc je vais m’en tenir à ces deux-là. Pour les autres, je ne pourrais pas vous dire. Attention, certaines espèces sont protégées et la cueillette est réglementée, donc comme toujours, renseignez-vous avant de cueillir.
C’est une plante vivace de la famille des Asparagaceae (anciennement classée comme Liliaceae). Vous connaissez l’aliment qui est en fait la jeune pousse de la plante. C’est ce qu’on appelle les turions. Ces turions sont issus des rhizomes. On les ramasse au printemps.
Et puis si on repasse un peu plus tard dans la saison, on a bien du mal à les reconnaitre car ces turions vont par la suite se ramifier. Donc des rameaux vont pousser un peu de tous les côtés, et on va voir ces minuscules feuilles, qui sont en fait ce qu’on appelle des cladodes. C’est-à-dire des rameaux spécialisé qui ont l’apparence et la fonction d’une feuille. Donc ces petits filaments verts que vous voyez, on pourrait penser que c’est une feuille, mais c’est en fait une tige qui va se comporter comme une feuille et va faire de la photosynthèse.
Donc la fameuse asperge, l’aliment, c’est simplement la jeune pousse encore tendre avant que toutes ces branches n’aient fait leur apparition.
C’est une plante qui pousse abondamment dans ma région. Si vous regardez la carte de répartition de l’asperge sauvage, vous verrez une très forte présence dans toute la moitié sud de la France. Elle pousse surtout dans les zones très caillouteuses et très calcaires, donc en gros un peu partout chez moi, et en général surtout dans les zones plutôt ombragées.
D’ailleurs, vous m’avez peut-être déjà entendu dire que je m’inquiète au sujet de la sur ramasse car je trouve que c’est un peu devenu à la mode de ramasser les asperges, avec toute la famille, sur un carré de 100 m par 100 m, et même de tout raser, afin de remplir un panier et ne pas se soucier ni de la personne qui va passer après, ni du renouvellement de la ressource.
C’est d’ailleurs un problème global qui ne s’applique pas juste à l’asperge, mais vu que l’asperge sauvage est de nouveau tendance en cuisine, un peu comme l’ail des ours, on a un gros problème. Ça m’a frappé ces dernières années de voir ces groupes de ramasseurs qui… y a pas d’autres mots, pillent la ressource. Ce n’est pas mal intentionné, je le sais, c’est l’excitation de celui qui redécouvre les ressources naturelles et qui ne se pose pas les bonnes questions, du moins pas encore j’espère. Du coup c’est vraiment un message à faire passer dans nos cercles.
Partie médicinale : racine et rhizomes
La partie médicinale, ce sont les rhizomes et les racines.
Je ne sais pas si vous avez déjà vu ce qu’on appelle des griffes d’asperges. C’est ce que vous achetez pour planter des asperges dans votre jardin. Ou vous avez peut-être déjà déraciné un pied d’asperge pour le transplanter. La griffe est composée des rhizomes desquels partiront les turions, c’est-à-dire ce qu’on appelle l’asperge légume, la jeune pousse. La griffe est aussi composée de racines qui permettront à la plante d’aller puiser ses nutriments profondément dans le sol. C’est tout ce bloc, racines et rhizome, qu’on va utiliser en herboristerie.
Pour ceux qui regardent la version vidéo, on va vous mettre une petite séquence qui vous montre la masse racinaire d’une asperge sauvage. Je précise que ce plant d’asperge a été par la suite replanté et je m’en suis occupé pour m’assurer qu’il se porte bien. Sachez que je ne sacrifie pas une plante juste pour les besoins de mes vidéos.
Une plante franchement diurétique
On va maintenant parler des propriétés de l’asperge sauvage. Comme je vous disais, je vais utiliser le terme « asperge sauvage » mais d’autres asperges, la cultivée en particulier, ont probablement les mêmes propriétés. J’en profite au passage pour vous rappeler que je ne suis pas médecin, je ne fais pas partie des professionnels de la santé, tout ceci ne constitue absolument pas un conseil médical.
