Rentrée 2020 : comment gérer cette période ? audio (abonnez-vous au podcast ici) :
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Rentrée 2020 : nous y voilà !
Je ne sais pas si vous avez eu l’occasion de ralentir un peu cet été. Ça n’a pas été le cas pour tout le monde, et je voudrais au passage avec une pensée pour tous ceux qui ont dû travailler parce qu’ils n’avaient pas le choix. Ceux qui ont dû mettre les bouchées doubles en particulier car ils ont été très affectés par la période de confinement.
Pour d’autres, il y a pu avoir une petite pause. Ça a été mon cas, et je vous dirais que ça a été aussi un peu une exception pour moi.
J’ai lancé Althea Provence début 2010, et je crois que ces 10 dernières années, je ne me suis quasiment pas arrêté. Parce que j’adore ça, parce que c’est ma passion, et qu'il faut que j’arrive à en vivre sinon je ne peux pas continuer à produire tout ce contenu gratuit pour vous. Donc ça a été 10 années très intenses.
Et puis là, cette année, après la période de confinement pendant laquelle j’ai essayé de communiquer, de partager des informations importantes, de me creuser la tête… je suis arrivé à un point où je me suis senti complètement vidé. Et je sais que je ne suis pas le seul à avoir ressenti cela. C’était la première fois où je sentais que la créativité allait en prendre un coup.
Donc j’ai préféré faire une pause, travailler sur mes formations, et revenir vous parler en pleine forme pour la rentrée de septembre. Et pleins d’idées aussi, ce qui est définitivement le cas ! Je ne suis pas parti dans des destinations exotiques, j’ai passé une semaine en Haute-Savoie avec ma famille, on a beaucoup marché, on a fait du vélo. Et le reste du temps je suis resté chez moi, mais j’ai eu l’occasion de me ressourcer.
J’espère qu’au minimum, de votre côté, vous avez pu ralentir un peu aussi, retrouver votre souffle pour la reprise des activités.
Encore un autre article sur la rentrée ?
Cet article sur la rentrée 2020, je voulais le faire. Parce que je reviens de ma pause et que ça m’a manqué de vous parler, tout simplement. Mais aussi parce qu'on est dans cette période un peu bizarre de COVID avec un bombardement médiatique qui continue avec les nombres de cas par-ci, les pourcentages d’augmentation par-là, les départements en rouge, les courbes journalières. Ça pèse.
Donc je voulais qu’on en parle. Mais d’un autre côté, je n’ai pas envie de vous pondre un article qui ressasse des trucs qu’on a déjà dits partout sur la rentrée, mangez bien, dormez bien, relaxiez-vous, reprenez le sport. Oui OK, on a déjà entendu ça, c’est du bon sens. Donc que rajouter de plus ?
Eh bien je ne sais pas exactement en toute franchise, je vais partir dans différentes directions, et on va voir où ça nous mène.
Angoisses et peurs pour le futur
Premier point : la situation COVID. Je ne vais pas rentrer dans les polémiques, qui a raison, qui a tort, qui fait les bonnes prédictions, etc, etc. Ce n’est pas mon truc. Vous allez trouver des centaines de discussions sur le sujet. Je vais me concentrer sur ce que je fais de mieux, je pense, c’est-à-dire m’insérer dans une situation existante, quelle qu’elle soit, pour essayer de vous donner des outils pour mieux la gérer.
La situation aujourd’hui, elle est anxiogène. Angoisses et peurs. Peurs d’une nouvelle vague, et là encore, est-ce qu’elle va arriver ou pas, est-ce que le virus va muter ou pas… ce n’est pas le sujet ici. En revanche, l’angoisse, elle est bien là quand on parle aux gens tout autour de nous. Angoisse d’une économie qui pourrait se casser la gueule. Angoisse de perdre son emploi. Angoisse de ne pas retrouver du travail par la suite.
