Toux grasse : accompagnement et remèdes maison

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Aujourd’hui, on parle de toux grasse et d’infections des bronches. Et j’aimerais que l’on parte de la supposition suivante : on n’a plus rien dans le placard d’herboristerie. Que dalle. Le thym, y a plus qu’un fond de sachet. L’hysope ne sent plus rien. Le lierre terrestre, n’en parlons pas.

Bref, c’est la dèche, et pourtant, la toux grasse est belle et bien là et elle nous a pris un peu par surprise. Que faire dans cette situation ? Vous allez voir qu’on n’est absolument pas au dépourvu avec des préparations simples, rapides et efficaces. Oui, les trois, c’est possible. Et avec des ingrédients que l’on a, en général, à la maison.

Avant de commencer, je vous rappelle qu’à l’école AltheaProvence, nous vous proposons de nombreuses formations en ligne sur les plantes médicinales. Nous avons formé plus de 3500 étudiants depuis 2015. C’est de l’enseignement exclusif, structuré, approfondi, basé sur l’expérience et surtout sur la pratique. Et nous sommes vraiment heureux de vous accueillir, c’est en grande partie grâce à l’école que l’on peut vous produire régulièrement du contenu de grande qualité, et toujours accessible gratuitement.

Autre point, je vous rappelle que je ne suis ni médecin, ni pharmacien, ni professionnel de la santé. Je suis là pour partager des informations avec vous. Mais ceci ne remplace aucunement un suivi médical, et n’a pas vocation d’être diagnostic ou prescription ou autre acte médical. En particulier dans cet épisode dans lequel je vais vous parler d’infection des bronches…

Toux grasse : accompagnement et remèdes maison


Infection des bronches

Que se passe-t-il lorsqu’on attrape une bronchite ?

Supposons que le point de départ soit une infection virale, ce qui est la situation classique. Le virus pénètre dans les voies respiratoires par inhalation, il s’attache aux cellules des bronches grâce à des molécules à sa surface, des sortes de piquants qui viennent se fixer sur les cellules cibles. Il va pouvoir ainsi pénétrer les cellules des bronches et les infecter.

Les cellules infectées vont libérer des signaux d’alarme qui vont appeler les globules blancs (neutrophiles et macrophages en particulier) qui vont venir détruire le pathogène et nettoyer la zone. La zone est enflammée, les muqueuses sont rouges et gonflées, perméables, il y a exsudation de liquides, ce qui permet aux cellules immunitaires de venir baigner la zone pour faire leur travail.

Nos poumons vont aussi augmenter la production de mucus grâce à des cellules spécialisées.


Rôle du mucus

Il faut savoir qu’on produit continuellement du mucus dans les bronches, c’est ce qui permet de piéger les poussières et autres débris gênants et de les remonter à la surface pour qu’on puisse les éliminer.

Et là, il y a un truc fabuleux à observer si vous trouvez une vidéo, c’est le fait que tout le système bronchique est recouvert de minuscules poils qui vont osciller, par vague, pour remonter le mucus, centimètre par centimètre, dans la trachée, dans le larynx.

Ensuite, on va éliminer ce mucus soit par la voie digestive, car on va avaler le mucus (eh oui, pas très ragoutant, mais c’est comme ça que ça marche), soit parfois en le crachant (pas très ragoutant non plus, on est d’accord, mais là encore, c’est l’une des deux voies d’expulsion).

Ce mucus est absolument essentiel dans la résolution d’une infection des bronches avec toux grasse. Il va permettre aux cellules immunitaires de circuler, il va piéger les pathogènes, piéger les débris et nous permettre de les évacuer. L’immunité fonctionne à tour de bras, elle déverse ses déchets, donc il faut une évacuation rapide et efficace.

On a des récepteurs de la toux dans la trachée et dans les bronches qui vont être stimulés lorsque le mucus s’accumule, et ça va déclencher le réflexe de toux, qui va accélérer l’évacuation naturelle. En d’autres termes, les petits cils ne remontent pas le mucus assez vite pour la quantité produite, donc la toux va venir mettre un coup de pied dans tout ça et provoquer un mouvement énergique vers la sortie.

