Énergétique des plantes : une introduction

 

Énergétique des plantes : une introduction : (abonnez-vous au podcast ici)

En 2014, j’ai écrit un article qui s’appelait « énergétique des plantes« . C’est un article qui a suscité beaucoup de questions et d’intérêt au fil des années. Donc j’ai enfin décidé de vous faire une série sur le sujet.

On va parler de température, d’humidité. Non, ce n’est pas un épisode sur la météo. On va parler d’état des tissus. Non, ce n’est pas un épisode sur la couture, je ne suis vraiment pas qualifié pour parler couture, bien que j’arrive à repriser mes chaussettes, comme ma mémé me l’avait montré !

Non, on va surtout parler de comprendre les propriétés des plantes. Une manière que moi, j’ai apprise des Américains, et qui m’a beaucoup plu de par sa simplicité.

Ce concept étant un peu long à expliquer, je vais diviser en plusieurs épisodes. Vous avez le premier aujourd’hui, j’essaierai de vous faire les autres plus ou moins dans la foulée, c’est pas sûr que j’y arrive. Mais ne vous inquiétez pas, ils vont arriver.

Avant de démarrer, je vous rappelle deux choses importantes. Tout d’abord, je ne suis pas médecin, je ne suis pas pharmacien, je ne suis pas professionnel de la santé. Je suis là pour partager des informations avec vous. Mais ceci ne remplace absolument pas un suivi médical, et n’a pas vocation d’être diagnostic ou prescription ou autre acte médical.


Historique

D’abord, un peu d’historique. Ce concept, il nous vient de la nuit des temps. L’humain a toujours voulu comprendre et expliquer le monde qui l’entoure. Et il l’a fait avec les outils à sa disposition.

À une époque, on ne connaissait pas la chimie des plantes. On ne connaissait pas le fonctionnement du corps humain de l’intérieur vu au microscope. Mais on savait observer, et on savait utiliser tous les sens. Le nez, la bouche, le toucher, l’observation très précise d’une situation. Quelle apparence une personne avait globalement, quelle apparence avait une partie du corps en déséquilibre, comment ça évoluait. Et au fil du temps, on a créé des modèles de compréhension qui arrivaient à expliquer ces observations.

Ces observations, on les a liées au monde tout autour de nous, et aux éléments qui constituent la vie. L’eau, l’air, la terre, le feu, le vent. Une situation pouvait être chaude ou froide. Au toucher, à l’apparence enflammée ou au contraire à une situation qui manque de vie.  La chaleur, c’est la vie. La froideur, à l’extrême, c’est la mort. Le vent apporte le changement.

Une situation pouvait être humide ou sèche, au toucher, à l’observation, à l’écoute. C’était un modèle que tout le monde pouvait comprendre. Le microcosme, le monde à l’intérieur du corps, reflétait le macrocosme, le monde à l’extérieur.

Ce modèle, on va l’appeler l’énergétique. Énergétique d’un déséquilibre, et énergétique des plantes qui vont venir rétablir l’équilibre.

Dans toutes les traditions du monde, à un moment où à un autre, on voit apparaitre ces notions de chaud/froid/sec/humide. On les retrouve en médecine chinoise, ayurvédique, tibétaine, unani. Même chez nous, dans les traditions qui sont à la base de nos courants de pensée, c’est-à-dire les civilisations anciennes, grecques et romaines. On voit ces notions dans les écrits d’Hippocrate et de Galien par exemple.

Energétique des plantes


Pourquoi en reparler aujourd’hui ?

Mais alors, pourquoi aller déterrer un vieux modèle poussiéreux comme celui-ci, qui a largement été supplanté par la science ?

Alors d’abord, pourquoi vouloir créer des exclusivités ? Pourquoi ne pourrait-on pas utiliser différents modèles de pratiques ? Il n’y a aucune contradiction entre l’énergétique des plantes et l’anatomie-physiologie humaine, comme on la comprend aujourd’hui. Les Américains ont d’ailleurs très bien connecté les deux.

