Energétique des plantes : état des tissus : (abonnez-vous au podcast ici)
Energétique des plantes, troisième partie ! ça veut dire que si vous n’avez pas encore regardé les 2 premières pour avoir le contexte, c’est le moment de le faire !
Je réalise que cette dernière partie va peut-être soulever beaucoup de questions vu qu’on rentre dans le vif du sujet. C’est normal. Comme je vous ai dit dans la 2e partie, moi, ça fait pas mal d’années que je trempe dans ces discussions avec des collègues nord-américains, et il m’a fallu du temps pour comprendre la subtilité du système.
Là, mon but, c’est que vous commenciez à vous familiariser avec certains termes, certains concepts. Vous n’allez probablement pas tout comprendre. Mais je pose les bases, ce qui me permettra, dans le futur, de revenir à cette discussion pour aller un peu plus loin. Ou pour éclaircir certains points au travers d’une série de questions-réponses. On verra.
Petit rappel, dans la partie 1, on a parlé des plantes, du fait qu’on peut les classer selon un axe chaud/froid/sec/humide. J’avais aussi rajouté l’axe tension/relâchement que l’on va développer dans quelques minutes. Dans la partie 2, je vous ai parlé de tendances constitutionnelles, donc de qui nous sommes et comment nous fonctionnons globalement, avec ces mêmes termes chaud/froid/sec/humide. Donc ça, c’était le niveau « macro » si je puis dire, niveau de l’individu entier.
Et là, aujourd’hui, on descend dans les parties, dans le « micro », dans des zones du corps qui sont en déséquilibre, et on va décrire ce déséquilibre avec ces mêmes termes. Les Américains appellent ceci « énergétique des tissus et des organes » et je vais garder le même terme. Tissus, dans le sens, le tissu qui constitue notre corps – peau, muqueuse, tissu conjonctif, tissu musculaire, tissu nerveux, etc.
A ce niveau « micro », on va caricaturer les choses. C’est nécessaire. Pour chaque déséquilibre des tissus, on va évoquer une action qui corrige ce déséquilibre. Donc on va faire une association 1 pour 1, comme ça on garde les choses simples. 1 déséquilibre, 1 action qui corrige. Dans le modèle complet, c’est un peu plus sophistiqué, mais on ne va pas y aller aujourd’hui.
Avant de démarrer, des mises en garde. Je ne suis ni médecin, ni pharmacien, ni professionnel de la santé. Je suis là pour partager des informations avec vous. Mais ceci ne remplace absolument pas un suivi médical, et n’a pas vocation d’être diagnostic ou prescription ou autre acte médical. En particulier aujourd’hui, car je vais vous expliquer le modèle américain, qui se pratique dans un environnement juridique différent du nôtre, donc ce n’est pas parce que ça se fait ailleurs qu’on a le droit de le faire nécessairement chez nous.
Energétique des plantes : clarifications
Quelques petites clarifications au sujet des discussions précédentes : je vous avais dit que l’outil principal pour déterminer l’énergétique d’une plante, c’est le goût et la sensation que la plante laisse dans notre corps. On a parlé du fait que le goût acide ou amer veut souvent dire rafraichissant, que le goût épicé ou aromatique veut souvent dire réchauffant, etc. Mais parfois, une plante est classée avec une certaine énergétique, et ça ne va pas vous sembler évident côté goût.
Par exemple, la fleur de sureau est classée comme rafraichissante. Peut-être que ça ne va pas vous parler juste basé sur son goût. Dans ce cas, pour l’instant, fiez-vous à la tradition et au classement que vous utilisez. En ce qui me concerne, je penche plutôt pour les classements des Américains, car c’est là que j’ai appris, en particulier les vues de Matthew Wood et de ses ouvrages, sachant que d’autres auteurs américains ont aussi abordé le sujet.
Ensuite, je me répète, mais ce modèle ne s’applique pas nécessairement d’une manière exclusive, il ne cherche pas à éliminer d’autres modèles de pratique. C’est un outil pour nous guider, c’est une manière de voir, qui m’a servi régulièrement, qui m’a donné de bonnes inspirations… bonnes dans le sens « efficaces », qui aident. Il complémente très bien d’autres modèles de pratique.