Modèle anatomique des voies respiratoires bronchiques normales dans le système pulmonaire humain


Point important de la stratégie toux grasse

Alors, à ce stade, j’aimerais qu’on prenne notre temps, car on va parler d’un point de stratégie qui est absolument clé.

Je ne sais pas si vous vous souvenez l’épisode que je vous ai fait sur les infections hivernales, la fièvre et les plantes diaphorétiques. Je vous ai dit que les médecins, à l’époque où ils utilisaient encore les plantes, insistaient fortement sur les plantes diaphorétiques et sudorifiques, et pas sur les plantes qui pourraient bloquer la fièvre, sauf exception. Je vous ai expliqué que les plantes diaphorétiques accompagnent une fièvre dans le sens de la guérison. On ne bloque pas, au contraire, on « graisse les rouages » des processus physiologiques naturels.

Eh bien là, on va faire un peu pareil. Pour les toux grasses, il va falloir accompagner ce mouvement remontant. De la profondeur vers la surface. De l’intérieur vers l’extérieur. Si vous ne retenez qu’une chose de cet épisode, retenez ceci : en cas d’infection des bronches, il faut avoir cette obsession de garder le mucus bien fluide et favoriser l’expectoration.

Dès que le mucus s’épaissit et que l’on peine à le faire sortir, on rentre dans une phase délicate. Le risque, c’est que le processus naturel de guérison soit entravé. Les petits cils peuvent se retrouver endommagés par l’inflammation.  Notons au passage que ces cils sont déjà bien abîmés chez le fumeur. Parfois, le mucus n’est plus assez liquide pour être expectoré d’une manière efficace, il est gluant, il colle aux cils. Parfois, la personne est tellement fatiguée de tousser qu’elle n’a plus assez de tonus musculaire pour permettre la toux, qui nécessite la contraction de certains muscles.

Du coup, le mucus s’accumule. Pas bon du tout. Le corps a horreur de la stagnation. Il faut que ça circule. Sinon, on a cette image du marécage de mucus dans lequel pullule tout un tas de pathogènes. La respiration peut devenir difficile à ce stade. La stagnation de mucus devient le milieu idéal pour une prolifération bactérienne secondaire. Et là, si on se prend une surinfection bactérienne, ça fait mal. On veut éviter cela à tout prix.

S’hydrater, boire des tisanes

Que faire pour éviter cela ?

Déjà, il faut bien s’hydrater car l’eau est nécessaire pour garder le mucus bien fluide.

Ensuite, deux propriétés absolument clés des plantes : mucolytiques et expectorants. Et si on ne me donnait qu’un seul choix dans les propriétés des plantes, pour une toux grasse, eh bien ça va probablement vous surprendre. Mais je mets de côté les plantes anti-infectieuses, anti-virales, anti-bactériennes. Je mets de côté les plantes qui stimulent l’immunité. Je garde seulement les mucolytiques et expectorantes.

Et rien qu’avec ça, je m’assure que l’infection des bronches a un début, un milieu et une fin. Qu’elle ne traine pas. Qu’il n’y a pas de rechute. Qu’il n’y a pas de chronicité.

Bien évidemment, si vous me donnez le choix, je vais aussi sortir mes anti-infectieuses. Je vais sortir mes stimulantes immunitaires. J’aurai peut-être un mélange à infusion, peut-être des teintures de type propolis, échinacée… peut-être un sirop de type marrube, lierre terrestre, etc. Peut-être une friction aux huiles essentielles, peut-être des inhalations humides.

Mais si je ne devais choisir qu’un seul outil, je formule un mélange de plantes mucolytiques et expectorantes, bien dosées, à la bonne fréquence, sous forme d’infusion pour que la personne boive, avec des plantes bien aromatiques et résineuses comme le thym, l’hysope, le myrte, l’eucalyptus, le bourgeon de sapin et compagnie. La clé ici, c’est bien dosé, avec la bonne fréquence. Ce n’est pas juste une pincée de plantes par tasse, 2 tasses par jour.

Mais bien sûr, ceci est une situation tout à fait hypothétique, car je ne suis pas médecin, donc vous le savez, si vous avez une infection de type bronchite, allez consulter votre médecin avant toute chose.