Et à un moment où on a besoin de soutien de notre cercle social, on nous sépare. On segmente les groupes. On introduit la peur des rencontres. Là encore, ne prenez pas ceci comme un jugement mais comme une simple constatation. Si on perd nos connexions sociales, on perd l’une des choses les plus importantes de notre humanité. Les relations, l’affection, le soutien.
Soigner les angoisses : contact avec la nature
Quel rapport avec le monde des plantes ? Simple, très simple. D’abord, sortez en nature, sortez en forêt. C’est très sec en ce moment dans de nombreuses régions. Ce n’est pas grave. Allez observer.
Moi je suis allé observer des romarins sauvages qui ont l’air d’agoniser tellement c’est sec. Mais je les connais, à la première pluie, ils vont me faire une belle surprise. Je suis allé observer des naissances, des petites armoises annuelles qui germaient sur le bord d’un chemin, à ma grande surprise. Je suis allé observer des morts aussi. J’ai de très beaux et très grands chênes blancs qui sont en train de mourir près de chez moi car le climat évolue.
C’est le grand cycle de la vie. Et lorsqu’on observe cela, je peux vous dire que ça nous aide à prendre du recul. Et puis toutes ces plantes, ce sont des êtres vivants aussi. On ne ressent peut-être pas les mêmes connexions qu’avec les humains ou les animaux, mais est-ce que ce n’est pas parce qu’on n’a pas développé la sensibilité ?
Tous les peuples racines sur cette planète ont cette forte connexion avec les plantes, avec les montagnes, avec les rivières. C’est très puissant, parce que cela nous ancre et nous permet de ne pas nous perdre dans notre petit labyrinthe du mental. On vit dans nos têtes aujourd’hui, on ne vit plus dans nos tripes. Et on ne ressent plus aucune connexion au grand tout.
Donc sortez en nature, allez caresser les herbes, allez vous reposer contre un arbre, allez observer l’eau et le ciel, même si c’est pendant quelques minutes. Je ne connais pas une personne qui n’est pas un minimum transformée par cette activité. C’est important de le faire aujourd’hui, notre bien-être émotionnel en dépend.
Reconnaître les plantes, en consommer un peu 🙂
S’il reste quelques groupes qui font encore des sorties nature, des sorties reconnaissance des plantes sauvages, sortez. Septembre, c’est encore un excellent mois, le temps se rafraîchit un peu, parfois on a la chance d’avoir quelques pluies. Certaines plantes se réveillent. Allez vous faire guider, vous allez découvrir de nouvelles choses, et puis au passage vous faites travailler ces petites associations qui en ont besoin pour survivre.
Passez dans les herboristeries. Discutez avec les personnes qui animent les boutiques qui vendent de belles plantes en vrac. Passez voir des producteurs près de chez vous. Demandez-leur s’ils n’ont pas trop souffert du confinement. Achetez leurs quelques mélanges au passage, faites-les travailler, c’est tout simple, c’est quelques euros, un petit mélange pour les infusions du soir par exemple.
Et puis continuez à expérimenter chez vous. Plantez une mélisse et du thym dans un pot sur le balcon. Fabriquez des produits en préparation pour l’hiver. Salissez la cuisine, faites des sirops, faites des macérats huileux.
Pourquoi tout ceci. Pourquoi ces activités. Parce que dans ces périodes pendant lesquelles on se sent perdu par une situation qui semble changer toutes les semaines, il est bon de se réancrer dans des piliers qui eux, ne bougent pas. L’arbre, les herbes, la tradition herboriste millénaire… tout ceci nous ramène à ce qui est important.
Ça n’a jamais bougé pendant des millénaires, et il est hors de question qu’on laisse ces pratiques et ce savoir disparaître aujourd’hui. On ne nous le prendra pas. Et c’est un savoir tellement utile, car je suis convaincu que savoir se prendre en main avec les plantes va devenir de plus en plus important pour notre futur. Septembre, c’est le bon moment pour qu’on réexprime ces intentions d’une manière claire et forte.