Allez, on démarre avec l’échelle de température chaud/froid.
Energétique des plantes : chaleur
En ce qui concerne le chaud.
Un tissu qui est chaud, c’est un tissu qui est en hyperactivité. Le métabolisme est élevé, la fonction est exagérée. Localement, c’est rouge, enflammé. Ce sont des conditions aiguës en général, avec une réponse immunitaire exagérée localement. La douleur peut être aiguë. Il peut y avoir sécrétion de mucus de couleur jaune, voire verdâtre, dénotant une infection.
Donc on parle d’inflammation aiguë ici, en général passagère, avec sensation de chaleur.
Pour une situation infectieuse hivernale par exemple, on pourrait penser aux fleurs de sureau, mélangées à de la menthe poivrée, deux plantes d’énergétique rafraichissante, pour un effet diaphorétique, pour faire sortir la chaleur d’une manière globale au travers des pores de la peau, une stratégie très utilisée par les médecins des années 1800 – début 1900. Ici on accompagne les processus naturels, on ne bloque rien.
Si on avait une condition de peau vraiment rouge et enflammée, une crise d’eczéma peut-être, ou de rosacée, on irait rechercher l’effet rafraichissant et apaisant des rosacées justement, et là je parle de la famille botanique, avec en particulier la fleur du rosier, donc la rose, que l’on pourrait appliquer localement sous forme d’infusion ou d’hydrolat par exemple.
S’il y avait inflammation de la muqueuse digestive, on voit en phytothérapie américaine l’utilisation de plantes acides comme les oseilles, car l’acidité est rafraichissante. En particulier l’oseille crépue (Rumex crispus), mais les autres oseilles sont parfois utilisées, les racines particulièrement.
On peut avoir des crises inflammatoires articulaires, c’est rouge, c’est chaud. En externe, on irait peut-être rechercher l’effet rafraichissant de la gaulthérie. En interne, l’amertume du ményanthe, du moins en phytothérapie américaine, ou l’amertume de la partenelle pour moduler cette inflammation. Sachant que dans ce modèle, l’amertume est vue comme rafraichissante.
Dans ce langage, on peut parfois parler d’un organe qui est chaud, dans le sens « qui a une activité un peu trop exagérée », un peu trop élevée. Un peu comme un moteur qui tourne trop vite et qui va finir par chauffer. Une hyperthyroïdie, c’est une thyroïde considérée comme « chaude » dans ce modèle. Un foie qui fabrique beaucoup de triglycérides et de cholestérol est un foie qui est chaud, qui fabrique beaucoup de matériaux de construction. Un cœur et un système cardiovasculaire qui sont chauds, c’est une situation de rythme rapide, de tension élevée.
Dans ce modèle, pour rafraichir, on va aller chercher dans l’amertume. Par exemple pour un foie un peu chaud, l’amertume de la feuille d’artichaut ou de la fumeterre. Ou dans l’acidité. Pour un cœur un peu chaud, l’acidité des cenelles d’aubépine, de l’hibiscus. Ou retour à l’amertume, avec la feuille d’olivier.
Pour une thyroïde un peu chaude, l’amertume de l’agripaume ou du lycope.
Bien sûr, ces situations demandent une supervision médicale, vous vous en doutez.
Energétique des plantes : froideur
A l’autre bout du spectre, on a la froideur. Et là, on parle de la fonction, d’un ralentissement profond, du fait que la flamme de la vie, dans les tissus, ne brule pas assez fort. Pour certaines conditions, on est passé dans le chronique, le système n’a plus assez de chaleur, de vitalité pour terminer la résolution d’un problème.
Donc ça traine, ça s’installe pour le long terme. Ca ne circule pas assez d’un point de vue artériel, les tissus n’éliminent plus assez les déchets d’un point de vue veineux et lymphatique, on peut avoir stagnation, donc humidité associée à cette froideur.