La première propriété, et là j’utilise la description de Fournier qui nous dit qu’elle est « franchement diurétique » et que tout le monde est d’accord sur ce point-là. Je vous expliquerai un peu plus tard que ce n’est pas forcément le cas, et que dans le passé, il n’y avait pas forcément consensus même sur ce point-là.
Parenthèse : forte odeur des urines
J’ouvre d’ailleurs une parenthèse sur les turions, donc l’asperge aliment. Cet effet de la plante sur le système urinaire, on l’a très vite constaté grâce à la fameuse odeur de l’urine. Et je sais pas si vous avez remarqué, mais c’est un effet très rapide. On peut manger des asperges, et passer aux toilettes disons 15 à 20 minutes plus tard, et ça sent déjà.
Et cette odeur a fasciné des générations de médecins et scientifiques au travers des siècles. Elle a toujours été considérée comme une preuve de son action énergique sur les reins. On considérait que cette action nettoyait les reins et tout le système, donc il y avait excrétion d’une odeur fétide qui représentait une certaine toxicité du corps, et là, on la faisait sortir.
Bon, on sait aujourd’hui que l’odeur n’est absolument pas due à une charge toxique qui serait excrétée. C’est un constituant de l’asperge qui est transformé puis rejeté dans les urines, et c’est probablement l’acide asparagusique qui est en cause ici.
Certaines personnes vous diront qu’elles n’ont pas cette odeur du tout. Très intrigant tout ça. Il existe une étude à ce sujet, qui a démontré que certaines personnes ne sont pas sensibles à cette odeur, donc elles ont véritablement une anosmie à cette odeur qui est probablement génétique. L’étude montre que sur l’échantillon de personnes testées, 58% des hommes et un peu plus de 61% des femmes sont incapables de détecter cette odeur caractéristique dans l’urine. Donc si vous avez une amie qui vous dit que son urine ne sent pas l’asperge, c’est peut-être qu’elle est incapable de la sentir mais que l’odeur est bien présente. Je referme cette parenthèse.
Diurétique irritant
Donc revenons à nos racines d’asperge sauvage. Elles sont franchement diurétiques, OK. Mais par quelle action ?
Eh oui, car on peut avoir différents types de diurétiques. L’action que l’on retrouve le plus souvent dans le monde des plantes, c’est une excrétion forcée du sodium par les reins. Et vu que l’eau suit le sel, alors plus d’eau sera excrétée par les reins. Du moins pendant une fenêtre de temps après la prise. C’est l’un des mécanismes qui explique l’action diurétique de l’ortie par exemple.
Mais là, avec l’asperge, si on en croit la tradition, on aurait un effet différent. La racine d’asperge sauvage fonctionnerait au travers d’un effet irritant sur l’épithélium rénal, c’est-à-dire la couche de tissus qui recouvre l’intérieur de tous les organes et les tubes du système urinaire, vessie incluse.
Donc on fait une pause et on prend le temps de comprendre ce point important. Que se passe-t-il lorsque vous introduisez un irritant dans les poumons par exemple ? Les poumons vont fabriquer du mucus pour capturer l’irritant et le faire remonter, vous allez avoir envie de tousser et vous allez finir par le cracher. Du moins on espère.
Que se passe-t-il lorsque vous introduisez un irritant dans le système digestif ? Ça va dépendre de la localisation et du type d’irritant, mais ça peut provoquer des vomissements, des diarrhées ou même les deux.
Le corps essaie toujours d’expulser un irritant. Et ce faisant, il va accélérer les fonctions d’évacuation. Donc ces praticiens, ces médecins de l’ancien temps, qui avaient un sens de l’observation assez exceptionnel, nous disent que l’effet diurétique provoqué par la racine d’asperge sauvage est provoqué par une irritation du système urinaire.
Est-ce que cette information a une importance ? Est-ce qu’on ne pourrait pas se dire, par exemple, peu importe le mécanisme, de toute manière un effet diurétique, c’est un effet diurétique, la fin justifie les moyens, etc. Comme vous pouvez vous en douter, si je prends du temps pour vous expliquer tout ceci, c’est qu’il y a une importance.
