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L'autosuffisance : comment pouvons-nous devenir plus indépendants, plus responsables de notre état de santé ?
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Je voudrais démarrer une discussion avec vous sur le sujet de l'autosuffisance pour tout ce qui touche à notre bien-être. Je suis de plus en plus convaincu que les plantes auront un grand rôle à jouer dans notre futur. Nous aurons des crises à traverser. Et nous serons amené à prendre plus de responsabilité en ce qui concerne notre santé.
Autosuffisance : se fixer les bons objectifs
Le but n’est pas forcément de construire une autosuffisance totale. Car cela serait très compliqué aujourd’hui pour beaucoup d’entre nous. Certains y arrivent, ils sont indépendants d’un point de vue énergétique et alimentaire. Ils se sont construit leur habitation, ils sont indépendants pour l’eau, pour l’alimentation avec une culture potagère, etc.
Personnellement, cela m’impressionne car je suis loin d’être à ce niveau-là. Mais j'aimerais vous présenter mes idées sur comment acquérir la connaissance et l’expérience qui feront qu’un jour, on saura quoi faire si le besoin arrive. On connaîtra les gestes.
Je vais vous donner mon propre exemple avec le potager. Je suis loin d’avoir une indépendance alimentaire. Très loin même. Mais ces 10 dernières années, j’ai appris à jardiner. J’ai appris à faire mes semis. J’ai cultivé les plantes potagères de base – tomates, aubergines, courgettes, poivrons, salades, choux, fenouil, etc. De telle manière que si un jour je dois faire ces légumes à plus grande échelle, je saurai faire.
(au passage, une réflexion de Benjamin Broustey qui me parle)
C’est exactement pareil pour les plantes médicinales. Je vais vous présenter différents axes à développer dans les années qui viennent. Pas pour devenir totalement indépendant dans chacun de ces axes, cela ne serait pas réaliste. Mais pour commencer à acquérir les connaissances de base qui font que si un jour vous devez vraiment vous y mettre, vous aurez les compétences.
Pour information, je vous ai préparé un résumé de ces différents axes dans un fichier PDF que vous pouvez télécharger en fin d'article.
Autosuffisance : Proposition en 7 axes de travail
Voici les différents axes de travail que je vous propose, à développer dans les années qui arrivent.
- Savoir identifier les plantes utiles dans la nature
- Savoir cultiver les plantes utiles au jardin, et on va parler du balcon aussi
- Répertorier les cultivateurs et producteurs autour de chez vous
- Répertorier les magasins qui vendent des plantes et qui peuvent aussi vous fournir un conseil
- Se former sur l’utilisation des plantes pour le bien-être physique et émotionnel
- Connaître des gens qui pratiquent et qui peuvent vous guider
- Pratiquer par vous-même, sans prendre de risque, pour aider votre entourage
Nous allons maintenant passer tous ces axes en revue. Chaque axe est important.
Axe 1 : savoir identifier les plantes utiles en nature
C’est un point absolument clé pour notre construire notre autosuffisance. En général, il faut plusieurs années pour vraiment se sentir confortable avec la reconnaissance des plantes.
Et là, pas de secrets : il faut sortir avec des gens expérimentés. Oui, bien sûr, il y a des livres et des applications. Il y a les groupes facebook. Et dans le livret PDF, je vous ai mis la liste des applications et des groupes facebook que j’ai recensés.
Tous ces outils sont utiles, mais au final, il faudra toujours sortir avec des gens qui vont vous montrer la différence entre le lamier blanc et l’ortie par exemple. Une différence qui deviendra évidente une fois que vous avez vu et surtout touché 🙂 ces deux plantes.
Mais lorsque vous débutez, cela ne sera peut-être pas évident. Il faudra que quelqu’un vous prenne par la main et vous montre. Et ce quelqu’un fait probablement partie d’une association reconnaissance de plantes près de chez vous. Il y en a de très nombreuses dans tous les pays.
En général, ce sont des associations qui se concentrent sur la plante sauvage comestibles. Mais lorsqu’on connait bien les comestibles, on connait aussi les médicinales les plus utiles. Faites des recherches par internet, demandez à vos amis, allez voir dans les parcs naturels, dans les syndicats d’initiatives, et vous allez trouver ces associations.