(voir aussi ma proposition de feuille de route ici)
Calmer le sentiment de déprime
Et puis parfois, même si on instaure ces bonnes habitudes, on va toujours se batailler avec cette angoisse qui semble rester, avec souvent un fond de déprime. Ce qui m’inquiète le plus en ce moment, c’est la déprime, parce que j’ai l’impression qu’on a été tellement matraqué par des messages négatifs, que certains décrochent un peu et partent dans cette morosité, cette perte d’espoir.
Et le problème, c’est que le soleil va commencer à baisser, et cette perte de lumière va accentuer la situation de déprime. D’ailleurs, il y a une situation qui s’appelle la dépression saisonnière et qui est exactement ça. Et là, cette année, on va combiner perte de lumière et morosité ambiante. Dans ces situations, il y a une plante qui me vient toujours à l’esprit. On va voir si vous arrivez à la deviner :-).
Elle fait de petites fleurs à 5 pétales, jaune vif, qui rappellent le soleil. Et elle a des feuilles bien particulières, parsemées de petits trous qui laissent passer les rayons du soleil. C’est la plante du soleil. C’est la plante qui ramène la lumière à l’intérieur, à un moment où on sent l’hiver des émotions arriver. Elle est vivace, on la trouve dans quasiment toutes les régions, elle appartient à la famille des Hypericaceae…
Hypericum perforatum, le millepertuis !
On l’a un peu trop positionnée comme plante anti-dépressive à mon goût, parce qu’il y a déprime et déprime, il y a différentes causes sous-jacentes possibles. On constate par exemple le rôle majeur de l’inflammation cérébrale, en particulier si la personne souffre d’une situation inflammatoire chronique.
Bref, on ne va pas rentrer dans la dépression ici, mais juste pour vous dire que dans mon expérience, le millepertuis ne va pas forcément agir dans toutes les situations dépressives. Mais spécifiquement pour cette déprime saisonnière accompagnée par un manque de lumière au sens propre et figuré, je le trouve vraiment très bien.
Ma forme favorite, c’est la teinture de la plante fraîche, d’une belle couleur rouge vif. Et pour les dosages, en général dans les 20 à 30 gouttes dans un peu d’eau 3 fois par jour, c’est bien. Pour voir un effet durable, il faut faire une cure de plusieurs semaines sans forcément faire de pauses.
Attention je ne vais pas vous faire une vue complète du millepertuis ici, c’est une plante qui interagit avec de nombreux médicaments, avec la pilule contraceptive, donc renseignez-vous et allez jeter un œil sur ma fiche sur le millepertuis.
Calmer le stress
On est dans une période dans lesquelles on ressent beaucoup de tension, que le système nerveux travaille beaucoup, que le cerveau tourne en boucle comme le petit hamster dans sa cage, avec des tensions dans le cou, les épaules, avec la boule au ventre… et je pense que c’est définitivement le cas en ce moment, il y a cette lourdeur, c’est très pesant. Certains m’expliquent que c’est comme s’ils se sentaient écrasés.
Il faut alors penser aux minéraux. Et nous, dans le monde des plantes, on a ce qu’on appelle les plantes minéralisantes, elles sont très intéressantes car elles contiennent un très large spectre de minéraux et oligo-éléments. En fait, ces plantes minéralisantes, considérez-les comme de la nourriture pour le système nerveux.
Et ça, je peux vous dire que ce n’est pas de la malbouffe. Ce n’est pas une nourriture excitante, c’est une nourriture calmante. Ce n’est pas comme un goûter avec des biscuits et des barres chocolatées. C’est comme une bonne assiette de crudité qui vient du jardin. Ça nourrit, et d’un point de vue nerveux, il y a un aspect équilibrant.
