Cazin

Traité Pratique et Raisonné
des Plantes Médicinales Indigènes

Par F.-J. CAZIN
1868


Cette page va être progressivement construite en fonction de ma capacité à mettre en ligne cet ouvrage de référence, page par page, au bénéfice de la communauté herbaliste francophone. Merci de votre patience.

(Note : je sais que l’ouvrage est déjà disponible sur certains sites. Par contre, il l’est soit sous forme PDF brute non-indexable, soit il a été scanné automatiquement avec de nombreuses fautes et certains passages incompréhensibles.)

Le traité de Cazin reste l’un des ouvrages les plus importants de la mémoire phytothérapique Française. Certes, la nomenclature des plantes a beaucoup changée. Et notre connaissance de la physiologie et des problèmes de santé a aussi beaucoup évoluée. Mais l’expérience clinique de Cazin en tant que médecin de campagne rend cet ouvrage incontournable.

L’ouvrage est écrit par un docteur pour les docteurs de l’époque. Il contient donc un bon nombre de termes techniques. Mais ne vous laissez pas impressionner, certaines fiches contient une mine d’information encore bien d’actualité aujourd’hui.

Et comme toujours, prudence : les docteurs de l’époque utilisaient des plantes, à faibles doses, qui sont aujourd’hui reconnus comme des poisons.

« Alle Ding’ sind Gift, und nichts ohn’ Gift; allein die Dosis macht, daß ein Ding kein Gift ist. »
Toute chose est poison, et rien n’est poison ;
La dose seule détermine si cette chose n’est pas un poison
Paracelse (1493-1541)


Page de Couverture
Préface de la première édition

A

Abricotier (Prunus armeniaca)
Absinthe (Artemisia absinthium)
Acanthe (Acanthus mollis)
Ache (Apium graveolens)
Aconit napel (Aconitum napellus)
Actée (Actaea spicata)
Agaric blanc (Boletus laricis)
Agaric de chêne (Agaricus igniarius)
Agnus castus (Vitex agnus castus)
Agripaume (Leonurus cardiaca)
Aigremoine (Agrimonia eupatoria)
Ail (Allium sativum)
Ailanthe (Ailanthus glandulosa)
Airelle (Vaccinium myrtillus)
Alcée (Alcea rosea)
Alchemille (Alchemilla vulgaris)
Alisier (Crataegus terminalis)
Alkékenge (Physalis alkekengi)
Alleluia (Oxalis acetosella)
Alliaire (Erysimum alliaria)
Amandes et Amandier (Amygdalus communis)
Ambroisie (Chenopodium ambrosioïdes)
Ammi (Ammi majus)
Anagyre fétide (Anagyris fœtida)
Ancolie (Aquilegia vulgaris)
Anémone des bois (Anemone nemorosa)
Angélique (Angelica archangelica)
Anis (Pimpinella anisum)
Ansèrine anthelminthique (Chenopodium anthelminthicum)
Anthyllide (Anthyllis vulneraria)
Arabette (Arabis thaliana)
Argemone (Argemone mexicana)
Argentine (Potentilla anserina)
Aristoloche clématite (Aristolochia clematitis)
Armoise (Artemisia vulgaris)
Arnique ou Arnica (Arnica montana)
Arrête-boeuf (Ononis spinosa)
Arroche (Atriplex hortensis)
Artichaut (Cynara scolymus)
Arum (Arum maculatum)
Asaret (Asarum europaeum)
Asclepiade blanche (Asclepias vincetoxicum)
Asperge (Asparagus officinalis)
Aspérule odorante (Asperula odorata)
Asphodèle (Asphodelus ramosus)
Astragale (Astragalus glycyphillos)
Athamanthe de crète (Athamanta Cretensis)
Athamanthe oréoséline (Athamanta oreoselinum)
Aubépine (Crataegus oxyacantha)
Aune ou Aulne (Betula alnus)
Aunée (Inula helenium)
Inule odorante (Inula odorata)
Aunée Dysentérique (Inula dysenterica)
Aurone (Artemisia abrotanum)
Avoine (Avena sativa)

B

Baguenaudier (Colutea arboresceiis)
Balisier (Canna indica)
Ballote noire (Ballota nigra)
Balsamite (Tanacetum balsamita)
Barbarée (Erysimum barbarea)
Bardane (Arctium lappa)
Basilic (Ocymum basilicum)
Beccabunga (Veronica beccabunga)

9 réponses

  1. Bonjour Christophe, Sabine et toute l’équipe,
    Je cherche des informations concernant l’hydrocèle testiculaire et ai trouvé la mention de la racine de Bugrane pour résoudre des épanchements semblables en référence dans le Cazin. Avez-vous de l’expérience avec ce genre de pathologie avec cette plante ou une autre?
    Merci d’avance!
    Sarah

    1. bonjour Sarah
      lorsque je constate une accumulation de liquide là où il ne devrait pas , je pense au système lymphatique, qui peut être devrait être drainé, et vous pourriez essayer d’associer une plante diurétique (ex feuille de pissenlit) à une plante qui va aider le système lymphatique (par exemple le gaillet gratteron) . Forme infusion, par exemple 50/50 de ces deux.
      on peut aussi associer diurétique + tonique veineux et/ou drainant lymphatique– ex 1/3 pissenlit feuilles, 1/3vigne rouge feuilles (par exemple) et 1/3 gaillet. Car les plantes toniques veineux sont aussi des toniques lymphatiques.
      il faut tester en prenant des notes

  2. Juste une question. Est-ce que l’édition des Édtions de l’Envol dans la série Les jalons du savoir est recommandable?
    Merci d’avance.

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