Moi, j’aime bien piocher dans différentes traditions. De comprendre les plantes par la botanique, par la physiologie humaine, par les catégories de constituants principaux, par la tradition de différents pays, et par l’énergétique.

Ici en France, on a parfois des réactions assez intéressantes, du style : « ouh là, c’est quoi ton truc de perché, commence pas avec tes histoires new-age d’esprits de la nature, de lutins, etc. ». L’énergétique, c’est pas ça du tout. C’est quelque chose de très ancré, de très terre à terre.

On est dans le toucher, le goûter, le sentir et le ressenti, on est dans notre corps.

Aujourd’hui, en ce qui me concerne, j’aime ce modèle, pas en exclusivité mais en complémentarité, car d’abord, pour moi, il est beau. Il est beau dans sa simplicité. Il est beau dans sa manière de nous ramener dans notre corps, notre ressenti. Et il est beau car il nous reconnecte aux éléments.


Énergétique des plantes : contexte

A ce stade, il faut que je vous explique où j’ai acquis ces notions, je pense que c’est important d’avoir ce contexte. J’ai fait mon apprentissage aux Etats-Unis, j’y ai passé une quinzaine d’années de ma vie, c’est là que pour moi, tout a démarré, donc je suis assez proche de l’herboristerie américaine.

Aujourd’hui, ces concepts d’énergétique sont très présents dans la pratique américaine de l’herboristerie thérapeutique. J’estime que ce sont eux qui ont le plus développé l’intégration de cette vision dans nos pratiques occidentales.

Donc soyons clairs, je ne vais pas vous parler de l’énergétique de la médecine chinoise ou ayurvédique, qui comporte des modèles de pratique très sophistiqués, d’autres personnes le feront largement mieux que moi. Ici on va parler d’un modèle très simplifié, mais qui peut s’intégrer facilement dans nos modèles de travail occidentaux.

Dans le reste de cet épisode, je vais donc vous présenter l’énergétique telle que je l’ai apprise, version américaine. Et notez, au passage (vous me connaissez), que mon but, ce n’est pas de m’approprier ce terme « d’énergétique » qui aura différentes significations pour différentes personnes.


Énergétique des plantes : le plan d’attaque

Bien, maintenant qu’on a situé le contexte, on plonge dans le sujet et je vous explique le plan d’attaque.

Dans ce premier épisode, je vais vous parler des termes énergétiques qui s’appliquent aux plantes. Et dans un prochain épisode, je vous expliquerai comment ces mêmes termes s’appliquent à un individu, sa constitution, mais aussi, localement, dans son corps, à un état particulier de déséquilibre. Ce que les américains appellent « l’état des tissus ».

Et puis on finira par l’association des deux, comment une plante qui a une énergétique opposée à la condition peut ramener l’équilibre. Bien sûr, on ne va pouvoir que survoler la situation, vous vous en doutez. Mais déjà, si vous commencez à ressentir intuitivement quelques bases, je pense que c’est, pour moi, mission accomplie.


Trois axes de compréhension

Pour décrire les termes d’énergétique des plantes, on va suivre 3 axes. Les deux premiers, vous les connaissez déjà. Le 3e, probablement pas.

Premier axe : la température

Simple. Chaud ou froid ? La plante a-t-elle un caractère réchauffant ou rafraichissant ?

Bien sûr, on ne parle pas de vraie température (en degré Celcius) ici, mais d’impression que la plante va laisser. Si je met un thermomètre dans un piment frais et dans un concombre du jardin, la température sera à peu près la même, celle de la pièce dans laquelle je les ai stockés. En revanche, l’énergétique du piment, c’est clairement réchauffant, et celle du concombre, c’est clairement rafraichissant.

L’été, lorsqu’il fait très chaud, je vais plutôt être attiré par une salade de concombres et une tranche de pastèque, deux végétaux d’énergétique rafraichissante, alors que l’hiver, je vais plutôt être attiré par une soupe un peu relevée, un peu épicée.