Je vous ai souvent parlé de l’ortie, c’est la plus simple à utiliser. Vous pouvez faire une cure en la mélangeant à des plantes qui ont un goût sympathique. Pour vous donner un exemple, ça fait quelques jours que je bois une infusion journalière d’ortie avec de la citronnelle, parce que j’ai de la citronnelle au jardin et là, elle est magnifique, donc j’en profite.
Du coup chaque matin je me coupe une belle feuille de citronnelle que je mélange avec une pincée de feuilles d’ortie, et hop, dans ma tasse, infusion du matin. Bien sûr, encore mieux, serait de combiner avec l’ortie quelque chose qui calme l’anxiété si elle est présente. Une plante comme la passiflore (Passiflora incarnata) par exemple. Vous pouvez rajouter une pincée des feuilles de passiflore avec votre ortie.
Ou alors de la mélisse, mais attention, pas trop vieille sinon les résultats ne seront pas au rendez-vous. Si vous en avez au jardin, c’est beaucoup mieux, une pincée de feuilles fraîches de mélisse avec l’ortie. Et le petit plus de l’ortie, c’est qu’elle a ce côté dépuratif qui me plaît bien. Elle nettoie.
Stimuler les organes d'élimination
Ce qui nous amène au point suivant pour la rentrée. C’est un conseil assez classique, le besoin de faire une petite cure dépurative. De stimuler les organes d’élimination. Pourquoi ? Car en général, pendant l’été, on a fait quelques excès, on a eu des amis, de la famille, barbecue et rosé, du moins dans ma région. On a un peu trop poussé sur l’alcool, ou sur les desserts, etc.
Là, cet été, je n’ai pas l’impression que ça a été forcément le cas. Je me trompe peut-être mais dans l’ensemble, il y a eu moins de voyages, peut-être un peu mois de visites vers la famille et les amis. Bref, ça c’est quelque chose qu’il faut que vous appreniez à détecter, à ressentir.
Avez-vous besoin de faire une cure dépurative ? Cela dépend. Le signe, c’est ce sentiment d’être… on va dire engorgé, lourd, congestionné. Parfois accompagné d’une petite sensation nauséeuse, parfois accompagné d’une haleine lorsqu’on se lève le matin qui facilite la distanciation, si vous voyez ce que je veux dire :-). Ça, se sont des bons signes.
Et même sans ces signes, on voit dans différentes traditions que les changements de saison (l’hiver au printemps, été à l’automne) étaient un appel pour faire la cure dépurative. Il y a plusieurs plantes possibles, je vous ai déjà longuement parlé de cette cure dans d’autres articles et vidéos…
Personnellement, je reviens toujours aux grandes classiques qui ne vieillissent pas, qui ne perdent pas leur efficacité, qui sont en général bien chez de nombreuses personnes. L’une de mes favorites, je vais essayer de vous la faire deviner.
Les médecins qui en prescrivaient, à l’époque, inscrivaient le nom en latin sur la prescription, pour ne pas que la personne arrive à deviner ce que c’était. Car il y a une expression populaire qui les dérangeait. On écrivait Taraxacum radix. Car on ne voulait certainement pas bouffer les… pissenlits par la racine.
La racine de pissenlit, excellente plante dépurative ! On la trouve partout, on peut l’acheter dans toutes les herboristeries. On la prépare en décoction, c’est-à-dire qu’on fait frémir la racine pendant une dizaine de minutes dans de l’eau. Pour les quantités, j’aime bien utiliser entre 30 et 50 g par litre en fonction de la situation et de la personne.
Commencez toujours par les doses les plus faibles. Il peut y avoir des petites réactions digestives ou de peau ou autre, j’en ai déjà parlé ici. Vous verrez, la décoction n’est pas désagréable à boire, et on peut combiner d’autres plantes pour le goût ou pour les propriétés. On fait en général une cure d’une dizaine de jours.