Est-ce que c’est une plante qu’on va utiliser s’il y a déjà irritation du système urinaire ? S’il y a des reins fatigués ou abimés, une insuffisance rénale ? La réponse est non.
Exemple pour les cystites
Prenons un exemple pour essayer d’illustrer ces subtilités d’utilisation. Prenons les cas de cystites récurrentes. On recommande souvent des plantes diurétiques et désinfectantes urinaires en prévention. On dit aussi à la personne de boire régulièrement, eau, tisanes plus ou moins diurétiques, etc.
Oui mais là, attention. Si la personne sort juste d’une crise, tout le système urinaire a été irrité. Donc diurétique, oui, mais probablement pas la racine d’asperge. Bon, ensuite tout dépend de la quantité utilisée bien sûr.
Un peu dans un mélange, ce n’est pas pareil que 40 g/L 3 ou 4 tasses par jour. Mais tout de même, on va aller piocher dans d’autres diurétiques plus adoucissants, barbe de maïs dont je vous ai déjà parlé, verge d’or (voir l’épisode à son sujet), et d’autres plantes appropriées.
Exemple pour la vessie hyperactive
Prenons un autre exemple. Peut-être une situation de vessie hyperactive. La personne a du mal à se retenir, elle a des envies très intenses d’uriner, très souvent dans la journée. Donc effectivement, il y a cette hyperréactivité de la vessie.
Et peut-être qu’elle fait aussi des rétentions d’eau à cause de la chaleur. Le conseil typique dans ces situations, c’est une ou plusieurs plantes diurétiques, parmi d’autres plantes bien sûr, le conseil peut contenir d’autres plantes et d’autres propriétés, une action sur le retour veineux, etc.
Que se passe-t-il si on met de la racine d’asperge ici ? C’est peut-être bénéfique pour les rétentions d’eau. Mais pour la vessie hyperactive, ça va peut-être aggraver la situation. Déjà, la vessie est hyperréactive. Mais si vous venez rajouter une substance qui irrite, ça ne va pas dans la bonne direction. On veut calmer et adoucir, pas irriter ici.
Indications traditionnelles
Alors, quelles sont les indications traditionnelles de la racine d’asperge sauvage ? Eh bien on revient à la fonction première d’un diurétique, c’est une substance qui aide le corps à évacuer les excès de liquides, avec ici cette précaution supplémentaire par rapport aux autres plantes diurétiques – ne pas utiliser si le système urinaire est déjà irrité.
Mais si ce n’est pas le cas, c’est une plante qui peut être utilisée pour les rétentions d’eau, œdèmes, engorgements lymphatiques.
On utilise aussi les diurétiques pour leur effet balais sur le système urinaire, donc en prévention des cystites et des calculs rénaux par exemple. Sauf que là, on y reviendra lorsqu’on parle des précautions, c’est à éviter si les calculs sont de type oxalate de calcium.
Et enfin, on utilise les diurétiques pour stimuler une meilleure excrétion de déchets inflammatoires du corps, en général avec des plantes qui agissent sur les fonctions du foie aussi, en général on travaille sur l’axe foie et reins. Donc ici on est dans les inflammations articulaires, les problèmes de peau, et toute autre problématique qui fait appel aux plantes dépuratives.
Là encore, consultez un médecin avant de faire quoi que ce soit bien sûr, ceci afin de bien comprendre les causes derrière ces problématiques.
Formes et dosages
En ce qui concerne les formes et quantités recommandées par les ouvrages classiques.
La forme la plus utilisée, c’est la décoction des rhizomes et racines. Les dosages chez Valnet : 50 g pour un litre d’eau. Bouillir 15 minutes, 3 verres par jour à jeun. Chez Fournier et Cazin, ça peut monter un peu plus haut à 60 g par litre.