Vous allez payer une petite cotisation, très correcte pour la valeur que vous allez en retirer. Et on vous proposera des sorties, en général le week-end, pour aller à la rencontre des plantes sauvages en nature. Si vous ne connaissez pas encore ce genre d'activité, je vous garantit que vous allez adorer.
Notez au passage que je ne suis pas en train de dire que tout le monde doit aller ramasser des plantes sauvages. Ceci pour deux raison :
(1) Si on s’y met tous, la nature ne pourra pas supporter cette vague. Et la nature est déjà assez stressée comme ça.
(2) Lorsqu’on se met à la ramasse sauvage, on ramasse toujours trop. Beaucoup trop. On gâche des ressources qui sont précieuses.
En général, vous remarquerez qu’au plus le ramasseur a de l’expérience, au moins il ramasse. Et je ne parle pas du ramasseur professionnel ici qui en a fait son métier, mais du ramasseur amateur.
Car le but ici, ce n’est pas de remplir son panier. C’est de remplir ses yeux, son nez, et sa tête. Accumuler le savoir, ça c’est bien. On se prépare et on ramasse juste assez pour apprendre et expérimenter.
Axe 2 : savoir cultiver les plantes utiles au jardin
Personnellement, je me suis vraiment mis au jardinage il y a 10 ans. Et je peux vous dire que ça a été un bonheur assez incroyable lorsque je m’y suis mis. Comme je dis toujours, y a un truc assez animal de remuer la terre, et un truc assez magique de faire germer des graines et de suivre les plantes au travers des différents stades de développement.
Quand je parle à d’autres personnes, elles me racontent exactement la même chose. Pourquoi on ne s’y est pas mis plus tôt ?
C’est un travail, c’est sûr, je ne veux pas non plus vous donner une version trop exaltée et déconnectée de la réalité. Et parfois, personnellement, j’ai beaucoup trop fait, je me suis rendu esclave du jardin, et c’est pas le but non plus. Chacun devra trouver son équilibre. Mais quel bonheur de s’y mettre et de voir que vous pouvez produire ce qui nourrit et ce qui soigne !
Certains d’entre vous habitent en appartement. J’ai discuté avec des gens qui ont découvert les jardins partagés, qui ont un petit carré qu’ils vont cultiver le week-end, qui vont passer quelques heures au jardin communautaire pour discuter avec d’autres amis jardiniers. C’est un moment de rencontre. On en trouve même dans les grandes villes, dans certains quartiers.
Lorsque je parle des jardins partagés dans les grandes villes, parfois la réaction est immédiate : c’est stupide de cultiver dans une zone polluée ! Je ne partage pas ce point de vue-là. Rien n’est parfait aujourd’hui. La recherche du parfait mène souvent à une chose : l’immobilisme.
Et puis peut-être qu’aujourd’hui vous êtes à Paris, dans un jardin partagé, dans des conditions qui ne sont pas idéales. Mais pensez au long terme. Peut-être qu’un jour vous serez dans un endroit moins pollué, et toute cette expérience que vous avez développée dans le petit carré de jardin, qui n’était pas parfait, c’est acquis ! N’oubliez pas que l’on parle d’expérience ici.
Qu’est-ce qu’on va faire dans ce petit jardin partagé ? On va cultiver nos premières médicinales. Quelques pieds de basilic entre les tomates. Je ne sais pas si vous avez déjà essayé une infusion de basilic frais pour des crampes digestives ou menstruelles, c’est excellent.
De la mélisse, une infusion de mélisse fraîche pour les périodes de stress avec anxiété, fabuleux, et délicieux à boire. La camomille matricaire. Les fleurs de souci pour les problèmes de peau. Et un peu plus tard peut-être de l’échinacée, de l’aunée, de l’agripaume, des plantes que vous ne connaissez peut-être pas encore.
Cette culture va aussi vous permettre de reconnaitre la plante en nature. Parce que vous l’avez découverte dans l’environnement contrôlé du jardin, vous avez pu la voir de la petite plantule à la plante mature, vous avez pu voir les différents stades de développement, vous avez vu les feuilles, les bourgeons, les fleurs, les capsules de graines.