Mucolytiques en cuisine

Mais retour au challenge initial que je me suis imposé. Dans le placard d’herboristerie, y a plus rien ! Donc on va aller fouiller dans les placards de la cuisine, et on va rechercher des aliments qui contiennent des constituants soufrés, des constituants qui augmentent les sécrétions, qui augmentent la fluidité du mucus et qui favorisent l’expectoration. Exactement ce que l’on recherche. Mucolytiques et expectorants.

Je vous propose 3 préparations qui ont fait leurs preuves dans notre tradition et dans de nombreuses familles :

  • Le sirop d’oignon (le plus doux, c’est l’oignon blanc, mais si vous n’avez que du jaune ou du rouge, ça va le faire aussi, ça sera juste un peu plus fort)
  • Le sirop de radis noir
  • Le sirop de navet

La préparation, c’est toujours la même. On coupe finement le légume en question. Ensuite, dans un plat, on met une couche du légume frais, une couche de sucre, on répète 2 ou 3 fois, tout dépend de la taille du récipient, de la quantité que vous voulez produire. Et vous allez voir, dans les minutes qui suivent, vous allez commencer à voir apparaitre un liquide, un sirop, constitué du jus du légume que le sucre est venu tirer. C’est super rapide, quasi immédiat. Et vous pouvez commencer à prendre ce liquide à la cuillère à soupe.

Vous verrez aussi que l’effet mucolytique et expectorant est relativement rapide. Et ça, c’est appréciable. La prise est à répéter plusieurs fois dans la journée si nécessaire, pour s’assurer que ce mucus soit éliminé d’une manière efficace.

Vous avez peut-être vu que je n’ai pas mis l’ail dans la liste. Effectivement, on pourrait le rajouter, mais ça donne un sirop extrêmement fort, qui brûle si on le prend pur, et qui peut donner une forte nausée tellement il est puissant et irritant. On peut le diluer dans une quantité d’eau, c’est possible. Cela dit, restez avec l’oignon, le radis noir et le navet, ça fonctionne sans récurer les boyaux.

Sirop oignons


Rajout de teintures pour une toux grasse

Je mentionne au passage que vous pouvez rajouter des teintures dans votre sirop. En phytothérapie américaine, là où j’ai fait mes premiers pas en herboristerie, c’est assez classique de rajouter de 10 à 20% de teintures dans un sirop.

Donc, si j’avais une teinture de serpolet par exemple, je pourrais récupérer mon sirop d’oignon, le mettre dans une petite bouteille, mettre 20% de teinture de serpolet en volume (on peut faire à l’œil, ça représente 1/5 de la bouteille).

Puis on garde au réfrigérateur (on en fait une quantité juste pour quelques jours, car il n’y aura pas assez d’alcool dans les 20% de teinture rajoutée pour assurer une conservation hors du frigo), et ça va rajouter une force indéniable au sirop.


Le sucre : grand débat

Alors, à chaque fois que je vous fais un épisode dans lequel j’ose mentionner le sucre, en général, je me prends une volée de commentaire, style « comment oses-tu » et « tu ne crois pas qu’on a assez de sucre dans notre vie » et « tu devrais savoir qu’il y a plein de troubles métaboliques dans la population », etc. Oui, je sais, je vous rappelle que je suis aussi praticien, donc des bilans sanguins avec des glycémies en vrac, j’en ai vu passer ces dernières années.

Si je vous parle du sucre, c’est pour trois raisons :

  1. En général, on a du sucre en cuisine. Moi, j’ai toujours du miel aussi. Pareil pour vous, si vous écoutez cette chaîne, je suis convaincu que vous avez du miel. Mais le voisin qui vient me demander conseil, ou une personne que je suis et qui me passe un coup de fil la veille d’un jour férié, ou le tonton Robert qui a du mal à marcher, ces gens-là n’auront peut-être pas de miel, et pas la possibilité d’aller en acheter, mais ils auront du sucre. Donc là, j’ai un aspect pratique et immédiat.
  2. Le sucre a une excellente capacité à tirer le jus frais du légume en question. Donc là, j’ai un aspect efficacité.
  3. Pour moi, le ratio bénéfices sur risques est largement positif lorsqu’on est en panne de plantes, pour une prise sur le court terme. Et pensez toujours : quelle est l’alternative si je n’ai plus rien dans mes placards ?