Notez qu’aujourd’hui, on n’utilise plus de telles quantités, et on a plutôt tendance à utiliser les plantes dans des mélanges pour adoucir et équilibrer les choses et pour profiter des propriétés de différentes plantes combinées.
En ce qui concerne les turions, donc la partie alimentaire, on préparait dans le passé un sirop à base de ces parties, comme sédatif cardiaque, donc pour calmer un cœur un peu trop excité.
Cazin, notre référence dans les années 1800, explique que cette utilisation ne lui a jamais réussi. Il parle même d’un effet paradoxal parfois, c’est-à-dire d’excitation. Leclerc, une autre référence pour nous en France, semble lui aussi très sceptique et considère l’asperge inerte de ce point de vue-là.
Précautions
En ce qui concerne les précautions :
- Comme on l’a vu, on n’utilise pas les rhizomes d’asperge dès qu’il y a une irritation du système urinaire, que ce soit à cause de calculs, cystites, ou tout autre type d’irritation et d’inflammation active.
- Les turions d’asperge sont riches en purines, des substances qui peuvent aggraver les problèmes de goutte. Qu’en est-il des racines ? J’ai trouvé une étude (2) – références sur mon site – qui mentionne la présence de purines dans les racines aussi, mais en quelle quantité ? Je n’ai pas l’information. Dans le doute, éviter si problème de goutte bien que l’effet diurétique soit intéressant ici.
- Les rhizomes et racines sont riches en acide oxalique (3), donc à éviter si historique de calculs rénaux de type oxalate de calcium.
Le mot de la fin
Pendant mes recherches sur l’asperge, j’ai été surpris par les contradictions et le manque de consensus sur ses propriétés. Et je vous dirais que ce n’est pas très courant de voir ça. En général on voit apparaitre un certain accord au travers des différents ouvrages.
Mais pour l’asperge, c’est surprenant. Très diurétique pour certains, peu diurétique pour d’autres. Indiqué pour les rhumatismes aigus, contrindiqué pour d’autres car ils ont observé que ça aggrave la situation. Calmante pour certains, excitante pour d’autres, et sans effet pour d’autres.
Donc voilà, désolé, mais c’est l’état du savoir qui nous a été passé par les anciens au sujet de l’asperge sauvage. À nous maintenant de faire revivre ce savoir du mieux possible, avec respect et prudence bien sûr.
Merci d’être là, à très bientôt.
Références asperge sauvage
(1) Markt SC, Nuttall E, Turman C, Sinnott J, Rimm EB, Ecsedy E, Unger RH, Fall K, Finn S, Jensen MK, Rider JR, Kraft P, Mucci LA. Sniffing out significant « Pee values »: genome wide association study of asparagus anosmia. BMJ. 2016 Dec 13;355:i6071. doi: 10.1136/bmj.i6071. PMID: 27965198; PMCID: PMC5154975.
(2) Döll, Stefanie & Farahani-Kofoet, Roxana & Zrenner, Rita & Henze, Andrea & Witzel, Katja. (2021). Tissue-specific signatures of metabolites and proteins in asparagus roots and exudates. Horticulture Research. 8. 10.1038/s41438-021-00510-5.
(3) Adouni, Khaoula & Júlio, Ana & Santos Buelga, Celestino & Gonzalez-paramas, Ana M. & Filipe, Patrícia & Rijo, Patrícia & Costa Lima, Sofia & Reis, Salette & Fernandes, Angela & Ferreira, Isabel & Fernández-Ruiz, Virginia & Morales, Patricia & Flamini, Guido & Achour, Lotfi & Fonte, Pedro. (2021). Roots and rhizomes of wild Asparagus: Nutritional composition, bioactivity and nanoencapsulation of the most potent extract. Food Bioscience. 45. 101334. 10.1016/j.fbio.2021.101334.
15 réponses
Bonjour
j ai une méga vessie suite à une rétention urinaire cornique qui contient plusieurs litres.
Je cherche un produit pour uriner plus que je devais pour vider peu à peu ma vessie.
Merci de vos conseilles.