Pour vous donner mon exemple, une des premières plantes que j’ai cultivées, c’est la guimauve. Je ne l’avais jamais vue en nature. Mais une fois que je me suis familiarisée avec au jardin, j’ai pu la enfin la voir.
Le jardin m’a aussi permis de reconnaitre de nombreuses plantes en nature lorsqu’elles sont absolument minuscules et qu’elles ont germé il n’y a pas longtemps. Parce que j’en ai fait germer beaucoup.
Si vous voulez commencer à avoir quelques plantes sur le balcon, c’est tout à fait possible. J’ai vu de très jolis bacs sur un balcon avec des potagères et des médicinales. C’est beaucoup plus limité bien sûr, mais si on n’a que ça, pourquoi ne pas commencer avec ?
Et si on n’a pas d’accès à des jardins partagés et qu’on n’a pas de balcon, eh bien c’est sûr que cet axe là devra attendre plus tard. Mais cet axe est, pour moi, l’une des clés de notre indépendance.
Axe 3 : Répertorier les cultivateurs et producteurs autour de chez vous
Je ne sais pas si vous savez, mais il y a probablement des centaines de producteurs de plantes médicinales dans votre pays.
Typiquement, dans le passé, ce sont des producteurs qui vendaient à des négociants ou à des laboratoires, pour un prix ridiculement bas. Aujourd’hui, grâce à l’internet, ce sont des gens qui vendent de plus en plus en direct. Et ça, c’est précieux, car vous avez le lien direct entre l’homme, la plante, et votre tasse.
Bien sûr, il faut que le producteur s’engage à travailler dans le respect de la plante et de l’environnement, label bio, nature et progrès, syndicat simple chez nous en France. Parfois, vous pourrez visiter l’exploitation et aller voir comment le producteur travaille.
Et si vous regardez le catalogue des prix, et que vous avez ce réflexe de dire « c’est cher », chose que j’ai souvent entendu, je répondrai deux choses :
(1) Qui vous a mis en tête qu’un produit de qualité devait être bon marché ? Passez commande avant de juger. Et vous verrez la différence entre une plante bon marché, broyée en minuscules morceaux, méconnaissable car elle n’a plus de couleur ni d’odeur, et ce que vous allez recevoir.
(2) Allez passer une journée avec ces producteurs, voir ce que ça veut dire de tout faire, de retourner la terre, de faire germer, d’entretenir une parcelle, de ramasser, faire sécher, emballer. Ensuite on peut parler des prix.
Le gros avantage ici est de pouvoir avoir un commerce de proximité. De pouvoir passer un coup de téléphone pour demander si le producteur n’a pas de l’hysope, du sureau ou du thym car vous en avez besoin tout de suite car on rentre dans une période d’infections respiratoires.
De pouvoir passer sur le lieu de production et récupérer les plantes directement et rapidement. Notez aussi que de nombreux producteurs connaissent bien la plante et pourront au passage vous aider à répondre à certaines questions au sujet de leur utilisation, et ça, ça peut servir.
Commencez à répertorier ces gens. Faites des recherches sur internet. En France, le syndicat SIMPLES a fait une carte de leurs producteurs, je vous ai mis le lien dans le PDF en bas de l'article.
Mais n’oubliez pas non plus les producteurs qui ont un autre label et qui produisent une plante fabuleuse, nature et progrès ou autre. Faites des cartes de ces producteurs, partagez avec vos proches. Vous faites travailler le tissu local, et vous vous préparez pour le futur.
Axe 4 : Répertorier les magasins qui vendent des plantes
Vous trouverez de plus en plus de boutiques qui vendent des plantes. Ce sont des gens qui achètent les plantes soit à des producteurs locaux, soit à des grossistes en plantes. Lorsque cela passe par des négociants ou grossistes, on commence à s’éloigner de la source, et parfois on a des surprises côté qualité.
Donc tout va dépendre de la boutique bien sûr et de leur manière de s’approvisionner. Au final il faut passer les voir pour leur poser des questions, en particulier sur leur manière de s’approvisionner, est-ce qu’ils ont des plantes bio ou pas, est-ce qu’ils ont des plantes françaises ou pas (si vous habitez en France).