Cela dit, si vous préférez faire avec du miel, vous pouvez. Personnellement, je trouve que le miel tire le jus d’une manière moins efficace, mais ça sera un peu plus « sain » globalement. Vous êtes grands, je vous laisse décider.


Résumé toux grasse

Donc, faisons un petit résumé. Ces aliments riches en constituants soufrés, que l’on a tous dans nos cuisines, nous permettent de garder le mucus fluide, de l’expectorer et d’accompagner une toux grasse et infectieuse dans le sens de la guérison. Un sirop maison de ces aliments, pris régulièrement dans la journée, peut grandement nous dépanner, peut-être parce qu’on est à court de plantes. En parallèle, cela nous donne un peu de temps pour refaire des provisions et d’aller consulter le médecin si nécessaire, ne laissez pas trop trainer une toux grasse non plus, attention au risque de rechute.

Il y a d’autres catégories de plantes qui peuvent s’avérer très utiles ici, celles riches en résines, celles riches en substances aromatiques, un peu de plantes riches en mucilages aussi pour équilibrer le mélange et apporter un effet adoucissant… si vous voulez aller plus loin dans la compréhension fine de ce type d’accompagnement, toujours dans la prudence, je vous rappelle que ma formation Immunité, infections respiratoires et ORL vous fournit des heures d’enseignement sur le sujet.

C’est tout pour cet épisode. J’espère que vous n’aurez pas besoin de préparer un sirop de navet, mais si c’est le cas, vous saurez comment le préparer, et surtout que ces préparations ont été validées par la tradition. Si le grand docteur Valnet nous disait, au sujet du navet, « boisson pectorale dans les affections pulmonaires, excellent pour les malades d’une manière générale », je peux vous dire que ce n’est pas pour rien.

Merci d’avoir été à l’écoute et à très bientôt !

21 réponses

  1. Merci pour ces conseils toujours intéressants… juste une question sucre, mais pas de volée de commentaires, promis 😉 … sucre blanc ou complet, peut être ce serait une alternative plus heathy » mais peut être que ça ne change rien, ayant des problèmes de prédiabète, je fais très attention!!!
    Merci
    Ghisou

    1. bonjour Gislaine
      vous pourriez reformuler votre question ? est ce que prendre du sirop si on est en pré diabète peut poser un problème ? ou bien y a t il une différence entre sucre blanc et sucre complet quand prédiabète?

  2. Bonjour Christophe
    Comment s’organiser pour la logistique? tu fais tes produits à l’instant T ou bien tu crées tes produits en avance pour les avoir sous la main.
    Merci pour tout ce que tu nous offres.
    bien à toi
    mo

    1. Bonjour Marie Odile
      Concernant les sirops on le fait au besoin , on peut les garder un peu plus longtemps si on rajoute des teintures mères, ensuite si on met plus de sucre , on peut les garder plus longtemps (combien ? je ne saurais dire , je fonctionne au « nez » ce qui n’est pas très scientifique je l’avoue)

  3. hyper intéressant et toujours avec cet accent paysan d’antan que j’adore merci Christophe
    le sirop d’oignon est délicieux mais je ne cours pas assez vite avec ma cuillère pour rattraper mon grand dadais de petit-fils (21 ans )
    alors c’est moi qui le bois tant pis pour lui
    dites moi que peut on faire du reliquat d’oignon imbibé lorsque le sirop est extrait ??? c’est dommage de jeter !
    JOYEUX NOËL à vous et votre équipe

  4. bonjour Sabine concernant le curcuma est til possible de melanger dans mon verre de gingembre une bonne cuillère de curcuma 12g ?

    merci pour le retour

    1. bonjour Amita
      disons que si vous arrivez à le boire oui , mais côté goût ça risque de vite vous « lasser » 🙂

    1. bonjour Nathalie
      Oui tout à fait , au contraire non seulement ça enrichi le sirop mais aussi ça permet de conserver le sirop un peu plus longtemps.