Avec la pratique, on peut parler de différents degrés de chaleur ou de fraicheur. Donc une plante peut avoir une énergétique très réchauffante, ou juste tiède. Pareil pour la partie rafraichissante. D’ailleurs, on dit parfois « refroidissante », qui note un degré de froid supérieur à « rafraichissante ». Une plante peut aussi être neutre en température, ni réchauffante, ni rafraichissante.

Energétique des plantes


Deuxième axe : l’humidité

Simple aussi. Humide ou sec ? On parle aussi de plante humidifiante ou asséchante.

Et là, c’est pareil, ce n’est pas forcément lié à la quantité de fluides que la plante contient. Mais à l’effet que la plante va créer sur notre système.

On peut avoir différents degrés d’humidifiant ou d’asséchant ici aussi.

Troisième axe : la tension

Celui-là est un peu particulier, spécifique de la pratique américaine, et a été développé, en grande partie, par ce que les Américains appellent le courant Physiomédicalistes des années 1800 à début 1900.

Tendu ou relâché ? On parle aussi de plante tonifiante ou plutôt relaxantes des tissus. Ce dernier axe, je vous en parlerai surtout dans un prochain épisode, lorsqu’on parle des états des tissus de notre corps.

Donc, je répète :

  • Réchauffante ou rafraichissante ?
  • Asséchante ou humidifiante ?
  • Tonifiante ou relaxante ?

Ce sont des notions qui mettent du temps à murir d’un point de vue compréhension. Donc Il faudra faire des passes encore et encore sur le sujet, ne soyez pas trop pressé.


Energétique des plantes : Exemples

Température : Réchauffantes

Prenons une plante comme le gingembre. Elle est de nature réchauffante, cela ne vous surprendra pas. C’est l’effet qu’elle nous laisse en bouche, puis plus tard dans le tube digestif et plus tard encore dans tout le corps. Et localement aussi, si on appliquait une préparation huileuse à base de gingembre sur des muscles ou des articulations par exemple.

Globalement, les épices sont réchauffantes : cannelle, piment, safran, curcuma, poivre, clou de girofle, etc. Chacun à différents degrés. On comprend que le piment est largement plus réchauffant que le curcuma par exemple.

Les aromatiques du sud de type thym, romarin, sarriette, origan sont aussi de nature réchauffantes. Et là, on pourrait dire que tout ce qui est riche en substances aromatiques qui irritent un peu les tissus, qui piquent un peu, c’est réchauffant. Ce qui irrite un peu ramène la circulation, et donc la chaleur, la vie, la fonction.

L’ail est considéré comme réchauffant. Toutes les plantes qui contiennent des glucosinolates, ces fameux constituants soufrés, comme les brassicacées, les moutardes, sont réchauffantes. Eh oui, c’est piquant, ça fait circuler. Comment pensez-vous que le cataplasme à la moutarde fonctionne ?

Tout ce qui est excitant et stimulant du système nerveux est souvent considéré comme réchauffant. Car la chaleur est associée au mouvement. On a de l’activité, du métabolisme. Le ginseng asiatique est considéré comme chaud. Chez nous ,les toniques aromatiques comme le thym le romarin, la sauge, la sarriette, ces plantes que l’on prenait lors des convalescences, sont réchauffantes.

Globalement, tout ce qui fait circuler, qui réchauffe l’intérieur, qui fait du bien en hiver lorsqu’on se sent un peu froid, ce sont des plantes qui ont une énergétique réchauffante. Regardez la tradition.

Alors attention, on ne parle pas des plantes que l’on utilisait dans les fortes fièvres, car là on va rentrer dans le refroidissant, on en reparlera dans un prochain épisode. On parle d’un tout début de froid, lorsqu’on sent le froid qui a pénétré le corps, on grelotte… A ce stade, on voulait réchauffer.

gingembre

Température : Rafraichissantes

La menthe poivrée (ou les autres menthes d’ailleurs) ont une énergétique rafraîchissante. Elles laissent cette impression de fraicheur en bouche ou localement si on applique une préparation à base de menthe sur un endroit du corps.