REINHARD
bonjour Reinhard
difficile à dire comme ça sans connaitre la situation , mais disons que d’un point de vue plus général, plutôt que de choisir des diurétiques qui vont augmenter le volume des urines (du coup si vous avez du mal à vider la vessie , ce n’est pas vraiment l’idéal) , vous pourriez regarder du côté de plantes anti spasmodiques des muscles lisses et décongestionnantes comme l’achillée millefeuilles par exemple mais je reste prudente ne sachant pas l’origine de votre problème
Du fond du coeur un grand MERCI pour tous ces partages et bonnes vacances à vous deux et à vos familles
Merci pour tout Christophe et à toute votre équipe; de bonnes vacances bien méritées, et on se retrouve à la rentrée. c’est toujours un plaisir de vous lire et de profiter de vos précieux conseils. Cordialement
Bien qu’on attribue (faussement selon certaines sources) à Hippocrate, cette citation : « que ton aliment soit ton médicament »… ce que vous nous communiquez avec des références de vos sources, c’est que certains aspects de nos aliments peuvent aussi devenir des médicaments… Ainsi, avant l’asperge aujourd’hui, vous nous avez déjà présenté les vertus du jus de la betterave rouge crue, celles des feuilles de l’artichaut, et pas les feuilles que l’on effeuillent sur le gros fruit, mais les grandes feuilles de la plante et aujourd’hui donc après une véritable leçon de botanique sur la croissance de l’asperge que l’on prépare dans nos cuisines pour les déguster, vous nous présentez leurs racines et rhizomes comme d’excellents médicaments (sans rejeter pour autant le légume, délicieux et certainement également riche en vitamines et oligoéléments). Personnellement j’en apprends énormément à chacune de vos recettes. Merci Monsieur Christophe !…
Merci
Bonnes vacances et à bientôt !!!!!!
Le chant des cigales en arrière fond nous donnait l’impression d’être près de vous dans la garrigue… Merci encore pour tous vos conseils judicieux,
Très belle vidéo, comme toujours, accompagnée du chant des cigales en arrière fond ,(pour celle-ci)…
Merci encore pour tous vos conseils précieux
Bon repos estival
Bonsoir Christophe
Non seulement vos vidéos sont toujours de haute qualité, mais vos mails me font un bien fou, le dernier est franche avant votre pause vacance est si intelligent et censé, beaucoup de
Désolée un bug sur mon post
Je termine donc
Beaucoup de mots qui percutent notre moi profond
Merci pour tout vous êtes vraiment top
En plus la barbe vous va à merveille !!!
Ne changez rien et à très bientôt au plaisir de vous suivre à nouveau sur vos vidéos
Bonjour Christophe, c’est toujours un immense plaisir de regarder vos vidéos!! pour celle d’aujourd’hui le chant des cigales en fond nous donnait l’impression d’être près de vous dans la garrigue… Merci encore pour tous vos conseils judicieux, bonnes vacances et à bientôt.
Bonjour Christophe, Merci pour cette vidéo instructive… je ne connaissais pas le côté irritant et c’est un élément qui m’a interpellé. Belles vacances et merci pour ton travail, je me régale toujours à lire tes messages ! Bien sincèrement
Bonsoir
Merci pour votre mail et votre investissement à nous transmettre tout votre savoir. Ce sont des informations très précieuses.
Je pars du principe que comme le colibri, nous devons faire notre part ….. et ce n’est que comme ça qu’on peut espérer 1 changement .
Passez de belles et reposantes vacances
Bonjour Christophe,
Wouah la barbe. Alors je vais vous dire que je vous préfère sans la barbe et avec des cheveux. Bon ce n’est que mon avis et je le partage comme disait Coluche. Je vous souhaite de bonnes vacances et reposez-vous, je crois que vous en avez besoin et revenez en septembre avec pleins de bonnes idées
Josette
merci pour tout, bonnes vacances à bientôt
Comme toujours un grand plaisir de vous écouter et très instructif aussi. Bonnes vacances