  5. Oui très intéressant comme toujours. Malheureusement je ne peux pas prendre d’expectorant car j’ai une hernie hiatale très prononcée la toux ne va pas avec cette maladie

  6. Enceinte, je tombe malade comme un chien. Je bois des litres de tisanes sauge + thym + sureau car je n’ai rien d’autre dans mes placards. Mon médecin ne peut pas m’aider et me recommande de me reposer. Impossible, je tousse tellement, je ne dors plus, j’en ai des courbatures et je ne suis pas sûre de faire sortir mon bébé en Toussaint. À bout de souffle et d’énergie, il me reste une solution : des oignons coupés grossièrement répartis dans deux sacs plastiques, je glisse mes pieds dans les sacs, recouvert de deux grosses chaussettes (et bien fermés pour que tout reste en place). J’ai passé la meilleure nuit depuis des semaines, j’ai littéralement senti la maladie partir de mon corps. Le lendemain, les symptômes avaient clairement diminués, en 2 jours me voilà à nouveau d’aplomb. Comme quoi, le pouvoir des oignons, ce n’est pas que de nous faire pleurer..

  7. VRAIMENT GENIAL ET INSTRUCTIF !… D’actualité chez moi…la semaine passée… Toux et rhume à volonté.. pour toute la famille…. Toux grasse… toux sèche à suivre… mouchoirs à la pelle !… et là je me suis souvenu avoir des tranches de radis noir qui baignaient dans du liquidie sucré (sucre ou miel ?…) dans un bocal hermétique. Date de péremtion inconnue… bel aspect , bonne odeur, bon goût fortissimmp, malgré quelques mois à l’abri dans ce bocal… J’avais également un peu oublié un grand bocal d’ail noir confit dans du miel de fabrication maison enfermé dans un bocal également… Mais j’ai également sorti le Thym, la Sariette, le serpolet, séchés de leurs bocaux pour en faire des infusions et tout le monde a eut le droit à diverses doses … Personnellement je me suis offert un petit supplément en faisant des inhalations avec diverses feuilles de laurier, de romarin, de thym et plus (une sorte de bouquet garni pour ma tête )… On a dégainé et on a gagné !..
    IL FAUT DIRE QUE C’EST VOUS QUI M’AVIEZ ENSEIGNE LA REALISATION DE CES METHODES A TRAVERS VOS CONSEILS DANS VOTRE BLOG QUE JE SUIS DEPUIS PLUSIEURS ANNEES !… MERCI CHRISTOPHE !

  8. Je dois vous remercier de m’avoir fait connaître les bienfaits de l’oignon et du jus d’oignon. Malade comme un chien (expression québécoise!) depuis 10 jours, bronchite aigüe, toux grasse très sévère etc. Je crois que ce fut causé au départ par les vapeurs de polyuréthane dans notre maison, un plancher récemment vernis. Puis une infection hivernale s’est ajoutée. Je suis tombée sur votre courriel il y a deux jours et le miracle s’est produit. Je suis maintenant 90% mieux! Merci encore d’être là!

  9. Bonjour, merci pour cette vidéo claire et instructive. Du coup, le dosage est celui d’un sirop classique : 1 ou 2 c à c par prise ? Merci bcp, passez un bel hiver…

    1. Bonjour Carole
      je ne sais pas ce qu’est un sirop classique : médicamenteux?
      pour le sirop d’oignon ou de navet … 1 cuillère à café 4 à 5 fois par jour selon l’intensité de la toux

  10. Bonjour,
    Par rapport à l’histoire sucre / miel, je me demande du coup si on ne pourrait pas faire par exemple 2 couches légumes + sucre et la dernière couche avec du miel? Cela permettrait une belle extraction avec le sucre et malgré tout avoir les bienfaits du miel?
    Qu’en pensez-vous?

  11. Bonjour, proche de mes 70 votre histoire me rappelle un épisode récent. Plus de moutarde dans les rayons des magasins et ce souvenir des grands mères qui traitaient nos ancêtres par massage ciblé et ce condiment dont nous étions privés il y a même pas cinq ans MDR
    AMICALEMENT
    Ronald

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