De plus en plus de boutiques travaillent avec une excellente éthique et mettent en valeur les productions locales et de grande qualité.
Les deux gros avantages de ces boutiques, c’est d’abord le choix que vous allez avoir. Vu que la boutique passe par plusieurs fournisseurs, le catalogue est plus important que si vous allez directement au producteur. Et puis vous aurez souvent un bon conseil car le vendeur a l’habitude qu’on vienne le solliciter pour des conseils, ça fait partie du processus de vente. Et ça c’est important.
Donc commencez à répertorier ces boutiques autour de chez vous, passez les voir pour discuter des produits, faites quelques achats pour tester la qualité. Elles font aussi partie du tissu local, et elles méritent qu’on s’y intéresse et qu’on les fasse travailler.
Axe 5 : se former sur l’utilisation des plantes pour le bien-être
C’est absolument essentiel, c’est évident, vu que le but ultime de tout ça, c’est d’utiliser la plante pour le bien-être.
Il y a de très nombreuses manières de se former. On peut se former au travers de livres, on peut se former car quelqu’un d’expérience nous a appris. On peut faire des programmes soit à distance, soit en présentiel. Il y en a pour tout le monde, le tout est de trouver le style qui vous correspond.
Au final, le plus important pour moi, c’est l’humain derrière l’enseignement. On m’a souvent dit : ne choisit pas ton éducation en fonction du sujet, mais en fonction de l’enseignant. Un enseignant exceptionnel te donnera une éducation large qui couvre de multiples sujets. Un enseignant médiocre s’en tiendra à son sujet mais au final il ne te restera rien.
Et c’est quelque chose que j’ai pu valider au cours de ma vie. Aujourd’hui je continue à me former, et je le fais avec des gens qui m’inspirent. Et je vous conseille de faire de même, il ne suffit pas de choisir un programme qui dit toutes les bonnes choses sur un catalogue ou une page de vente. Il faut aussi que l’équipe enseignante fasse preuve de valeurs humaines, des valeurs qui sont alignées avec ce que vous recherchez aujourd’hui.
Ceci doit être un travail que vous devez faire par vous-même si vous voulez trouver un endroit pour vous former. Vous pouvez commencer avec des livres, et vous trouverez sur mon site de nombreuses revues de livres qui vont définitivement vous aider à démarrer.
Mais à un moment, il faut franchir le pas et se former pour avoir la connaissance et l’expérience nécessaire pour se mettre à la pratique.
Axe 6 : connaître des gens qui pratiquent et qui peuvent vous guider
Il y a de nombreuses personnes qui pratiquent aujourd’hui en cabinet sous différentes dénominations.
Vous avez les médecins phytothérapeutes bien sûr. Mais vous avez des praticiens qui ne sont pas médecins mais qui se sont formés auprès des bonnes écoles et qui vous aideront si vous avez besoin d’être guidés pour vos propres questionnements.
Chacun a son rôle, chacun a son style. A vous de valider que la personne est légitime, qu’elle a la bonne expérience, qu’elle pratique dans l’éthique du métier. Mais ce type de praticien pourra vous aider à démarrer.
Pour vous donner un exemple, lorsque j’ai commencé à m’intéresser aux plantes, c’était en partie pour mes problématiques de santé, et je suis allé consulter des herboristes praticiens pour voir ce qu’ils me recommandaient, ce qui m’a aidé plus tard à réfléchir et m’organiser par moi-même.
Donc là encore, il serait bon de répertorier les praticiens qui se trouvent près de chez vous, que vous pourrez découvrir peut-être au travers de leur site internet, ou en passant dans votre pharmacie car ces personnes se font souvent connaître, le bouche à oreille est toujours un bon moyen aussi bien sûr, donc demandez autour de vous, etc.
Axe 7 : pratiquer par vous-même, sans prendre de risque
A quoi ça sert d’apprendre à reconnaitre des plantes, à les cultiver, à les transformer ? A quoi ça sert d’apprendre à utiliser les plantes d’une manière théorique si ce n’est pour mettre ce savoir en pratique un jour ?