Ici, on veut ramener la chaleur avec des plantes aromatiques ou des épices. Et on parle surtout des aromatiques du sud, du bassin méditerranéen ici. On ne parle pas de menthe poivrée, qui techniquement est une aromatique, mais rafraichissante. On parle de thym, romarin, sauge, sarriette, origan.
Dans les épices, on a le piment, le gingembre, le raifort, le poivre. Ce sont des plantes qui ramènent la circulation, donc la fonction, au travers soit d’un effet irritant local, soit au travers d’une vasodilatation périphérique. Le thym réchauffe en irritant légèrement, le gingembre réchauffe en vasodilatant.
Un exemple d’une condition froide pulmonaire, c’est peut-être une situation qui traine, il y a eu infection pendant l’hiver, et là, quelques mois plus tard, il y a toujours un fond de toux, une fatigue. On veut réchauffer tout ceci avec du thym, de l’origan, du gingembre. Ceci va redémarrer le processus d’expectoration, stimuler l’immunité au passage. On veut ramener la chaleur et la fonction.
Un exemple d’une condition froide utérine, ce sont des règles longues, mal définies, ça démarre lentement, les pertes et saignements trainent en longueur. Là, on vient réchauffer et faire circuler avec le gingembre, la sauge, l’achillée. En particulier chez la personne qui a déjà une constitution froide.
Sur un terrain digestif froid avec stagnation, fermentations, on a la chaleur des baies de genièvre, des aromatiques du sud, des graines de cumin, de carvi.
Energétique des plantes : sécheresse
La deuxième échelle, c’est l’humidité. On commence par le sec.
Un tissu sec, c’est un tissu qui n’est plus assez irrigué pour maintenir une bonne intégrité. On gardera cette image d’une terre tellement sèche qu’elle se craquelle, comme du parchemin.
Ceci peut toucher les muqueuses – de la bouche, de l’œil, du vagin. Ça peut toucher la peau, le cuir chevelu. C’est pas pour rien qu’on a le réflexe de mettre des lotion ou des crèmes lorsqu’on a une zone très sèche, un endroit qui démange et qui desquame tellement c’est sec.
On fait la distinction entre sécheresse par manque d’eau et sécheresse par manque de lipides, car les deux sont nécessaires pour assurer une bonne qualité des tissus. Sur la peau ou sur les muqueuses, lorsqu’on y a accès, on utilise parfois une émulsion huile/eau, ce qu’on appelle une crème, justement car elle contient les deux éléments.
A l’intérieur, le manque de lipides sera compensé par l’alimentation et l’efficacité de l’axe hépato-biliaire. Le manque d’eau sera compensé par l’hydratation et les plantes mucilagineuses. Les mucilagineuses ont clairement une action humidifiante par contact, sur une muqueuse sèche et irritée, mais elles ont aussi une action systémique. On n’arrive pas à expliquer l’action systémique aujourd’hui vu que les mucilages sont de grosses molécules qui ne pénètrent pas en circulation sanguine. On parle d’action réflexe se faisant au travers du système nerveux. En tout cas, elles soulagent ces situations.
Par exemple, lorsqu’il y a gène pulmonaire, ou inflammation avec sécheresse et peu d’expectoration, les plantes mucilagineuses, comme le bouillon-blanc ou le tussilage, viendront apporter leur aide. Pour une sécheresse digestive avec constipation, fleurs de mauve pour un démarrage en douceur, ou psyllium. Graines de lin si sécheresse vaginale pendant la ménopause, graines qui contiennent aussi des phytoestrogènes.
Humidité
A l’inverse, on a la condition d’humidité.
Un tissu humide, dans son état de déséquilibre, c’est un tissu qui est submergé par les liquides et n’arrive pas à les évacuer. Soit il y a rétention à cet endroit, et donc les systèmes veineux et lymphatiques ne font pas leur travail de drainage, en supposant qu’il n’y a pas d’état pathologique touchant le cœur ou les reins.
Ou alors c’est qu’il y a suintement abondant, ce qui nous amènera aussi à un état qu’on va définir dans quelques minutes de relâchement. Dans le sens où le tissu est trop relâché, trop perméable et il y a exsudations exagérées.