Les plantes diaphorétiques, qui font transpirer sans être de nature épicée, qui font évacuer « l’eau chaude du corps », comme le sureau ou le tilleul, sont classées comme rafraichissantes.

Les plantes amères comme la gentiane, l’agripaume, la verveine officinale, la passiflore, le pavot de Californie, le chardon bénit et bien d’autres amères sont de nature rafraichissante.

Les plantes qui ont un goût acide comme l’hibiscus karkadé, la mélisse, les baies de sumac, les baies de sorbier sont de nature rafraichissantes.

Les plantes riches en mucilages sont de nature rafraichissante car elles capturent et véhiculent l’eau et c’est cette eau qui va apporter la fraicheur, laisser une sensation apaisante lorsqu’une zone est un peu irritée.

Humidité : Humidifiante

La guimauve. C’est l’exemple typique de l’humidifiante. Cela ne vous surprendra pas, sa richesse en mucilage, son effet gélatineux en bouche, son effet apaisant si on l’applique localement là où c’est sec. Mais on vient de voir qu’elle est de nature rafraichissante aussi. Donc elle a les deux étiquettes.

Globalement, les plantes riches en mucilages seront de nature humidifiante : fleur de mauve, fleur de bouillon blanc, feuilles de grand plantain, feuilles de violette, rhizome de réglisse, la stellaire intermédiaire, le gaillet gratteron, etc.

guimauve

Humidité : Asséchante

La ronce est de nature asséchante. Elle laisse cet effet astringent en bouche, elle va freiner les échanges de liquides au niveau local. Effet bouche sèche et pâteuse.

Globalement, les plantes riches en tanins seront asséchantes, surtout localement sur les tissus.

Et les plantes très diurétiques comme l’ortie seront asséchantes, globalement, sur la personne. Logique, on va perdre une partie de nos fluides.

Les épices et autres plantes classées dans les fortement réchauffantes sont aussi asséchantes. Ici on a cette image du feu qui fait évaporer l’eau.

Donc vous voyez déjà comment je fais la distinction entre l’effet global, sur la personne, et l’effet local, sur les tissus. Mais ça, on en reparlera plus tard dans un autre épisode sinon je vais trop compliquer les choses aujourd’hui.

ronces

Tension : Tonifiante/relaxante

Pour l’instant, je ne vais pas vous parler non plus du dernier axe tension/relaxation, j’introduirai ceci plus tard. Je voulais juste planter une petite graine au sujet de cet axe.


Energétique des plantes : plusieurs étiquettes

Du coup, basé sur ce qu’on vient de dire, vous commencez à voir comment une même plante peut être classée sur les 2 axes chaud/froid et sec/humide.

La guimauve : rafraichissante et humidifiante.

Le romarin : réchauffante et asséchante.

Idéalement, toutes les plantes seraient classées sur ces deux axes. Mais c’est parfois compliqué de trouver le couple. Parfois on a juste une classification sur un seul axe. Et puis parfois, il n’y a pas d’accord entre différentes traditions, différents pays, différents auteurs.

Parfois aussi la réflexion est complexe car l’action de la plante est complexe. Prenons notre chère achillée millefeuille. Elle est bien amère, donc plutôt rafraichissante. Oui mais elle a aussi cette partie aromatique et circulatoire, elle fait bouger le sang, décongestionne, donc un aspect plutôt réchauffant. Et puis elle est aussi diaphorétique, elle aide à évacuer la chaleur. Waouh… Alors ?

Eh bien pour l’instant, on va botter en touche, car si on commence à parler de tous ces cas particuliers, je vais vous perdre et on va perdre la beauté et la simplicité du modèle. Donc restons avec du simple. Mais je voulais tout de même vous montrer que nous aussi, au fil de la pratique, on va décliner ce modèle à des niveaux montants de complexité.


Energétique des plantes : rester dans les sens

Si vous lisez l’anglais, vous n’aurez pas trop de mal à trouver des classifications pour les plantes les plus communes. Plusieurs auteurs ou praticiens américains en parlent régulièrement : Matthew Wood, David Winston, Jim McDonald, Rosalee de la Forêt et d’autres.