Donc on pourrait mettre moins de pissenlit pour un litre d’eau, disons 10 à 15 g, on fait la décoction, puis on coupe le gaz, on soulève le couvercle et on rajoute 10 g d’ortie et 5 g de passiflore et 5 g de verveine citronnelle pour le goût par exemple. Et donc on combine les effets dont on vient de parler, stress et élimination. On peut boire deux tasses par jour, déjà c’est bien.
Replacer dans le bon contexte
Au final, j’aimerais qu’on replace les plantes dans le bon contexte. Et je vais passer un petit coup de gueule. Aujourd’hui on aimerait bien prendre les plantes médicinales comme on prend un médicament. Alimentation en vrac, sommeil en vrac, stress pas du tout sous contrôle, activité physique qui consiste à rentrer et sortir le smartphone de la poche 45 fois par jour.
Et on pense que dans ce contexte, on a un reflux gastrique, ou un coup de fatigue, ou on fait de l’hypertension, une petite infusion, quelques gouttes de teinture et hop, tout va aller mieux. Ça peut fonctionner bien sûr. Mais je pense qu’il faut surtout voir les plantes médicinales comme des enseignants pleins de sagesse.
Avant de se donner pleinement à nous, elles attendent. Elles nous regardent et se disent non… elle, elle n’est pas encore prête. Lui, il a encore de la réflexion à faire. C’est pour ça qu’aujourd’hui, je les positionne plutôt comme des accompagnantes du changement. Une fois qu’on a commencé à faire un travail de fond, là elles vont s’exprimer avec force.
Du coup, qu’est-ce que ça veut dire faire ce travail de fond aujourd’hui, en cette période de rentrée 2020 ? Ça veut dire revenir à des choses simples.
Se reconnecter à la nature. Se reconnecter à une petite communauté qui nous soutient. Et accepter l’inconnu. Je crois que c’est le plus important. Et même accepter un futur incertain les bras ouverts, avec beaucoup de curiosité, se dire que quoi qu’il arrive, ça va être des plus intéressant. Et surtout, qu’on a les ressources pour s’en sortir quoi qu’il arrive.
Nous avons les ressources pour faire face
Vous savez, il y a une énorme différence entre les illusions du positivisme aveugle, et l’optimisme.
Le positivisme aveugle, c’est se dire tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. La misère n’existe pas. Il n’y a pas de crise écologique planétaire aujourd’hui. Pour moi ça ne mène nulle part.
L’optimisme, en revanche, ce n’est pas ça. Ce n’est pas se voiler la face. C’est reconnaître et accepter ce que j’appellerais la grande catastrophe et le grand drame humain dans toute sa beauté. C’est se dire qu’il y a toujours des solutions qui existent. Se dire qu’on ne baissera jamais les bras.
Se dire qu’on a les ressources, qu’on a la force pour s’en sortir quoi qu’il arrive, individuellement, vous et moi, et collectivement, en tant que famille, groupe, tribu, société.
Voilà, c’est tout ce que je voulais vous dire. Je vous ai préparé de beaux sujets pour les semaines qui arrivent. Abonnez-vous au passage à ma lettre d’information si vous ne voulez rien rater. Et je me réjouis de vous retrouver très vite pour de prochaines nouvelles !
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JEAN dit
Bonjour Christophe et Sabine, encore une fois, merci pour vos précieux conseils.
Je sors d'une infection Covid (variant dit anglais, c'est fourbe ça l'anglais ! 🙂 ). 7 jours de fièvre (38,5°), légère toux, nez encombré et fatigue. Mais tout va bien, ce fut moins difficile à supporter que la grippe saisonnière qui m'avait mis totalement HS il y a quelques années. J'ai terminé la quarantaine de 10 jours, la fièvre est tombée, reste le nez pris et la fatigue. Que pourriez-vous me conseiller pour gérer au mieux cette convalescence Covid ?
Bon WE,
sabine dit
bonjour Jean
je vous invite à lire cet article 🙂 courage et merci pour votre témoignage https://www.altheaprovence.com/convalescence-en-periode-depidemie/