Le Stress Anabolique
Le stress corticosurrénal ou stress anabolique est le résultat d’une tendance à se reposer sur les hormones stéroïdiennes des surrénales et gonadiques (testostérone, progestérone) et la somatotropine, l’hormone hypophysaire qui stimule le métabolisme des protéines (NDT : aussi appelée “hormone de croissance”). La conséquence d’une surproduction de protéines et de lipides structurels et de stockage est l’hypertension artérielle et un cholestérol élevé. La cause est un stress du système limbique, l’hypophyse induit ce stress – c’est la manière dont certaines personnes se stressent, suivant une subtile prédisposition génétique.
Voici les tendances prévisibles de ce type de stress :
- Excès du foie, des reins, du système reproductif et cardiovasculaire, et excès de la peau et des muqueuses.
Les PLANTES REFROIDISSANTES aident à modifier le stress hypothalamique, à diminuer l’anabolisme du foie ou à rajouter des substances alcalines au sang. Contrairement au stress adrénergique ou thyroïdien, il est difficile de modifier cette tendance directement… il n’y a aucune déficience à stimuler. La déficience est souvent conceptuelle ou philosophique… la durée de vie. (NDT : on se souviendra ici de la stratégie principale de Moore – stimuler les déficiences afin que les excès se stabilisent d’eux-mêmes basé sur le fait que le corps n’a qu’une quantité finie d’énergie pour fonctionner).
De plus, comme pour le stress catabolique (adrénergique), il n’y a aucun renforcement social pour nous aider à corriger cette tendance… “Regardez la TAILLE de ce petit gamin… un futur pilier de rugby !” …ou encore… “Bob est incroyable… bâti comme un bûcheron et travaille sept jours par semaine pour assurer un revenu”. Personne ne dit jamais, plus tard, “Regarde Bob, il aurait pu être rugbyman professionnel, n’est-il pas macho, assis dans sa chaise roulante, en train de se battre contre son premier AVC… quel homme !”. Peut-être dans un film italien ou mexicain, peut-être… aux États-Unis, jamais.
Évidemment, ce renforcement culturel est très biaisé en fonction du sexe. Vous entendrez rarement “Regarde la petite Suzie, quel morceau… elle deviendra la meilleure buteuse de son équipe de Roller Derby !”. En réalité, on la mettra sous médicament thyroïdien, au moins jusqu’à ce qu’elle développe des hanches et un tour de taille. De même, vous n’entendrez pas “Regarde cette grosse mama… elle travaille de longues heures pour assurer une entrée d’argent, et pourtant elle à l’air assez forte pour faire du catch !”.
Beaucoup de femmes à dominance anabolique passent leur vie à se batailler contre leur physique… cuisses épaisses, hanches larges, et un gros derrière ou des épaules larges qui vont à l’encontre de la mode actuelle. Dans sa pire forme, cette dégradation sociale peut se manifester en tant que métabolisme tordu… anabolique de nature, avec variations superficielles de glycémie et un stress adrénergique qui se trouve en principe chez la personne catabolique. Ceci est souvent la séquelle d’années de régimes et d’exercices, rarement afin d’améliorer la santé de la personne et sa connexion corps-esprit, trop souvent pour essayer d’altérer fondamentalement sa réalité génétique (“Allez les filles on y va, on brûle la graisse de ces hanches… sur la gauche… deux… trois… quatre, on change de coté, à droite et deux… trois et quatre…”).
Ceux qui sont prédisposés d’une manière génétique à avoir des tendances anaboliques ont BEAUCOUP de mal à fonctionner sur l’adrénaline. Il n’est pas possible de maintenir ces deux stress EN MÊME TEMPS et de vivre une vie longue OU bonne. Rappelez-vous de certains icônes culturels comme Elvis, John Candy et Mama Cass si vous avez besoin de visualiser une personne anabolique forcée à tourner sur l’adrénaline (NDT : du côté français, je penserais volontiers à Gérard Depardieu pour illustrer ce modèle). Rappelez-vous du lineman (NDT : un terme de football américain) à la retraite qui se retrouve comme gratte-papier au commissariat du coin si vous voulez visualiser une personne anabolique qui ne changera jamais d’habitude avec l’âge… ou avec la détérioration physique.
Le stress adrénergique chez la personne catabolique peut être maintenu sur la durée d’une vie (ou disons que c’est l’impression que nous avons). Par contre, le stress corticosurrénal ne peut PAS être maintenu toute une vie chez la personne anabolique. Il DOIT être modifié par l’âge ou la sagesse. Le métabolisme de l’adolescent typique basé sur les hormones gonadiques finit par fatiguer les femmes, et surtout les hommes. Les personnes cataboliques tournant sur adrénaline maltraitent leurs glandes surrénales (ils vivent vieux mais sont irritables), les personnes anaboliques (des boules de graisse avec une espérance de vie courte) peuvent se griller au travers de leur seul outil de stress, les stéroïdes gonadiques et surrénaux.
Ce sens d’inutilité lorsque l’on vieillit, avec un déni obsessif du processus de vieillissement, peut verrouiller les gens dans une torture émotionnelle du regret de leur jeunesse, stressant un physique diminué dans l’espoir de maintenir une importance sociale. Un manque de respect (ou de besoin) pour les valeurs traditionnelles des anciens (mémoire, expérience, sagesse, et une connaissance des choses importantes) est probablement une faiblesse fondamentale de notre société.
Aidez la personne au travers des différents systèmes d’organes et par l’énergétique des fluides. Je n’ai aucune plante pour diminuer les comportements sociaux excessifs.
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Tony dit
Bonjour ,
Le Stress Anabolique
Le stress corticosurrénal ou stress anabolique est le résultat d’une tensance à se reposer .
Ou "tendance"
Christophe BERNARD dit
Merci, je viens de corriger.