Ici, si l’humidité est à l’intérieur des tissus, on utilise des plantes asséchantes de type diurétiques. L’effet diurétique est, en soi, asséchant, on crée une perte de fluide par le système urinaire. Soit on a accès à la zone et on peut agir par contact dans un cas d’exsudation, et là ce sont plutôt les plantes riches en tanins que l’on va utiliser. Elles vont assécher en resserrant les tissus trop perméables.
Energétique des plantes : tension
Parlons maintenant de l’échelle tension / relaxation. Cette échelle est une spécificité de la pratique Physiomédicaliste américaine, elle sort un peu du cadre classique chaud/froid/sec/humide. Mais elle apporte de l’information en plus. On commence par l’état de tension.
Comme son nom l’indique, c’est une zone qui est trop tendue pour qu’une bonne fonction puisse se faire. La circulation sanguine et lymphatique est entravée. Les échanges se font mal. L’état spasmodique est un état de tension exagéré. Cet état peut toucher les muscles lisses à l’intérieur de toutes les cavités et les tubes du corps, ou les muscles squelettiques.
Les plantes utilisées ici sont des plantes relaxantes des muscles lisses ou des muscles squelettiques, en fonction du besoin. Un autre terme utilisé, c’est le terme antispasmodique. Bien que, techniquement, un spasme est une contraction brusque et temporaire, souvent douloureuse, et ce n’est pas forcément toujours le cas. On peut avoir aussi un état de tension « continu » en quelque sorte.
Comme pour tous les états, on peut voir un état de tension à différents endroits du corps.
Le système respiratoire, avec un état de toux spasmodique et une personne complètement épuisée par ces séries de spasmes, de très fortes tensions musculaires. Le réflexe de toux est une succession de tension et relaxation. Tension, le diaphragme se contracte, on expulse. Relaxation, on regonfle le ballon, on reprend de l’air pour pouvoir re-comprimer le tout. Si l’état est trop tendu, on n’a pas assez d’amplitude du mouvement, donc l’expectoration peut mal se faire. D’où l’utilisation de certaines plantes comme le coquelicot, qui est antispasmodique à affinité respiratoire, mais aussi un relaxant général.
Le système reproducteur féminin avec les crampes pendant les règles, cette forte tension et constriction douloureuse des muscles de l’utérus. Ici, une antispasmodique très classique et remarquable, c’est l’achillée millefeuille.
Le système digestif qui a trop travaillé d’un point de vue musculaire, peut-être par manque de sécrétions digestives, peut-être parce qu’on a trop mangé. Ici une antispasmodique classique c’est la graine de fenouil.
Le système urinaire avec les crampes des différents tubes, une constriction réflexe associées au passage de sable ou d’un petit calcul. Ici les antispasmodiques classiques, du moins dans la pratique américaine, sont la viorne, l’igname sauvage.
D’un point de vue muscles squelettiques, parfois une zone va se contracter en réponse à une forte inflammation, ou un dommage. Par exemple, des douleurs aux lombaires peuvent être accompagnées de spasmes douloureux. On peut avoir des céphalées de tension avec une sensation de tension du cou, des épaules. Ici, les antispasmodiques et relaxantes peuvent aider.
Relâchement
Ensuite, nous avons l’état de relâchement. Ici nous avons des tissus qui ont perdu leur intégrité, leur tension naturelle, cette tension qui maintient les fluides à l’intérieur.
Pour comprendre le tissu trop relâché, il faut s’imaginer, par exemple, une muqueuse qui a perdu son intégrité. Elle est boursouflée, suintante, spongieuse, parfois avec micro saignements. Il y a du mucus qui suinte.
Ou parfois, ce sont des tissus qui n’arrivent pas à exercer assez de force pour faire leur travail. Un exemple serait la muqueuse et les tissus du système urinaire dans une situation d’incontinence. On s’imagine une zone qui n’a pas assez de tension pour garder les liquides à l’intérieur. À l’extrême, ça peut être une situation de prolapsus, d’organes qui ne sont plus tenus par la structure musculaire et ligamenteuse.