Tout ceci doit bien sûr se faire dans la prudence. Dans le doute on consulte toujours un médecin pour avoir un diagnostic
clair. Mais dans de nombreux cas, on a abandonné un savoir qui était détenu dans les familles dans le passé. Il y a tout un tas de situations qui devraient pouvoir être gérées à la maison. On vit dans nos peurs aujourd’hui. C’est bien d’avoir un petit peu peur, c’est ce qui fait qu’on ne fait pas n’importe quoi au final. C’est ce qui fait que lorsqu’on a une douleur et qu’on ne sait pas ce que c’est, on va consulter un médecin qui saura faire le diagnostic.
Mais aujourd’hui, la peur nous amène à un immobilisme qui devient complètement insupportable je trouve. Depuis quand est-on devenu aussi dépendant du système ? Donc apprenons à combiner le meilleur de ces deux mondes. Deux mondes qui sont souvent en opposition frontale, ce qui est consternant. Qu’on se respecte les uns les autres, personne ne perdra sa place, chacun a son rôle à jouer.
Et ce rôle-là, cette responsabilité-là, elle commence dans la famille proche. Parents, grands-parents, enfants, petits-enfants. Je vous garantis qu’il y aura des occasions multiples de travailler sur un eczéma ou une allergie saisonnière ou autre. Mais au final, il faut sortir ce savoir de notre tête, et le matérialiser. En vrai. Il faut l’appliquer. C’est le but ultime de retrouver un minimum d’indépendance pour notre bien-être vers le chemin de l'autosuffisance.
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jean-christophe GERVAIS dit
bonjour christophe, bonjour sabine,
bâtir une autonomie, ce n'est peut-être pas seulement reconnaître les plantes dans la nature et regarder du coté de la phyto, ce peut-être aussi considérer leur utilisation en cuisine d'un point de vue simplement alimentaire. Sur ce sujet, on me conseille "je cuisine les plantes sauvages" (amandine geers et olivier degorce), mais je me suis dit que vous auriez peut-être une suggestion de livre à nous indiquer? vous avez un idée de livre à suggerer? vous connaissez celui que je viens de mentionner?
Amicalement, à très bientôt
jean-christophe
sabine dit
bonjour Jean Christophe
et oui vous avez raison , et d'ailleurs l'alimentation est à la base de notre santé, je demanderai à Christophe s'il connait des ouvrages et je reviendrai mettre sa réponse ici 🙂
Pauline Postel dit
Bonjour Jean-Christophe,
Un super bouquin à ce sujet est: "traitement des maladies par les legumes , les fruits et les céreales" de Jean Valnet.
Amicalement,
Pauline Postel
Sara dit
Bonsoir,
En tant que préparatrice en pharmacie, je me forme moi-même à la phytothérapie, à mon rythme, grâce à votre site. J'apprécie vraiment votre manière d'enseigner. Vous "m'inspirer" comme vous le dite vous-même! J'aimerai savoir si vous auriez une personne ou un site à me conseiller pour me former sur les huiles essentielles. Une source d'inspiration qui ressemblerai à la votre: claire, précise, sérieuse, sans prétention!
Merci beaucoup pour tout.
sabine dit
bonjour Sara
non pas vraiment , mais si j'ai des informations je viendrais vous le dire 🙂
Isabelle G dit
Désolée pour le commentaire vide juste avant... quand on fait trop de choses en même temps...
C'est tout à fait le plan que je me suis offert depuis quelques années... avec quelques autres... je suis une trop grande passionnée...
Chaque année son progrès... ses tests... ses essais... et chaque année que du bonheur...
Se dire "tiens, il faudrait que je m'intéresse à l'achillée... " et hop, l'année suivante, plein d'achillées poussent d'elles mêmes dans le terrain... du bonheur !
et puis les rencontres, les partages... et vos apprentissages... j'apprends dans plein de domaines tous les jours, à chaque instant... un puits sans fond, une histoire sans fin... toute une vie...
Merci... ça fait du bien de voir ce plan bien organisé (contrairement à la "créative" que je suis)... j'en avais besoin pour appuyer mes ressentis...
Belle soirée
Isa dit
Bonjour Christophe, je vous remercie pour tout ce bon conseil. Est-ce que vous pouvez parler sur les plantes pour soigner la maladie de zona. Merci encore une fois.