Mais vous voulez peut-être faire l’évaluation par vous-même. Je pense que c’est important de le faire si vous vous intéressez à ce sujet, de s’entrainer en quelque sorte. Si vous le faites, un point important  : il va falloir rester dans le corps et dans les sensations. C’est compliqué au départ pour les plus cérébraux d’entre nous.

N’allez pas trop analyser le pourquoi, le comment ça fonctionne. On est dans les impressions, dans le ressenti. On va se laisser guider par la bouche, le nez, et ce qu’on ressent à l’intérieur du corps, et ceci à différents moments :

  • D’abord, au moment où l’on va toucher, sentir, goûter un petit morceau de plante fraiche, ou alors mettre un peu de teinture en bouche, un peu d’infusion. On mâchouille un petit morceau de feuille de mauve, on sent un petit gel mucilagineux qui se forme, on a une impression d’humidité. On boit une gorgée d’infusion de vigne rouge, on a l’impression que la bouche s’est asséchée tout à coup.
  • Ensuite, quelques minutes, parfois quelques heures plus tard, un ressenti dans le corps, là c’est un peu plus dur à ressentir. Mais souvent il y a des petites choses qui bougent au niveau digestif ou pulmonaire ou nerveux ou circulatoire ou cardiaque ou autre.
  • Et parfois même, un ressenti dans le corps au bout de quelques jours ou semaines d’utilisation. L’effet asséchant de l’ortie, par exemple, se fait souvent ressentir au bout de quelques jours.

Parfois, cette évaluation va vous sembler une évidence. Oui, ok, on revient au piment. Et puis souvent, au départ, ça peut sembler un peu tiré par les cheveux car… vous n’allez pas ressentir grand-chose ! Mais c’est normal, il faut de l’expérience, un peu comme il faut pratiquer la dégustation du vin, il faut pratiquer cette évaluation énergétique.

Une fois que vous avez fait une première lecture de la situation, vous pouvez aller valider vos impressions dans les classements déjà faits, comme je vous disais plutôt du côté américain si vous voulez une approche qui s’intègre dans les vues occidentales.


Energétique des plantes : à quoi ça sert ?

Du coup, à quoi ça sert l’énergétique des plantes? Eh bien, c’est une manière d’associer les plantes à des personnes, des constitutions, et des conditions de déséquilibres.

Quelles conditions ? Je pense que vous vous en doutez, les plantes rafraichissantes soulageront les conditions chaudes, les plantes asséchantes les conditions d’humidité, etc. Mais ça, on va se le garder pour un prochain épisode.

Merci d’être là, à très bientôt !

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39 réponses

  1. Bonjour, j’ai fini par comprendre les termes de chaud, froid… etc, après une deuxième lecture. Merci j’ouvre mon cerveau à l’énergétique des plantes… enfin.

  2. Christophe,
    On imagine qu’une personne dont la condition est chaude est aussi sèche. Est-ce qu’on peut toutefois s’attendre à des constitutions chaudes et humides? Froides et sèches? Ou est-ce des combinaisons qui n’ont pas lieu d’être? Merci pour le partage de tes connaissances,
    Nelly

    1. bonjour Nelly
      de mon point de vue (mais je ne suis pas une spécialiste de l’énergétique) ces combinaisons sont tout à fait possibles , et en plus nous évoluons au fil du temps

  3. Bonjour Christophe
    Très beau sujet cette approche « simpliste » qui nous ramène à utiliser nos sens oh combien chahutés en tous sens de nos jours.
    On attends la suite avec intérêt et commençons nos observations en nature. Merci pour la suite

  4. Merci beaucoup Christophe pour ce partage. Sujet très intéressant. Existe-t-il des ouvrages qui proposent une classification énergétique chaud/froid/humide/sec des plantes,? Est-ce que le livre « Traité d’herboristerie énergétique – Puissance et sagesse des plantes  » peut aider en ce sens? Merci beaucoup

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