Ici, pour retonifier la zone, on va utiliser des astringents. Donc dans ce modèle, les tanins sont considérés comme toniques des tissus. On veut resserrer, on veut tendre.
Notez qu’au passage, les tanins vont assécher ici, les suintements de mucus, les micro saignements, c’est l’action asséchante par contact dont on a déjà parlé.
Energétique des plantes : que faire avec tout ceci
OK, c’est terminé pour la revue de tous les états de déséquilibre au niveau « micro », au niveau des tissus. On avait déjà vu le « macro », les tendances constitutionnelles, la dernière fois. Maintenant, on fait quoi avec tout ceci ?
Eh bien, on essaie de sélectionner les bonnes plantes pour les bonnes conditions, et idéalement des plantes qui sont bien adaptées à la constitution de la personne aussi. Ça, c’est l’idéal. Mais je vous dirais qu’au départ, déjà, choisir les bonnes plantes pour la condition locale, pour le déséquilibre « micro », c’est très bien, c’est un bon départ.
Je sais, à ce stade, tout ceci est très générique, je vais envisager d’autres épisodes dans lesquels on ira explorer quelques exemples concrets. Pour l’instant, je vais faire une petite pause de l’énergétique pour passer à d’autres sujets, mais ne vous inquiétez pas, j’y reviendrai plus tard.
Allez, je vous laisse, à très bientôt pour la suite !
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5 réponses
Merci Christophe pour cet exposé très complexe et fort intéressant pour remettre les choses à plat, sortir des idées préconçues. Gratitudes pour ce travail qui nous incité à nous remettre en causes sur nos approches en phytothérapie.
Suite à pas mal de recherches sur « l’ENERGIE » je voulais partager ce lien « énergétique » https://youtu.be/9YcFw53JEzc avec Eric Petiot. Peut être est-ce une personne que tu pourrai interviewer dans la suite de ce contexte « énergétique des plantes »
De quoi parle t-il ? « Agriculture Energétique » : les plantes pour soigner les plantes (fermentation des plantes, système électrique des plantes… Il ne vend rien, juste de la formation juste de ta transmission, favoriser l’autonomie pour les producteurs en arboriculture, vigne, prise en compte de la vie des sols… Peut-être a-t-il des messages sur l’énergie des plantes médicinale en relations avec les sols et la santé ? https://youtu.be/9YcFw53JEzc (chercheur sur la biologie végétale, l’ethnopharmacologie et la biochimie des plantes, société Eric Petiot)
Et pour aller plus loin avec toujours avec Eric Petiot https://youtu.be/i6P7ARHDPwY et peut être donner suite aux échanges très intéressants avec Agnès BROSSET sur les défenses naturelles des plantes : Eric Petiot nous parle de la difficulté de parler de simples utilisations qui dérangent (l’organisation commerciale) car non homologué (o dit Extraits fermentés et non purins… bref) Apprendre à désapprendre, se libérer du connu, expérimenter, comprendre les effets paramagnétiques avec les fermentations par anaérobioses, mécanisme lévogyre et dextrogyre c’est quoi ? savoir se remettre en cause et modifier nos comportements et logiques de pensées, se baser sur des applications naturelles avec des comparaisons sur des zones témoins… Il nous dit que pour l’enseignement sur l’agronomie ; 98% des cours sont écris par l’industrie !
Il faut défendre l’aromathérapie, la phytothérapie, c’est l’avenir de la planète mais ce n’est pas encore normatif !
Travailler pour le bien commun, expérimenter et partager, critiquer avec respect uniquement ce que ce que l’on a expérimenté en apportant son expérience, débattre !
Pascal
bonjour Pascal , grand merci pour vos partages et vos liens , toujours intéressants
Eric Petiot est vraiment un pionnier
Merci pour ces perceptions qui ouvrent tellement à des observations nouvelles 🙂 j’adore !
Pour les plantes tanins, est ce bien les thés / vert – blancs – noirs ? Quelles qualités de tanins ? Ou autres plantes à tanins..
bonjour!
je n’ai pas compris votre question